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Vivre ensemble, communication, empathie...

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6 Jeux pour développer l'empathie et réduire la violence à l'école. Je vous propose de découvrir quelques jeux qui permettent de développer l’empathie et de réduire la violence à l’école.

6 Jeux pour développer l'empathie et réduire la violence à l'école

Ils peuvent aussi se pratiquer à la maison. Le jeu du bienveilleur invisible En début de semaine, chaque élève se voit attribuer le nom d’un de ses camarades de classe dans une enveloppe mystère. Climat scolaire et bien-être à l’école - 4 jeux pour stimuler l'empathie et la solidarité dans les groupes d'enfants. Cultiver l’empathie peut passer par le corps : se mettre à la place de l’autre, coopérer, faire preuve de solidarité en jouant et en se mettant en mouvement sont envisageables dès 5/6 ans.

4 jeux pour stimuler l'empathie et la solidarité dans les groupes d'enfants

Ces 4 idées de jeux sont inspirées par Omar Zanna, sociologue et auteur de Le corps dans la relation aux autres. 1.Un temps méditatif d’échauffement émotionnel Les enfants sont invités à s’allonger librement pendant 5 à 10 minutes. Chaque enfant peut choisir sa position (sur le ventre, sur le dos, sur le côté…).Les yeux fermés, ils ont pour consigne de se concentrer sur les zones où ils ressentent un désagrément, une douleur (un picotement, un fourmillement, un grattement…). Ils sont invités à observer ces sensations, ce que cela génère comme pensées, comme envies, comme impulsions, sans chercher à contrôler leurs pensées, en les laissant juste passer.

Activité : "Le jeu des mousquetaires" (empathie) Parmi les les stratégies pédagogiques favorables à l’engagement et à la motivation des élèves, le travail sur l’empathie constitue un facteur protecteur puissant.

Activité : "Le jeu des mousquetaires" (empathie)

S’informer Qu'est-ce que l'empathie ? C'est la disposition à se mettre à la place d'autrui tout en restant à distance, sans se confondre avec lui. Ce qui n’est pas le cas dans la sympathie, la compassion ou bien encore la contagion émotionnelle. Une autre distinction s’impose d’emblée : la différence entre empathie cognitive et empathie émotionnelle.L'empathie cognitive : c’est ce que fait l’enseignant quand il s’adresse à ses élèves. Une technique d'animation : le cercle de parole. Guide d'animation : "Mes paroles, j'y vois : pour une communication positive à l'école"

Outil : "L’apprentissage du genre" (fiches pédagogiques) Répertoire d'activités : "Les p'tits égaux" (promotion de conduites non sexistes) Outil : "Débats philosophiques avec Max et Lili" Jeux coopératifs. Activité : "Soyez avisés comme des ânes !" Activités : Habiletés sociales. Hein quoi ???

Activités : Habiletés sociales

KESAKO ???? Les habiletés sociales c'est ce qui permet à l'enfant d'entrer en contact avec les autres, de bien s'entendre avec eux, de se faire des copains, de travailler avec d'autres, de prendre sa place au sein de la société, de l'école ... Il y a 5 catégories: - Les habiletés prosociales : c’est ce qui permet d’entrer en contact et d’être agréable avec les autres, par exemple, sourire, saluer, partager, aider, complimenter et coopérer. - L’expression des émotions : c’est-à-dire reconnaître et exprimer ses émotions et reconnaître celles des autres.

. - L’autocontrôle de ses émotions et de ses comportements : cela comprend des habiletés comme attendre son tour, accepter un refus, tolérer une frustration, se calmer et s’adapter à une situation. - La résolution de conflits : c’est-à-dire reconnaître les problèmes, régler les conflits avec des mots, trouver et proposer des solutions, négocier et faire des compromis. Alors pourquoi les enseigner ? Que peut on enseigner ? Comment ? Activités : empathie, esprit critique, vivre ensemble etc. Depuis 2010 Yapaka soutient « le jeu des trois figures » initié par Serge Tisseron et mène une formation pour les institutrices de maternelle.

Activités : empathie, esprit critique, vivre ensemble etc.

L’expérience menée avec plus de 200 enseignants nous amène aujourd’hui à élargir le projet afin de mieux l’intégrer dans un dispositif plus complet. Outil : "Dis moi tout ! Un jeu de plateau pour papoter". Règle du jeu "Dis moi tout !

Outil : "Dis moi tout ! Un jeu de plateau pour papoter"

Un jeu de plateau pour papoter" Imprimez le plateau du jeu "Dis moi tout" en bas de cette fiche. Il se compose d'une page. Il faudra vous munir d'un dé et de pions (que vous pouvez improviser, ici nous avons utilisé des bouchons de feutres). La règle du jeu est simple : placer tous les pions sur la case départ, le plus jeune joueur lance le dé et avance d'autant de case qu'indiqué sur le dé.Il doit alors répondre à la question posée sur la case. Vous pouvez très bien, en fonction de l'âge des joueurs, ajouter une finalité une fois la case "Arrivée" atteinte : nombre de points communs, ce que j'ai appris sur l'autre, ce qui m'a surpris, etc...On peut aussi ajouter le droit de répondre 1 fois "Joker" si on ne souhaite pas répondre à une question.

Activités : Développer l'empathie et réduire la violence à l'école. Je vous propose de découvrir quelques jeux qui permettent de développer l’empathie et de réduire la violence à l’école.

Activités : Développer l'empathie et réduire la violence à l'école

Ils peuvent aussi se pratiquer à la maison. Le jeu du bienveilleur invisible En début de semaine, chaque élève se voit attribuer le nom d’un de ses camarades de classe dans une enveloppe mystère. Le but est de veiller discrètement sur l’élève désigné. Discrètement car il ne faut pas être démasqué ! À la fin de la semaine, chaque élève doit proposer le nom de son supposé ange-gardien. Chacun peut alors raconter quelles stratégies ont été utilisées pour passer inaperçu, les émotions ressenties, les expériences vécues, pourquoi telle personne a été désignée,… Cela permet ainsi d’exprimer de la gratitude pour clore le jeu en guise de cerise sur le gâteau !

Outils : Vivre ensemble. Jeux : communication non violente. On n’a pas toujours conscience qu’on peut être violent avec des mots ou être violent contre soi.

Jeux : communication non violente

Le processus de la communication non violente (CNV) vise à respecter toutes les formes de vie. C’est amener soi et les autres non pas à agir par peur de la punition, par intérêt de la récompense ou par culpabilité, mais à partir de l’intention de comprendre et satisfaire les besoins de chacun. La communication non violente est une invitation à la lenteur. – Fabienne Posca (formatrice en CNV) On peut essayer d’être empreint de cette communication bienveillante autant que possible lors des conflits : est-ce que j’ai l’intention d’être connecté avec moi et avec l’autre avec lequel je suis en conflit pour nous rendre la vie plus belle ? Jeux coopératifs pour bâtir la paix.