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Reporters Sans Frontières

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Le Conseil d'administration. Le Conseil d’administration de Reporters sans frontières est composé de 25 administrateurs élus pour deux ans au scrutin secret par les membres de l’association lors de l’assemblée générale annuelle.

Le Conseil d'administration

Tous les membres actifs, à jour de leur cotisation, peuvent être candidats au Conseil d’administration. Les membres du Conseil d’administration se réunissent au moins quatre fois par an. Le conseil d’administration a en charge la mise en oeuvre des grandes orientations adoptées par l’assemblée générale. Il fixe les objectifs et définit les actions de l’association. Le Conseil d’administration élit, parmi ses membres, un bureau exécutif chargé de veiller à la mise en oeuvre des orientations et des décisions du Conseil et de l’assemblée générale.

Le Conseil émérite. Composé de personnalités qui se sont distinguées dans le domaine de la défense des droits de l’homme, notamment la liberté d’informer ou d’être informé, le Conseil émérite a vocation à soutenir et enrichir le combat de Reporters sans frontières.

Le Conseil émérite

Les membres du Conseil émérite de Reporters sans frontières sont : Robert Badinter Avocat français, sénateur et ancien ministre de la Justice. Il a œuvré à la promotion des libertés publiques (abolition de la peine de mort en France) et à la défense des droits humains au sein de plusieurs institutions européennes et internationales. Shirin Ebadi Avocate iranienne, Prix Nobel de la Paix en 2003. Elle est l’une des figures emblématiques de la défense des droits humains en Iran, dénonçant et combattant les violences et la censure. Baltasar Garzón Magistrat espagnol. Adam Michnik Journaliste, essayiste et historien polonais. Michèle Montas Journaliste haïtienne. Taslima Nasreen Ancien médecin aujourd’hui auteure bangladaise. Ils nous soutiennent. Ils soutiennent Reporters sans frontières A2Presse assure, à titre bénévole, la commercialisation des albums de photographies de l’organisation à travers ses catalogues d’offres d’abonnements presse et de son site Internet.

Ils nous soutiennent

Chaque année, Air France aide Reporters sans frontières à réaliser des missions d’investigation dans le monde entier. Algoé Management, société de conseil en management, via son association Algorev, aide l’organisation à améliorer son fonctionnement. American Express : Depuis plus de 150 ans, Confiance, Sécurité, Vigilance et Service sont les valeurs fondamentales d’American Express. C’est pourquoi le groupe présent dans plus de 200 pays à travers le monde a choisi de s’associer à Reporters sans Frontières pour apporter aux journalistes qui en ont besoin une assistance téléphonique avec SOS Presse. Le financement de Reporters sans frontières par la NED/CIA. Otto Reich, ami de RSF et expert en coups d’État.

Le financement de Reporters sans frontières par la NED/CIA

Montage à partir du logo de RSF et de celui de la campagne de l’association contre « Les prédateurs de la liberté de la presse ». Pour en savoir plus sur l’organisateur de coups d’État en Amérique latine, lire notre article « Otto Reich et la contre-révolution ». Le magnat britannique de la presse Lord Northcliff a dit un jour : « L’info, c’est quelque chose que quelqu’un, quelque part, tient à garder secret. Reporters sans scrupules. Reporters sans frontières (RSF), honorable association progénocidaire, poursuit la revue lyonnaise Golias pour avoir publié dans une liste de « prêtres ou pasteurs qui ont assassiné ou encouragé les assassinats au Rwanda » le nom d’André Sibomana, lauréat 1994 du prix de cette même association.

Reporters sans scrupules

Golias offre depuis le début de l’été de publier un droit de réponse dans ses colonnes. Mais Reporters sans frontières demande qu’un démenti soit publié dans dix organes de presse français et internationaux. Christian Terras, le rédacteur en chef de Golias, remarque qu’à raison de 30.000 francs l’insertion, ceci revient à tuer sa revue. De plus, il affirme qu’« à aucun prix, [il] ne fera un rectificatif : je ne reconnaîtrai jamais que c’est une erreur. » Un autre journaliste a avoir pris la défense de Sibomana est Noël Copin, l’ancien directeur de la rédaction de La Croix... Soulignons que tous les présumés responsables du génocide rwandais échappent à ce jour aux poursuites. Toujours le Rwanda. La guerre de désinformation de Reporters sans frontières contre le Venezuela. Robert Ménard.

La guerre de désinformation de Reporters sans frontières contre le Venezuela

Reporters sans frontières et RCTV. Les mensonges de Reporters sans frontières. Bombardement de l’hôtel Palestine le 8 avril 2003.

Les mensonges de Reporters sans frontières

En médaillon, Robert Ménard, directeur de Reporters sans frontières. Dans une déclaration datant du 6 juillet 2005, Reporters sans frontières (RSF) répond aux accusations portées à son encontre concernant son acharnement obsessionnel envers Cuba, ses liens financiers occultes avec le gouvernement des États-Unis et certaines multinationales, ainsi que les rapports qu’elle entretient avec des organisations aux activités douteuses dont certaines sont gravement impliquées dans le terrorisme international [1]. Selon RSF, « la liberté de la presse n’existe pas » à Cuba car « l’information reste un monopole d’État » [2].

Ainsi, les journalistes cubains sont, d’après l’organisation dirigée par M. Ménard, soit des incompétents inaptes à saisir la réalité de leur pays, soit des laquais entièrement dévoués aux desideratas du gouvernement de La Havane et incapables de se démarquer de la ligne officielle. Luis Posada Carriles. Reporters sans frontières et ses contradictions. Quand Reporters Sans Frontières couvre la CIA. Robert Ménard, directeur de Reporters sans Frontières Lors des procès de La Havane, en 2003, Nestor Baguer a publiquement mis en cause Robert Ménard, qu’il a accusé de collusion avec les services secrets états-uniens.

Quand Reporters Sans Frontières couvre la CIA

Dans la même période, Reporters sans frontières (RSF), dont M. Ménard est le directeur exécutif, a mené campagne contre le gouvernement cubain, qu’il accuse d’emprisonner les journalistes dissidents. Quand Reporters sans frontières légitime la torture. Robert Ménard (au centre) et les tortionnaires d’Abou Ghraib (Photomontage) Robert Ménard, le secrétaire général de l’organisation parisienne Reporters sans frontières (RSF) depuis 1985, est un personnage extrêmement médiatique qui prétend défendre la « liberté de la presse » et qui se drape dans un discours humaniste plutôt apprécié de l’opinion publique.

Quand Reporters sans frontières légitime la torture

Le silence de Reporters Sans Frontières sur le journaliste torturé à Guantanamo. Sami al Hajj Le 22 septembre 2001, Al Jazeera a envoyé une équipe de journalistes, dont faisait partie M. al Hajj, enquêter sur le conflit en Afghanistan.

Le silence de Reporters Sans Frontières sur le journaliste torturé à Guantanamo

Après 18 jours de reportage, le groupe s’est retiré au Pakistan. En décembre 2001, M. al Hajj est retourné avec ses collègues couvrir l’investiture du nouveau gouvernement afghan. Mais, avant d’avoir pu atteindre la frontière, la police pakistanaise a procédé à l’arrestation du journaliste soudanais, relâchant les autres membres de l’équipe qatarie [1].

Transféré aux autorités étasuniennes installées en Afghanistan, M. al Hajj allait vivre un véritable cauchemar sur la base aérienne de Bagram. « Ce furent les pires [jours] de ma vie », a-t-il témoigné. La face cachée de Reporters Sans Frontières : De la CIA aux faucons du Pentagone.