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Stress

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Le stress est polysémique, il désigne à la fois la source et le ressenti.

Le stress c'est un mot qui a une centaine d'année, c'est un médecin endocrinologue autrichien, Hans Selye qui l'a inventé pour désigner un syndrome général d'adaptation. Qu'est-ce que le stress ? Une psychologue parcourt la scène tout en enseignant la gestion du stress à une audience avertie.

Qu'est-ce que le stress ?

Quand elle souleva un verre d’eau, tout le monde s’attendait à la fameuse question du « verre à moitié vide ou à moitié plein ». Au lieu de cela, avec un sourire sur son visage, elle demanda à l’assistance : « Combien pèse ce verre d’eau ? ». Les réponses entendues variaient de 200 à 600 grammes.Elle répondit : « Le poids absolu n’a pas d’importance.Cela dépend de combien de temps je le tiens.Si je le tiens pendant une minute, ce n’est pas un problème.Si je le tiens pendant une heure, j’aurai une douleur dans mon bras.Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras se sentira engourdi et paralysé. Hans Selye, le Montréalais qui a expliqué le stress. C’est à Montréal que le Dr Hans Selye mit en évidence dans les années 1930 cette réaction physiologique du corps aux attaques extérieures qui lui sont infligées.

Hans Selye, le Montréalais qui a expliqué le stress

Cette découverte fondamentale, qu’il nomma « réponse de stress », lui valut le surnom d’Einstein de la médecine Déjà, alors qu’il était étudiant en médecine à la fin des années 1920, Hans Selye avait remarqué que tous les patients, peu importe la maladie dont ils souffraient, avaient l’air malade. Il en conclut alors que ce symptôme commun à tous les patients correspondait probablement à une « réponse non spécifique du corps » à l’agression — en l’occurrence la maladie — dont il était victime, car cette réponse était toujours la même et se distinguait des symptômes spécifiques à chaque maladie. Ce n’est qu’au cours de ses recherches au Département de biochimie de l’Université McGill, en 1934, qu’il découvrit qu’il s’agissait de la « réponse biologique au stress ».

Trois stades. Réponse combat-fuite. Chez les animaux, plusieurs espèces préfèrent combattre plutôt que de fuir.

Réponse combat-fuite

Un exemple ci-contre avec des coqs. D'autres, cependant, préfèrent fuir par peur ou pour éviter tout conflit. Stress. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Stress

Stress chez l'humain. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Stress chez l'humain

Le stress qualifie à la fois une situation contraignante et les processus physiologiques mis en place par l'organisme pour s'y adapter. Chez l'homme adulte, le stress peut avoir des origines physiques, pathogéniques (ayant une maladie génétique, infectieuse ou parasitaire comme origine par exemple), socio-psychiques, médiées par divers processus hormonaux (hormones de stress[1]), chimiques et biochimiques de l'organisme. Ses conséquences diffèrent selon l'individu ou le groupe (capacités d'adaptation et de résilience) et selon que le stress soit temporaire ou chronique, ainsi que selon le sexe[2] À court terme, un stress modéré n'est pas nécessairement mauvais, sinon indispensable, mais ses effets à long terme peuvent engendrer de graves problèmes de santé.

Le cerveau et les réactions au stress. Par JL Monsempès Le cerveau est-il équipé pour faire face aux changements et ne pas succomber à la peur ?

Le cerveau et les réactions au stress

Oui, selon deux neuropsychologues, Jacques Fradin et Camille Lefrançois, auteurs de l’article “Comprendre le stress pour le vaincre” dans la revue Cerveau &Psycho n°18. Selon les auteurs, le cerveau est capable d’affronter des changements importants à condition de faire preuve de flexibilité en mettant en place des stratégies efficaces. Encore cette loi des variétés requises ? Stress : l'apport des Neurosciences.

Le Stress Gagnant [Groupe Esprit de Corps] Comment faire du stress votre ami? [ TED Talk : Kelly McGonigal ] La petite voix [David Lefrançois] Émotions désagréables. Vigilance.

Facteurs de stress

Anti-stress. Régulation du stress. L'intestin. Stress chronique. Compétences situationnelles. Stress Better. Énergie corporelle. Glande sudoripare. Performance. Process Com. La troisième position de la PNL à l'épreuve de la science. Parler à la troisième personne peut vous aider à contrôler vos émotions Si vous pratiquez la PNL, vous connaissez certainement le modèle des positions de perception, comme moyen d’enrichir nos représentations mentales et acquérir plus de choix dans une situation dans laquelle on peut se sentir coincé.

La troisième position de la PNL à l'épreuve de la science

Et l’expérience du modèle des positions perceptuelles confirme son efficacité. Mais qu’en est-il de la validation scientifique ? Les travaux de chercheurs de la Michigan State University viennent de montrer que le simple fait de parler de soi à la troisième personne lors de périodes stressantes, facilite le contrôle des émotions sans plus d’effort mental que ce qui est pratiqué pour parler à la première personne – qui est en fait la façon la plus courante de s’exprimer parlent normalement. Prenons par exemple le cas d’un homme nommé John qui est contrarié d’avoir été rejeté. Dans la première expérience réalisée au laboratoire de psychophysiologie clinique de Jason S. Référence du journal.

Livres

Podcasts. Evolution humaine. En avoir gros sur le coeur : un danger pour la santé - X:enius. Pendant des décennies, le cœur n’a été pour la médecine moderne qu’une pompe à réparer en cas de nécessité.

En avoir gros sur le coeur : un danger pour la santé - X:enius

Les spécialistes sont désormais bien mieux informés : une nouvelle discipline, la psychocardiologie, a fait son apparition. Elle se penche sur les effets du stress et de la tristesse sur le cœur. Dans l’Antiquité, les médecins et les poètes parlaient déjà de « cœurs brisés ». Il s’avère aujourd’hui qu’on peut vraiment mourir de chagrin.