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Algorithme

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Aurélie Jean, une scientifique numérique qui bouscule les codes. Photo Géraldine Aresteanu Vous êtes passée maître dans l’art de coder.

Aurélie Jean, une scientifique numérique qui bouscule les codes

Comment définir cette discipline ? Coder, c’est écrire un programme dans un langage compréhensible par un ordinateur, dans le but de lui fournir des commandes, des opérations à exécuter. Vous vous définissez comme scientifique numérique... J’utilise le terme de sciences numériques et non d’intelligence artificielle, que j’apprécie peu. Pourriez-vous expliquer en quoi consiste votre activité ? Quel est l’intérêt de ces simulations ? Sorbonne, ENS, Mines tech, MIT… Votre parcours universitaire est impressionnant. Le code vous a permis de découvrir des domaines très différents… Oui, j’ai travaillé dans la médecine, l’ingénierie, l’économie, la finance, l’éducation ou encore le journalisme !

Vous avez créé votre entreprise. Où êtes-vous installée aujourd’hui ? Sur votre compte Twitter, vous évoquez régulièrement la Bretagne… Ma famille est originaire de Bretagne, même si je suis née et que j’ai grandi à Paris. Algorithme. Un algorithme est une suite finie et non ambiguë d’opérations ou d'instructions permettant de résoudre une classe de problèmes[1].

Algorithme

Le mot algorithme vient du nom d'un mathématicien perse du IXe siècle, Al-Khwârizmî (en arabe : الخوارزمي)[2]. Le domaine qui étudie les algorithmes est appelé l'algorithmique. On retrouve aujourd'hui des algorithmes dans de nombreuses applications telles que le fonctionnement des ordinateurs[3], la cryptographie, le routage d'informations, la planification et l'utilisation optimale des ressources, le traitement d'images, le traitement de textes, la bio-informatique, etc.

Définition générale[modifier | modifier le code] Qu’est-ce qu’un algorithme ? Même si les algorithmes sont souvent considérés comme étant du ressort exclusif des mathématiques et de l'informatique, leur champ d'application est en réalité beaucoup plus vaste.

Qu’est-ce qu’un algorithme ?

Le mot « algorithme » vient du nom du grand mathématicien persan Al Khwarizmi (vers l’an 820), qui introduisit en Occident la numération décimale (rapportée d’Inde) et enseigna les règles élémentaires des calculs s’y rapportant. La notion d’algorithme est donc historiquement liée aux manipulations numériques, mais elle s’est progressivement développée pour porter sur des objets de plus en plus complexes, des textes, des images, des formules logiques, des objets physiques, etc. De la méthode Un algorithme, très simplement, c’est une méthode. Une façon systématique de procéder pour faire quelque chose : trier des objets, situer des villes sur une carte, multiplier deux nombres, extraire une racine carrée, chercher un mot dans le dictionnaire… Il se trouve que certaines actions mécaniques – peut-être toutes ! Algorithme et humanisme. Pas un jour sans qu’un ouvrage critique ne sorte sur la puissance de l’intelligence artificielle et des algorithmes, leurs enjeux politiques et éthiques, la mathématicienne Cathy O’Neil usant même de la métaphore « Weapons of Math Destruction ».

Algorithme et humanisme

Un petit tour dans les actualités, et l’usage des algorithmes court du plus anodin au plus déterminant : traquer les médicaments dangereux ou le restaurant qui vous a rendu malade, vendre un tableau peint par un algorithme, pratiquer la médecine prédictive, décrypter les attentes du touriste européen, trouver le juste prix d’un service, produire une note sociale liée à nos comportements, « aider » la justice pour faire ses verdicts, optimiser un recrutement, orienter nos goûts culturels, etc. Éric Sadin a donc repris la plume pour poursuivre son travail autour de nos vies algorithmiques, avec un nouvel opus, l’Intelligence artificielle ou l’enjeu du siècle. Anatomie d’un antihumanisme radical (l’Échappée, 2018). Homo servus, l’homme algorithmique. Le livre commençait plutôt bien.

Homo servus, l’homme algorithmique

Dans Homo deus. Une brève histoire de l’avenir (Albin Michel, 2017), Yuval Noah Harari revient sur notre temps heureux, des morts infantiles moindres, de l’allongement de la vie, des guerres moins meurtrières. Certes, l’on continue de mourir, mais parce que l’on est obèse, dépressif et vieillissant, et pas nécessairement sur un champ de combat ou atteint d’une maladie infectieuse dévastatrice.

Une fois posé cela, le tableau s’obscurcit néanmoins. À trop vouloir faire l’ange, on fait la bête… à trop vouloir devenir dieu, on devient esclave. La santé permettra bientôt de donner un avantage comparatif aux individus… et qui refusera sera lésé, sans parler de celui qui n’y aura pas accès, pour des raisons économiques ou politiques. Initiation à la programmation. Théorie des graphes. Logique.

Catégorie

Big Data. Intelligence artificielle. Manipulation 2.0. Éthique numérique. Algorithms. Gérard Berry. Stratégie. Prédictions. Algorithme de consensus. Problème des généraux byzantins. Théorème CAP. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Théorème CAP

Le théorème CAP ou CDP, aussi connu sous le nom de théorème de Brewer dit qu'il est impossible sur un système informatique de calcul distribué de garantir en même temps (c'est-à-dire de manière synchrone) les trois contraintes suivantes[1],[2] : Cohérence (Consistency en anglais) : tous les nœuds du système voient exactement les mêmes données au même moment ;Disponibilité (Availability en anglais) : garantie que toutes les requêtes reçoivent une réponse;Tolérance au partitionnement (Partition Tolerance en anglais) : aucune panne moins importante qu'une coupure totale du réseau ne doit empêcher le système de répondre correctement (ou encore : en cas de morcellement en sous-réseaux, chacun doit pouvoir fonctionner de manière autonome).

D'après ce théorème, un système de calcul/stockage distribué ne peut garantir à un instant T que deux de ces contraintes mais pas les trois[3]. Historique[modifier | modifier le code]

Livres

Podcasts. AlgoTransparency.