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Quelle organisation du travail demain ?

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Travail à domicile : bien peser les avantages et les inconvénients pour l'entreprise et le salarié. Après et confinement décrété et le déconfinement progressif, le travail à distance devient la normalité.

Travail à domicile : bien peser les avantages et les inconvénients pour l'entreprise et le salarié

Focus sur les avantages et les inconvénients du travail à domicile. Economie du temps de trajet mais piège du travail sans fin Ramené à une année de travail sur les jours ouvrés en comptant 1 heure pour l’aller et 1 h pour le retour, cela correspond à 2 X 200 soit 4000 heures qui à raison de 8 heures de travail par jour fait gagner 50 jours sur l’année soit 2 mois. Outre la fatigue, l’énervement et la pollution des transports, cela fait un gain très important de temps qui peut être investi dans le travail ou les loisirs. En revanche, celui qui travaille chez lui peut connaître le syndrome du travail qui ne se termine jamais.

Meilleure productivité mais risque d’isolement Diminution des charges de bureau pour l’entreprise Suppression des réunions inutiles mais risque de sollicitations personnelles. À quoi ressembleront les bureaux après le confinement  Entreprise Le déconfinement débutera le 11 mai 2020.

À quoi ressembleront les bureaux après le confinement 

Les dirigeants se préparent désormais pour permettre à leurs salariés de retourner au bureau, tout en assurant leur sécurité face au Covid-19. Selon le Code du travail, l’employeur est ainsi tenu par la loi de “prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés”. Il ne doit pas seulement diminuer le risque, mais l’empêcher, en mettant en œuvre des “méthodes de travail et de production garantissant un meilleur niveau de protection”.

À l’entreprise d’éliminer à la source les dangers en matière de santé et de sécurité. Une “réorganisation de la vie au travail” Pendant son discours dédié au déconfinement, Édouard Philippe a demandé aux entreprises de maintenir le télétravail jusqu’à au moins début juin, et préconise la “réorganisation de la vie au travail”. Actuellement, 30 à 40 % des salariés sont en télétravail, dans 95 % des entreprises françaises. Le Covid-19 sonnera-t-il le glas du travail tel que nous le connaissons ? Pas une semaine ne se passe sans que les médias ne prédisent la disparition des open spaces : « Covid-19 : l’open space va-t-il (enfin) disparaître ?

Le Covid-19 sonnera-t-il le glas du travail tel que nous le connaissons ?

» (Usbek et Rica, le 7 mai) ; « Haro sur les open spaces, ruée sur le plexiglas… le bureau à l’heure du Covid-19 » (Le Monde, le 1er mai) ; « Voici pourquoi le Covid-10 va tuer les open spaces » (le JDD, le 27 avril). Faut-il en conclure que la crise sanitaire sera l’occasion d’éliminer définitivement ces espaces de travail décriés depuis fort longtemps ? Or, la véritable interrogation semble être d’un autre ordre. La question n’est pas de savoir si l’open space va survivre ou disparaître : la question est de savoir si cette crise va nous donner – ou pas – une occasion unique de réinterroger notre rapport à l’espace et au temps de travail, de repenser nos organisations et nos manières de travailler. Nous pouvons identifier cinq transformations essentielles dans notre rapport à l’espace, au travail et au management.

Covid-19 : l’open space va-t-il (enfin) disparaître ? Open space et pandémie de Covid-19 ne font pas bon ménage.

Covid-19 : l’open space va-t-il (enfin) disparaître ?

Le recul temporaire de l’open space pourrait-il entraîner sa disparition ? Voici une brève histoire d’un espace de travail que la recherche de « rendement-moquette » a imposé au fil des décennies, pour le meilleur et sans doute surtout pour le pire. L’open space outragé, l'open space brisé, mais l’open space pérennisé : au fil des années, il devient évident que toutes les études pointant ses travers ne suffiront pas. Bruit, stress, fatigue, sensation de surveillance, privation d'intimité : on lui reproche à peu près tout, et l’open space se maintient. Ressources humaines : comment le Covid-19 révolutionne PSA. Bureaux: l'après confinement signera-t-il la mort de l'open-space? Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business Face à la pandémie de coronavirus, le monde de l'entreprise devra revoir en profondeur les espaces dans lesquels les salariés travaillent et évoluent.

Bureaux: l'après confinement signera-t-il la mort de l'open-space?

Télétravail, "open space", "coworking": le coronavirus va changer la vie de bureau. Le retour au bureau après le confinement imposé par le coronavirus oblige à repenser l'aménagement des espaces de travail avec un grand gagnant, le travail à distance, et une victime, les open spaces ancienne formule, selon des experts interrogés par l'AFP.

Télétravail, "open space", "coworking": le coronavirus va changer la vie de bureau

Selon la dernière édition, datant de 2017, du baromètre de la qualité de vie au bureau, réalisé par TNS Sofres et Actineo, trois actifs sur cinq (65%) travaillant au bureau sont dans un espace fermé, 29% dans un espace collectif ouvert (ou "open space") et 6% sont sans poste attitré (bureau partagé ou "desk-sharing"). Déconfinement : la crise du Covid-19 apportera-t-elle plus de bien-être au travail.

Management Le confinement et la crise du coronavirus auront-ils un impact sur nos conditions de travail demain ?

Déconfinement : la crise du Covid-19 apportera-t-elle plus de bien-être au travail

Cette séquence de confinement aura certainement un impact sur notre façon de travailler, ainsi que sur notre façon d’appréhender la qualité de vie au travail (QVT) et le bien-être des salariés. Pour le moment, il est difficile d’analyser précisément cela, dans la mesure où la moitié des salariés sont en chômage partiel. La situation actuelle est anormale, inédite, et nous ne pouvons pas la comparer avec ce que nous avons vécu de façon continue depuis plusieurs années. Mais il est possible d’analyser ce qui est satisfaisant aujourd’hui, et ce qui pose problème, d’un point de vue bien-être et QVT.

Je constate que le confinement, qui devrait prendre fin le 11 mai prochain, crée une forte tension et démultiplie les facteurs de risques psychosociaux. Le coronavirus va-t-il faire disparaître les bureaux en open space ? Le coronavirus et le confinement qui en découle bouleversent l’organisation du travail.

Le coronavirus va-t-il faire disparaître les bureaux en open space ?

Les bureaux en « open space » ne seront pas épargnés par ce questionnement lors du déconfinement. Plusieurs aménagements (cloisons, télétravail) sont étudiés par les entreprises. Comment travailler avec la menace du coronavirus ? De nombreux salariés et entrepreneurs ont déjà dû s’adapter aux contraintes créées par l’épidémie : port de gants, de masques, installation de vitres, désinfection des équipements… Au-delà des cas particuliers à chaque profession, le Covid-19 pose plus globalement la question de l’organisation spatiale du travail.

Confinement : ”Après la crise, la parentalité en entreprise y gagnera certainement” Management De nombreux télétravailleurs sont obligés de gérer leurs enfants en parallèle.

Confinement : ”Après la crise, la parentalité en entreprise y gagnera certainement”

Pour vous, le confinement va-t-il bouleverser la distinction vie professionnelle – vie personnelle ? Il y a des points positifs car cela permet à des individus de passer plus de temps avec leurs enfants, de revenir à l’essentiel (leur famille), d’expérimenter le télétravail, mais il y a aussi des limites car il peut être difficile de concilier vie pro et vie parentale. Les deux sphères ne doivent ni être totalement hermétiques, ni poreuses. Un concept anglo-saxon, le “blurring”, considère que tout est mêlé, mais même en confinement, il faut poser des règles du jeu, des horaires et des barrières pour créer un équilibre.

62 % des Français voudront faire plus de télétravail après le confinement. Management Deskeo, opérateur de bureaux flexibles, vient de publier les résultats d’une nouvelle étude sur le télétravail qui révèle un véritable engouement des Français pour ce système.

62 % des Français voudront faire plus de télétravail après le confinement

“Notre premier sondage réalisé après quelques jours de confinement nous indiquait que les trois quarts des Français en télétravail forcé regrettaient déjà leurs bureaux, explique Franck Zorn, co-fondateur de Deskeo. Après 4 semaines d’expérimentation nationale du home-office, les Français ont non seulement pris l’habitude de travailler de chez eux, mais ils voudront le faire plus souvent après le confinement. ” Asynchronisme, confiance, bienveillance : comment le confinement changera notre façon de travailler. Finalement, après le confinement nous voulons du télétravail. Deux semaines après une étude qui montrait notre envie de bureaux, Deskeo, opérateur de bureaux flexibles en France, publie une nouvelle étude qui affirme que 62% des sondés veulent continuer à exercer leur métier en télétravail après le confinement. C’est un référendum : 6 Français interrogés sur 10 ont pris goût au travail à distance. Seuls 12% ne souhaitent pas changer leurs habitudes et attendent de retrouver leur ancien rythme de travail. 62% des Français veulent plus de télétravail après le confinement Un chiffre qui semble en contradiction avec la précédente étude de Deskeo qui mettait en évidence les 76% de télétravailleurs regrettant leur bureau.

L’opérateur explique cette contradiction par un biais dans la méthodologie de son premier sondage. Le télétravail, c’est moins de transports et c’est mieux Les Français détestent perdre du temps dans les transports explique Deskeo. Pourquoi la culture du télétravail va clairement s’imposer après le confinement. Coronavirus : pour 2 salariés sur 3, le télétravail sera plus courant à l’issue de la crise sanitaire. Management Depuis presque 15 jours, une majorité de Français sont confinés chez eux et les salariés pouvant exercer leur métier depuis leur domicile sont en télétravail. Une révolution pour un bon nombre d’employeurs mais également de salariés, qui dans bien des cas, peinaient à convaincre leur entreprise d’effectuer du télétravail.

Une situation subie, comme en témoignait une étude Deskeo la semaine dernière.