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Finance

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La primera ‘lista Falciani’ La primera lista de evasores elaborada con la información de Hervé Falciani que llegó a España en 2010 permitió a Hacienda recuperar 260 millones de euros.

La primera ‘lista Falciani’

El repertorio, con 1.500 nombres, sirvió para identificar a 659 presuntos evasores. Un rastreo iniciado por EL PAÍS en diferentes juzgados de España ha permitido identificar a algunos de ellos. Se trata de aquellos contra los que se apreciaron indicios de delito fiscal, es decir, los casos en los que la cantidad supuestamente defraudada superó los 120.000 euros. Manuel Lao Hernández. Hervé Falciani. Hervé Daniel Marcel Falciani (born 9 January 1972) is a Franco-Italian system engineer who since 2009 has been collaborating with numerous European nations by providing information relating to more than 130,000 suspected tax evaders with Swiss bank accounts - specifically those with accounts in HSBC's Swiss subsidiary HSBC Private Bank.[1][2][3][4][5][6][full citation needed] Bio[edit] After studying at the Sophia Antipolis technology park , he become a computer in the swiss branch of HSBC bank between 2001 and 2008.[7] In 2006 he worked to reorganize the database of the organization to improve its security.[8] Falciani declares that he realized that the way to manage data in the HSBC bank fostered tax evasion, and proposed a new system, which was rejected by his superiors in the bank.[9] Falciani tried to put all that information available to the swiss judicial authorities, but was unsuccessful.

Hervé Falciani

Personnages clés. Glass-Steagall Act. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Glass-Steagall Act

Le Glass-Steagall Act est le nom sous lequel est généralement connu le Banking Act de 1933 aux États-Unis par lequel sont instaurés : l'incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d'investissement ;le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires ;le plafonnement des taux d'intérêt sur les dépôts bancaires (règlementation Q). Sandy Weill. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sandy Weill

Sandford Weill en 2009 Sanford I. Weill (« Sandy » Weill), né le 16 mars 1933 à Brooklyn[1], est un banquier américain[2], financier et philanthrope. Il a été dirigeant de la banque Citigroup jusqu'en 2006. Timothy Geithner. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Timothy Geithner

Timothy « Tim » Franz Geithner, né 18 août 1961 à New York, est un haut fonctionnaire américain. 9e président de la Federal Reserve Bank de New York et, à ce titre, le vice-président du Federal Open Market Committee (FOMC), il est entre 2009 et 2013 secrétaire au Trésor des États-Unis au sein de l'administration du président Obama.

Ben Bernanke. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ben Bernanke

Banques : le scandale du Libor expliqué aux nuls. Sociétés : Scandale du Libor : deux banques françaises suspectées. Les régulateurs bancaires examinent les liens entre Barclays, à l'origine du scandale, et quatre banques européennes, dont Crédit agricole et Société générale. Une réforme du système du Libor est en projet. Deux banques françaises sont soupçonnées aux côtés de Barclays dans le scandale du Libor, qui fait l'objet d'investigations parallèles aux États-Unis, en Europe et en Grande-Bretagne.

Les régulateurs se penchent sur l'implication présumée de traders travaillant pour le compte de quatre autres grandes banques européennes. De sources concordantes, les enquêtes qui se concentraient jusqu'à présent sur Barclays, à l'origine du scandale, s'étendent désormais au rôle joué par les deux françaises Société générale et Crédit agricole ainsi que l'allemande Deutsche Bank et la britannique HSBC. Libor. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Son nom a été formé à partir des initiales de la dénomination anglaise London interbank offered rate (en français : « taux interbancaire pratiqué à Londres »).

Scandale du Libor : neuf nouvelles banques citées. Neuf banques supplémentaires ont été citées à comparaître par la justice américaine dans le cadre de l'enquête sur des soupçons de manipulation des taux interbancaires Libor, rapporte vendredi 26 octobre le Wall Street Journal.

Scandale du Libor : neuf nouvelles banques citées

Citant une source proche de l'enquête, le quotidien précise que ces nouvelles citations, envoyées en août et septembre mais restées confidentielles jusqu'à présent, portent à seize le nombre de telles procédures dans ce dossier. Les neuf banques citées par le quotidien économique sont Bank of America, Bank of Tokyo Mitsubishi UFJ, Credit Suisse, Lloyds Banking Group, Rabobank, Royal Bank of Canada, Société générale, Norinchukin Bank et WestLB. L'enquête menée conjointement par les services du procureur de l'Etat de New York, Eric Schneiderman, et ceux du procureur du Connecticut, George Jepsen, est conduite en parallèle à plusieurs autres procédures en Europe.

Ce dossier a également suscité des débats sur le rôle des autorités de marché et des banques centrales. Le monde d'après. Joseph Stiglitz : "Notre système de marché ne fonctionne pas" Plan Paulson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Plan Paulson

Le Plan Paulson, ou TARP[note 1], est l'une des mesures mises en place par les États-Unis à partir de septembre 2008 pour faire face à la crise financière de 2008, elle-même enfantée par la crise des subprimes qui a débuté en 2007 et qui menaçait le système financier international. Il s'appuie sur l’Emergency Economic Stabilization Act of 2008, une loi initialement proposée par le Secrétaire au Trésor des États-Unis Henry Paulson et par le président de la Réserve fédérale des États-Unis Ben Bernanke[1]. Initialement, ce plan prévoyait que le Département du Trésor des États-Unis achèterait des actifs toxiques américains, principalement des mortgage-backed securities, de banques faisant affaire aux États-Unis jusqu'à concurrence de 700 milliards USD.