background preloader

Membres société Romaine

Facebook Twitter

Esclavage en Rome antique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Esclavage en Rome antique

L'esclavage dans la Rome antique est l'institution qui régit la condition des non-libres (appelés servi, singulier servus), juridiquement assimilés à des choses. Souvent, les personnes réduites en esclavage, ou maintenues dans cette condition d'esclave, proviennent d'autres peuples conquis, ce qui se manifeste souvent par une langue, une religion, voire une couleur de peau, différentes de celles des maîtres. Le prestige d'un Romain se calcule au nombre d'esclaves qu'il possède. Certains en commandent plusieurs milliers.

Le simple citoyen se satisfait d'un ou deux. Les sources de l'esclavage[modifier | modifier le code] La source principale de l'esclavage provient des conquêtes de la guerre. Femme romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Femme romaine

La femme romaine est traditionnellement, c'est-à-dire selon la religion romaine, sous la dépendance de son père (pater familias), puis de son mari. Matrone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Matrone

Matrone est un nom propre ou commun qui vient du latin matrona, de mater (mère) avec un suffixe augmentatif, selon une dérivation similaire à pater/patronus (père, patron). Rome antique[modifier | modifier le code] Dans la société antique romaine, la matrone était la mère de famille, digne et respectable, chargée du bon maintien de la maison et de l'éducation des enfants. Elles sont dispensées de tout travail domestique ou agricole sauf du filage de la laine, selon une tradition que les Romains font remonter à l'enlèvement des Sabines. La mère de famille dispose d'un certain pouvoir à l'intérieur de la maison, elle dirige les servantes et les esclaves. Parmi les matrones admirées des Romains, on peut citer Véturia (mère de Coriolan), Cornélia (mère des Gracques), Aurelia Cotta (mère de Jules César), et Atia (mère d'Auguste)[1].

Moyen Âge[modifier | modifier le code] Matrone. Femme romaine. Place des femmes dans la Rome antique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Place des femmes dans la Rome antique

La femme romaine est traditionnellement, c'est-à-dire selon la religion romaine, sous la dépendance de son père (pater familias), puis de son mari. À Rome, on ne conservait en général que la fille aînée. La mention de deux filles dans une famille romaine est exceptionnelle. « Tous les juristes ont relevé ce qu’on appelle la disparition forcée des cadettes[1]». Le phénomène existait aussi chez les garçons chétifs ou victimes d’une malformation. Alors que les garçons reçoivent un prénom, ce qui est une marque d’individualité, les filles ne conservent que celui du père.

Place dans la société[modifier | modifier le code] La coutume romaine donnait originellement le même statut aux femmes que celui des enfants, elles étaient soumises au pater familias qu'il soit père ou mari, de la même manière qu'un enfant. Les femmes, comme dans nombre de civilisations, sont politiquement mineures et exclues de la plupart des droits. PLEBES ou PLEBS. Entrée dans le site - index des institutions Étymologie PLEBES ou PLEBS.

PLEBES ou PLEBS

PLEBEII. Ce mot contient la même racine que im-pleo, com-pleo, &c., et donc est étymologiquement relié au mot grec plebos, terme qui est appliqué aux plébéiens par les auteurs grecs les plus autorisés sur l'histoire romaine, alors que d'autres les appellent incorrectement demos ou demotikoi. Les plébéiens sont l’ensemble du peuple de Rome et constituent un des deux grands éléments de la nation romaine : c’est à cause d’eux que les périodes anciennes de l'histoire romaine ont un caractère et un intérêt particuliers. Origine : les clients Les anciens eux-mêmes ne sont pas d’accord sur le moment où les plébéiens ont commencé à faire partie de la population romaine. Origine : la destruction d'Albe Même si on peut admettre l'existence de plébéiens à Rome dans les temps les plus reculés, en tout cas leur nombre ne peut être très élevé.

Patriciens et plébéiens Premier essai de tribus par Tarquin l'Ancien. Société romaine. La société romaine antique (societas hominum) s’organise selon une hiérarchie strictement définie, où chacun a son rang qui lui définit ses droits et ses devoirs.

Société romaine

Statut[modifier | modifier le code] La toge romaine était la tenue distinctive des hommes romains, les femmes portaient des stolas. Une tunique (tunica) était portée sous la toge (toga). Les pauvres, les esclaves, et les enfants portaient seulement des tuniques. Pour décrire la position d'une personne dans le système romain, on distingue trois statuts différents. Status libertatis[modifier | modifier le code] Le statut social et juridique des esclaves dans la Rome antique a varié selon les époques.

Les affranchis avaient un statut intermédiaire spécifique : ils bénéficiaient des droits civils et politiques attachés à la citoyenneté, à l'exception du droit d'être élu magistrat. Les hommes nés libres (ingenui) pouvaient alors être : Status civitatis[modifier | modifier le code] Le citoyen latin n'est que plébéien.