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Biodiversité

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VIDÉO. Les causes de l’alarmante disparition des oiseaux en France. #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?

VIDÉO. Les causes de l’alarmante disparition des oiseaux en France

Cliquez ici pour nous alerter ! Le chardonneret élégant, le coucou, le milan royal, le pigeon ramier, la perdrix grise, l’alouette : la situation est alarmante. Non seulement ces oiseaux disparaissent, mais cette disparition s’est accélérée ces dernières années : "Depuis 1989, on a perdu en France à peu près un tiers des oiseaux des milieux agricoles, constate Frederic Jiguet, ornithologue et professeur au Centre d'écologie et des sciences de la conservation du Muséum d’histoire naturelle. Les chercheurs du CNRS de Chizé étudient l'impact de l'environnement sur les espèces animales.

Le laboratoire du Centre d’Etudes Biologiques de Chizé(CEBC) est constitué d’une dizaine de chercheurs, d'une soixantaine d'ingénieurs, de techniciens et d’étudiants.

Les chercheurs du CNRS de Chizé étudient l'impact de l'environnement sur les espèces animales

L'hécatombe des oiseaux de nos campagnes s'accélère en Limousin - Guéret (23000) Nos campagnes seront bientôt silencieuses.

L'hécatombe des oiseaux de nos campagnes s'accélère en Limousin - Guéret (23000)

Depuis des années, les scientifiques annoncent la disparition de nos oiseaux communs ; il y a à peine un mois, ils parlaient d’un déclin massif, « proche de la catastrophe écologique ». L’étude menée par le CNRS et le Museum national d’histoire naturelle l’a confirmé le 20 mars : en quinze ans, un tiers des populations d’avifaune, toutes espèces confondues, a disparu en France. Et le phénomène va en s’intensifiant. En Limousin, la Sepol (1), présente sur le terrain depuis 40 ans, a constaté une baisse de 21,9% des populations d’oiseaux des milieux agricoles sur une douzaine d’années dans sa dernière étude 2002-2014.

Biodiversité : la nature est-elle en fête ? C'est la fête de la nature.

Biodiversité : la nature est-elle en fête ?

Du 22 au 26 mai 2019, des animations se déclinent sur l'ensemble du territoire français. De l'observation des libellules à la visite d'un pollinarium, de la découverte des cours d'eau aux balades curieuses, il s'agit de sensibiliser tous les publics à la nature et à la fragilité de notre environnement. Fragile ? Oui, et déjà bien abîmée parfois. [Vidéo] Exploitation des sols, pollution plastique, espèces invasives… Les cinq causes de l’effondrement de la biodiversité. C’est un cri d’alerte qu’ont lancé les experts scientifiques de l’ONU sur la biodiversité le lundi 6 mai.

[Vidéo] Exploitation des sols, pollution plastique, espèces invasives… Les cinq causes de l’effondrement de la biodiversité

Selon leur rapport, publié après trois ans de recherche, un million d’espèces animales et végétales seraient menacées d’extinction, sur les huit millions d’espèces estimées. "La santé des écosystèmes dont nous dépendons, ainsi que toutes les autres espèces, se dégrade plus vite que jamais. Nous sommes en train d’éroder les fondements mêmes de nos économies, nos moyens de subsistances, la sécurité alimentaire, la santé et la qualité de vie dans le monde entier", a rappelé Sir Robert Watson, Président de l’IPBES.

Les 450 experts notent cinq coupables à cet effondrement. Pour la sauvegarde du Conseil national de la protection de la nature. À l’aube de la 6ème extinction de masse des espèces Nous sommes actuellement responsables de la 6ème grande extinction de masse de la biodiversité planétaire, qui n’épargne aucun territoire, ni aucune espèce, y compris les plus communes, et dont les impacts sur la qualité de vie des humains sont déjà avérés.

Pour la sauvegarde du Conseil national de la protection de la nature

Biodiversité : l’affligeant écart entre le discours et les actes. En matière d’écologie, le hiatus entre les discours et les actes du gouvernement Macron s’avère de plus en plus béant.

Biodiversité : l’affligeant écart entre le discours et les actes

Dernière en date à en faire les frais, la biodiversité, qui est pourtant un enjeu majeur, au moins autant que le climat. Il en va «seulement» de la survie de l’humanité. Pêche, agriculture, bois, médicaments, filtration de l’eau, régulation du climat… Nous dépendons tous des services que nous rend gratuitement le vivant.

Et il est urgentissime d’agir en encourageant enfin «un changement profond» des modèles de production et de consommation. Menaces sur la biodiversité : « Chacun de nous a deux cartes dans sa manche : la carte d’électeur et la carte de crédit » Biodiversité : l’affligeant écart entre le discours et les actes. Le rapport alarmant de l'IPBES : la biodiversité se meurt, nos modes de vie sont en sursis. #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?

Le rapport alarmant de l'IPBES : la biodiversité se meurt, nos modes de vie sont en sursis

Cliquez ici pour nous alerter ! "Nous dépendons très fortement de cette biodiversité que nous sommes en train de dégrader". Voici le bilan exposé par Paul Leadley, professeur à l'université Paris-Sud et coauteur du rapport de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) publié ce lundi 6 mai. "Près d'un million d'espèces menacées d'extinction" : on a lu le rapport choc de l'ONU sur la biodiversité. Outre la menace d'une extinction massive, ce document, présenté comme "le plus exhaustif réalisé à ce jour", insiste aussi sur les solutions pour inverser la tendance.

"Près d'un million d'espèces menacées d'extinction" : on a lu le rapport choc de l'ONU sur la biodiversité

#AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ? Cliquez ici pour nous alerter ! C'est un de ces chiffres que l'on n'oublie pas : environ un million d'espèces animales et végétales sont menacées d'extinction, dont beaucoup dans les prochaines décennies. Pour éviter l’effondrement du vivant, il faut changer l’agriculture et l’alimentation. Actualisation — Lundi 6 mai 2019, midi — L’article a été mis à jour avec les éléments du rapport de l’IPBES, dont l’intégralité des données a été publiée à 11 h ce lundi 6 mai.

Pour éviter l’effondrement du vivant, il faut changer l’agriculture et l’alimentation

Article publié le lundi 6 mai 2019, dans la matinée Fumée verte à l’Unesco : après une semaine de laborieuses négociations, les représentants des 130 États membres de l’IPBES — acronyme désignant la « plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques » — ont accouché d’un « résumé des décideurs » samedi 4 mai peu après 14 h. Quarante pages qui condensent les 1.800 feuilles du rapport scientifique de l’IPBES sur l’état de la biodiversité dans le monde. "Stopper le naufrage de la nature", le très ancien cri d'alarme des scientifiques. #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?

Cliquez ici pour nous alerter ! On pourrait penser que la prise de conscience de la nécessité de protéger la nature date de la fin des années 1980, quand le terme de "biodiversité" s’impose sous la plume du biologiste anglais Edward Osborne Wilson, puis avec comme premier jalon institutionnel, le sommet de la Terre de 1992 à Rio. En réalité, cette prise de conscience est bien plus ancienne. Roger Heim, grand mycologue, a longtemps dirigé le Museum national d’histoire naturelle à Paris. "Une extinction" alors sans commune mesure avec aujourd’hui, mais déjà le scientifique insistait sur le fait que ce n’était pas d’abord l’action directe de l’Homme - comme la chasse ou la pêche - qui entraîne ces extinctions, mais son action indirecte qui détruit l’habitat, cadre de vie des espèces animales et végétales. Un million d'espèces animales et végétales seraient menacées d'extinction selon l'ONU.

L'Homme dépend de la nature mais la détruit méthodiquement. Jusqu'à un million d'espèces animales et végétales pourraient être menacées d'extinction, dont beaucoup "dans les prochaines décennies", selon un projet de rapport de l'ONU sur la biodiversité, obtenu par l'AFP. Eau potable, forêts qui absorbent le CO2, insectes pollinisateurs nécessaires aux cultures, poissons... La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) va se réunir du 29 avril au 4 mai à Paris pour adopter la première évaluation mondiale des écosystèmes depuis près de 15 ans.

L'état des lieux de la biodiversité devrait être aussi inquiétant que les prévisions sur le changement climatique. Disparition d'un million d'espèces : "On n'a que quelques années pour changer de trajectoire" Entre 500 000 et un million d'espèces sont menacées d'extinction dans les prochaines décennies, un chiffre qui sera présenté lors d'un sommet de l'ONU lundi à Paris sur la biodiversité, sorte d'équivalent du GIEC pour la biodiversité. "On n'a que quelques années pour changer de trajectoire, sans quoi de plus en plus d'écosystèmes vont basculer vers ces équilibres inconnus, et on ne sait pas ce que ça va donner. C'est vraiment un saut dans l'inconnu total", met en garde mercredi 24 avril matin sur franceinfo Bruno David, président du Muséum national d'histoire naturelle et biologiste marin. franceinfo : En 500 ans, on estime que 600 espèces avaient disparu, là on parle d'un million, ça veut dire que ça augmente de façon exponentielle ?

Nantes : ils font pousser des micro-forêts 100 fois plus riches en biodiversité. « MiniBigForest » ou comment faire pousser 300 arbres sur l’équivalent de 6 places de parking ! Même si l’idée peut paraître surprenante, c’est possible. La méthode, qui consiste à créer une micro-forêt native, a été mise au point par un botaniste japonais, Akira Miyawaki : 10 fois plus rapide, 30 fois plus dense, 100 fois plus de biodiversité qu’une forêt traditionnelle. Un duo de nantais a entamé cette révolution arboricole discrète dans l’agglomération nantaise. À une dizaine de kilomètres de Nantes, aux Sorinières, l’abbaye de Villeneuve abrite depuis peu la première micro-forêt native de la métropole.

À l’entrée, derrière le mur d’enceinte, 600 tiges pointent le bout du nez à travers le paillage. Elle est membre des Colibris depuis quinze ans, cherchant à faire sa part à petits pas. Akira Miyawaki, lui, en est à 40 millions d’arbres dans le monde entier, en suivant une méthode qu’il a découverte en Allemagne dans les années 1960 : le potentiel naturel de végétation. Disparition de la biodiversité : un risque systémique pour l’économie encore peu évalué. Biodiversité : 60% des animaux ont déjà disparu. D'ici peu, les éléphants d'Afrique ne pourraient être qu'un lointain souvenir.

Ces quarante dernières années, cette espèce a perdu 86% de sa population. Les braconniers ne lui laissent aucun répit. Les grands singes, les félins, les rhinocéros subissent le même déclin. Durant la même période, 60% de la population des animaux vertébrés a disparu. Une seule espèce est responsable de ce désastre : l'être humain. Biodiversité : une étude du CNRS met en cause l'absence de volonté politique. Quand nos animaux disparaissent… La disparition des oiseaux n'est pas une fatalité. Près d'un tiers des populations d'oiseaux des milieux agricoles et bâtis ont disparu en 30 ans Le Museum national d’histoire naturelle (MNHN) et le CNRS publient ce jour deux études qui montrent que le déclin des oiseaux communs s’accentue en particulier dans les espaces agricoles et bâtis.

Disparition d’espèces, biodiversité : sommes-nous déjà en route vers notre propre extinction ? Deux études publiées simultanément par le CNRS et le Musée d'histoire naturelle pointent du doigt la diminution significative du nombre d'oiseaux dans les campagnes. 60 % des sols sont fortement dégradés et mettent en péril la b. Du 17 au 24 mars, se tient la sixième séance plénière de Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques, désignée sous l’acronyme IPBES et créée en 2012. Un tiers des oiseaux des campagnes ont disparu en quinze ans en France à cause des pratiques agricoles. Les populations d’oiseaux vivant en milieu agricole cultivé ont nettement diminué ces dernières années et cette tendance s'est encore intensifiée en 2016 et 2017.

Disparition de certaines espèces d'oiseaux en Limousin. Quatorze ONG pressent le Gouvernement de réagir face à l'effondrement de notre patrimoine écologique. "Nous ne pouvons pas ignorer plus longtemps le changement global et l'écroulement sans précédent des espèces, nous ne pouvons pas perdre plus de temps alors que nous connaissons les actions à mener", alertent les quatorze principales associations de protection de la nature françaises. Cet appel à l'attention du Gouvernement a été lancé le 19 septembre à l'occasion d'une conférence de presse à Paris. La protection des renards permet de faire diminuer la maladie de Lyme. Les Etats membres de l'UE "manquent de volonté politique" pour protéger la biodiversité. Il manque une "volonté politique de la part des Etats membres et de la Commission européenne" pour protéger la biodiversité, pointe de nouveau, le 30 août, le Comité économique et social européen (Cese).

La perspective d'une "sixième extinction de masse" des animaux doit-elle nous alarmer ? La sixième extinction de masse des animaux s’accélère. Biodiversité et néonicotinoïdes : revisiter les questions de recherche. Le travail commun entre Agence de la biodiversité et chasseurs démarre avec difficulté. Avec les « réserves d’actifs naturels », la loi sur la biodiversité facilite la marchandisation de la nature.