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Creative commons & open source

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Communs. Michel Bauwens : « L’hégémonie du libéralisme a été cassée par le numérique » - Page 3. On est entré dans l'ère des TAPAS : « There are plenty of alternatives » N’est-ce pas une vision élitiste concentrée sur les privilégiés qui peuvent bâtir une activité autour de leur passion ?

Michel Bauwens : « L’hégémonie du libéralisme a été cassée par le numérique » - Page 3

Dans cette société de communs, quelle est la place des dominés, ceux qui sont dans la survie et peinent à nourrir leurs proches ? L’hégémonie du libéralisme a été cassée par le numérique. Là, je suis heureux, libre, je peux contribuer sans demander l’autorisation de personne. Ces modèles, nés dans le numérique, sont en train de se diffuser à l’économie matérielle. Revue du web : BIEN COMMUN. L'open source, clef d'un monde plus équitable? Et si on appliquait le principe de Wikipédia à la création d'objets et de projets qui changent le monde?

L'open source, clef d'un monde plus équitable?

Car une conception libre et ouverte à tous permet d'agréger autour de soi une communauté de contributeurs qui apportent leur pierre à un édifice dont chacun peut bénéficier. Paralipomènes. Open-source. De l'eau de mer qui devient potable avec cette invention Open Source qui va sauver des millions de vies. Framasoft - Logiciels Libres. Code is Law - Traduction française du célèbre article de Lawrence Lessig. Le 5 mars dernier, Tristan Nitot se pose la question suivante sur Identi.ca : « Je me demande s’il existe une version française de Code is Law, ce texte sublime de Lessig ».

Code is Law - Traduction française du célèbre article de Lawrence Lessig

Proposer des "grainothèques" en bibliothèque pour favoriser le partage des semences libres. Mon intérêt pour les biens communs m’a peu à peu fait découvrir la problématique des semences, dont les enjeux sont aujourd’hui considérables et rejoignent par certains côtés ceux de la Culture libre.

Proposer des "grainothèques" en bibliothèque pour favoriser le partage des semences libres

J’ai eu déjà eu par exemple l’occasion sur S.I.Lex de consacrer des billets à des projets de licences libres appliquées aux semences ou à la question du domaine public végétal. Alors que les semences constituent un patrimoine millénaire qui s’est développé par le biais du partage de graines entre paysans, cette pratique est aujourd’hui fragilisée par des restrictions légales, faisant courir un risque à la biodiversité. La licence est dans le pré ? Intérêt et limites des licences libres appliquées aux semences. La semaine dernière, Numerama a consacré un article à des "graines open source" produites dans le cadre du projet américain Open Source Seeds Initiative, lié à l’Université du Wisconsin. 22 variétés végétales de plantes et de légumes produites par des sélectionneurs participants à l’initiative ont été placées sous une licence libre, inspirée de celles que l’on trouve dans le monde du logiciel libre, afin de garantir leur libre réutilisation.

La licence est dans le pré ? Intérêt et limites des licences libres appliquées aux semences

La démarche peut paraître au premier abord incongrue , mais elle ne l’est pas dans la mesure où les variétés végétales peuvent faire l’objet de droits de propriété intellectuelle, sous la forme de brevets aux États-Unis ou de Certificats d’Obtention Végétale en Europe (COV). ENERGIE LIBRE " Le Moteur Stirling" « Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l’État et le marché » La notion de « biens communs » attire de plus en plus l’attention et l’intérêt de divers acteurs du changement social.

« Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l’État et le marché »

Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de culture ou de technologie, les biens communs – ou, plus simplement, les « communs » – ont pour principal attrait de dessiner une alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de l’autonomie aux simples citoyens. La notion de « biens communs » est invoquée à propos de choses très différentes entre elles, depuis la gestion collective des ressources naturelles jusqu’à Linux et Wikipedia, en passant par la préservation des traditions indigènes, les services et infrastructures publics, les coopératives et l’économie solidaire, les jardins partagés et les AMAP… Difficile parfois de trouver un fil conducteur. Biens Communs. Les élites débordées par le numérique. Gouvernants, syndicats ou lobbys traditionnels se révèlent désemparés face aux nouvelles pratiques économiques et sociales nées avec Internet.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laure Belot Septembre 2013. Rue89. Barack Obama trinque avec Steve Jobs (Apple, à sa gauche), Mark Zuckerberg (Facebook, à sa droite) et Eric Schmidt (Google) entre autres, à Woodside (Californie), le 17 février 2011 (Pete Souza/The White House/Flickr)

Rue89

André Gorz et les Tiers-Lieux Open Source. Un article bien intéressant sur André Gorz me fait repenser à la notion de « Tiers-Lieux Open Source » utilisée pour caractériser notre mouvement autour de ces espaces.

André Gorz et les Tiers-Lieux Open Source

Ce qui est intéressant avec ce penseur, c’est qu’il expliquait cela 5 ans avant la crise, et sans connaître l’arrivée de cette économie collaborative et le renouveau des logiques de « tiers-lieux ». Première citation, qui parle des solutions à mettre en place pour éviter la catastrophe : Pour éviter un tel scénario, il nous faut élaborer une vision d’un avenir qui soit désirable par le plus grand nombre. Michel Bauwens : « Un mode de production postcapitaliste émerge » Dans le cadre du nouveau numéro d’Usbek & Rica, consacré à l’avenir du capitalisme, nous avons interviewé Michel Bauwens.

Michel Bauwens : « Un mode de production postcapitaliste émerge »

Théoricien belge du modèle peer-to-peer, créateur de la Fondation P2P, il travaille aujourd’hui avec le gouvernement équatorien pour mettre en place une politique de transition vers ce qu’il appelle une « social knowledge society ».