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Contemporaine

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Le Blogue Noir de Brocéliande: Les États-Unis vainqueurs militaires de la Seconde Guerre Mondiale en Europe ? Vous le croyez vraiment ? En ce 9 mai, jour historique de célébration pour tous les russes de la victoire contre l'Allemagne nazie, à l'heure où les commémorations de Moscou sont honteusement boycottées par Hollande et les chefs d'états occidentaux soumis au diktat américain, je reprends ici, l'analyse historique de mon ami Ni Ando, initialement publiée en 2009, qui remet les choses à leur place en ce qui concerne la vérité historique : Les États-Unis vainqueurs militaires de la Seconde Guerre Mondiale en Europe ?

Le Blogue Noir de Brocéliande: Les États-Unis vainqueurs militaires de la Seconde Guerre Mondiale en Europe ? Vous le croyez vraiment ?

Cette question peut être abordée sous trois angles: - celui de la contribution militaire aux pertes (critère imparfait certes). - celui de la chronologie des opérations. - celui du poids respectif des fronts. Nous citons Omer Bartov, historien dont la notoriété et la qualité des travaux sont incontestables. 1- Contribution militaire aux pertes. S'agissant du niveau de ces pertes, une évaluation étasunienne donne 400.000 pour les pertes de l'US Army dont sans doute 230.000 en Europe et Afrique du Nord. L'appel du 22 juin 1940. Comme dit mon vieil ami africain : « si l’histoire était racontée par le lion, elle serait moins souvent à l’avantage du chasseur ».

L'appel du 22 juin 1940

C’est un peu, à sa manière, ce qu’a dit à maintes reprises Henri Guillemin, démontrant que Napoléon était surtout un manipulateur, qu’Henri IV n’était pas si bon, et que rien ne prouvait que La pucelle d’Orléans ait subi le bucher. Mais c’est au fameux appel du 18 juin que Guillemin nous propose de nous intéresser, car s’il y a bien eu un appel ce jour là, de la part du « grand Charles », il n’avait quasi pas été entendu, à la différence de celui que nous connaissons, et qui a eu lieu le 22 juin. Sur le fond, cela ne change peut-être pas grand-chose, ce qui reste à prouver, mais c’est la preuve que l’histoire est bien souvent l’objet d’erreurs, voire de mensonges. Churchill, premier ministre britannique, ne le tient pas en grande estime, (lien) mais va quand même lui donner son aval afin qu’il puisse s’exprimer à la BBC. L'histoire vraie : il y a 50 ans, le 6 juin 1964, Charles de Gaulle refusait de commémorer « le débarquement des anglo-saxons » Depuis plusieurs jours, tous les médias de grande diffusion de notre pays consacrent une place considérable à la commémoration du 70e anniversaire du débarquement anglo-américain en Normandie le 6 juin 2014.

L'histoire vraie : il y a 50 ans, le 6 juin 1964, Charles de Gaulle refusait de commémorer « le débarquement des anglo-saxons »

Cet événement n’est pas seulement l’occasion d’une intense activité diplomatique ; il est également utilisé comme une commémoration omniprésente et sans nuance à la gloire des Alliés, et plus spécialement des Américains. Bien entendu, nul n’ignore que des milliers de soldats sont morts lors du débarquement de Normandie, essentiellement américains, anglais et canadiens, mais aussi, en plus petit nombre, quelques autres nationalités dont quelques dizaines de soldats français. Ils ont joué un rôle décisif dans la fin de l’Occupation allemande en France et ils méritent à ce titre toute notre gratitude et tout notre respect. Mais il n’échappe à personne que cet éloge permanent des États-Unis revêt une dimension politique et géopolitique marquée. 30 octobre 1963 Salon doré 13 mai 1964. Henri Guillemin explique Robespierre et la révolution française (1/2) Comment Cuba survécut en 1990 sans pétrole. Chine Etats Unis Une guerre sans limite.

Viol de masse des Françaises en 1945 - 1/2. Les nazis, ce n'est... Educpop-sommaire-grand-.pdf (Objet application/pdf) Le témoignage explosif d'un ancien du contre-espionnage. « Si les peuples ne bougent pas, il y aura une guerre générale » Annie Lacroix-Riz est professeur d’histoire contemporaine.

« Si les peuples ne bougent pas, il y aura une guerre générale »

Elle était à Montpellier le 18 mai. L’occasion d’évoquer le rôle des élites économiques françaises dans la défaite de 1940. Et de faire le lien entre la crise des années 30 et celle d’aujourd’hui. Pour elle, celle-ci « est bien plus grave que les crises précédentes ». Elle a quelques pages de notes dactylographiées devant elle. . « Le haut patronat a sacrifié les Français » La semaine passée, elle a évoqué le sujet d’un de ses livres, Le choix de la défaite (1), où elle soutient qu’en 1940, « les Français n’ont pas été simplement vaincus en cinq jours par une Wehrmacht invincible ; le haut patronat les a sacrifiés à son plan de « réforme de l’État » copié sur les voisins fascistes et à son obsession d’accord avec le Reich ». L’historienne explique aussi sa méthode de travail consistant à aller chercher ses informations dans les sources (policières notamment)

. « Le grand capital domine la société du bas jusqu’en haut » Myret Zaki - Une guerre économique oppose les Etats-Unis à l'Europe. Hans Rosling shows the best stats you've ever seen.