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Cité-jardin à Bruxelles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cité-jardin à Bruxelles

Floréal La paternité de la cité-jardin est attribuée à l’urbaniste anglais Ebenezer Howard qui publie en 1898 un ouvrage qui expose sa vision d’une nouvelle urbanisation. Il s’agit de créer en bordure des villes de nouvelles cités qui feraient la transition entre ville et campagne. Ces cités-jardins devaient permettre un meilleur contact avec la nature et entre les habitants. Planifiées et gérées par des sociétés coopératives, elles représentent à la fois une nouvelle conception sociale et urbanistique.

À Bruxelles, des exemples de cités-jardins ont vu le jour dans plusieurs communes durant les premières décennies du XXe siècle et plus particulièrement dans les années qui ont suivi la fin de la Première Guerre mondiale. Des cités qui subsistent aujourd’hui, certaines ont mal vieilli, leur homogénéité a été cassée par des transformations malheureuses. Watermael-Boitsfort : les Cités-jardins le Logis et Floréal[modifier | modifier le code] Garden city movement. Ebenezer Howard's 3 magnets diagram which addressed the question 'Where will the people go?

Garden city movement

', the choices being 'Town', 'Country' or 'Town-Country' The garden city movement is a method of urban planning that was initiated in 1898 by Sir Ebenezer Howard in the United Kingdom. Garden cities were intended to be planned, self-contained communities surrounded by "greenbelts", containing proportionate areas of residences, industry and agriculture. Inspired by the Utopian novel Looking Backward and Henry George's work Progress and Poverty, Howard published his book To-morrow: a Peaceful Path to Real Reform in 1898 (which was reissued in 1902 as Garden Cities of To-morrow).

His idealised garden city would house 32,000 people on a site of 6,000 acres (2,400 ha), planned on a concentric pattern with open spaces, public parks and six radial boulevards, 120 ft (37 m) wide, extending from the centre. Early development[edit] To build a garden city, Howard needed money to buy land. Garden cities[edit] Cité-jardin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cité-jardin

Le concept initial[modifier | modifier le code] En 1898, Ebenezer Howard fait paraître son ouvrage To-morrow : A Peaceful Path to Real Reform (Demain, une vraie réforme par une voie pacifique) dans lequel il y décrit son concept de cité-jardin. Son projet est une critique directe de la concentration du système capitaliste anglais. Il s'inspire pour cela d'expériences urbanistiques patronales anglaises réalisées par des industriels novateurs, tels que William Lever, créateur de Port Sunlight fondée en 1888 à proximité de Liverpool ou George Cadbury, créateur de Bournville, dans la banlieue de Birmingham, dans les années 1890[1].

Diagramme des trois aimants d'Ebenezer Howard qui représente comment la cité-jardin associe les avantages de la ville et de la campagne sans les désagréments des deux La cité-jardin de Howard est définie par les principaux points suivants : Cité-jardin. Copenhagen, Denmark: Christiania. Jcdec.pdf. Écoquartiers : enquête sur la ville durable qui ne peut pas durer. Figures de proue de la « ville durable », les écoquartiers se sont diffusés en France comme une traînée de poudre depuis le milieu des années 2000.

Écoquartiers : enquête sur la ville durable qui ne peut pas durer

On en compterait aujourd’hui pas moins de 200 en phase opérationnelle, et rares sont les villes grandes ou moyennes qui n’en aménagent pas. Depuis décembre 2012, ils ont même leur label national. Ils sont en somme devenus les nouveaux modèles dans lesquels doit se couler tout projet d’aménagement – exactement comme les grands ensembles en leur temps. Verte utopie. C’était il y a près d’un an, en décembre 2012 : après avoir visité les chantiers de deux quartiers durables à Ris-Orangis et Brétigny-sur-Orge (Essonne), Cécile Duflot, ministre du logement, annonçait la création du label national EcoQuartiers. « Je crois qu’est venu le moment de diffuser aussi largement que possible les principes d’aménagement et d’urbanisme durables (…), affirmait-elle. L’écoquartier, un crime d’urbaniste ? Thomas Moreau Écoquartiers : le label vert.