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Travailler autrement

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Méditation au travail: les décideurs en pleine conscience. A deux pas du périphérique parisien, dans un centre culturel contemporain au décor végétalo-épuré, 300 personnes méditent... en mastiquant. Bientôt trois heures que les convives de ce curieux Grand Dîner en silence & pleine conscience (mindfulness), à 100 euros la place, dégustent leurs portions, concoctées par le chef du moment, Thierry Marx, sans prononcer un mot. Face à eux, la coach en management et organisatrice de la soirée, Coco Brac de la Perrière, les guide d'une voix satinée, assise sur un tabouret de méditation. Sa philosophie: "Plutôt qu'expliquer, faire vivre la mindfulness. " Elle l'assure: "Les entreprises raffolent de ce genre d'initiatives!

" Les grandes entreprises s'y mettent aussi A une époque où plus de 1 cadre sur 5 se dit au bord du burn-out, la pleine conscience fait son chemin dans le monde de l'entreprise. Même les grandes enseignes, pourtant peu rompues à cette tradition, tentent l'aventure, tout en se gardant bien de le crier sur les toits. About The Licenses. Our public copyright licenses incorporate a unique and innovative “three-layer” design. Each license begins as a traditional legal tool, in the kind of language and text formats that most lawyers know and love.

We call this the Legal Code layer of each license. But since most creators, educators, and scientists are not in fact lawyers, we also make the licenses available in a format that normal people can read — the Commons Deed (also known as the “human readable” version of the license). The Commons Deed is a handy reference for licensors and licensees, summarizing and expressing some of the most important terms and conditions. Think of the Commons Deed as a user-friendly interface to the Legal Code beneath, although the Deed itself is not a license, and its contents are not part of the Legal Code itself. Searching for open content is an important function enabled by our approach.

Qu’est ce que le Coworking ? Coworking: quand être à son compte ne rime plus avec traversée du désert… Choisir d’être à son compte c’est faire le choix de l’indépendance, de la liberté et de l’autonomie. Indépendants, freelances et entrepreneurs se heurtent malheureusement bien souvent au problème de la solitude et de l’isolement social. Cette solitude est pesante humainement et pénalisante professionnellement. Dans un monde qui s’organise en réseau, entreprendre et travailler seul n’est ni agréable ni efficace. Le coworking est né du besoin d’échange de la communauté grandissante des indépendants.

Mutualiser et partager: les expériences du passé Les pratiques associées au coworking pré-existaient à sa terminologie. Les ateliers d’artistes qui apparaissent au 19ème siècle étaient proches des espaces de coworking modernes : des espaces qui regroupent des individus mettant en commun des ressources et échangeant des idées pour nourrir leur créativité. L’origine du coworking La révolution du monde du travail. 10 Bonnes Raisons de Devenir Coworker. Hippies et Geeks, Même combat ? Les coopératives d'activités et d'emploi. Les coopératives d'activités et d'emploi Les coopératives d'activités et d'emploi (CAE) ont été créées en 1995. Elles s'adressent à des personnes désireuses de créer leur entreprise, qui cherchent à tester la viabilité de leur projet.

Elles offrent à ces porteurs de projet, en principe des demandeurs d'emplois, un lieu d'accueil et un statut : elles vont plus loin que les pépinières et autres couveuses d'entreprises, en leur permettant d'être à la fois entrepreneur et salarié de la coopérative. Le porteur de projet sort ainsi de sa solitude. Après une phase de conception et de mise en place, les CAE connaissent un développement depuis 2002. Le parcours d'un entrepreneur -salarié L'accueil-diagnostic. Le test. Le contrat de travail. L'accompagnement et ses contreparties. Le fonctionnement quotidien de la CAE repose sur un gérant et une équipe d'accompagnateurs souvent au nombre de trois ou quatre.

Devenir associé de la coopérative. La sortie de la coopérative. Le réseau d'accompagnement. Vis ma vie de millionnaire. Note : Cet article est un article invité de Jean du blog WebMarketing Junkie. Je suis Webmarketing junkie depuis plusieurs mois et je vous recommande fortement d’en faire autant. Jean a définitivement compris ce qui différencie les blogueurs de la nouvelle vague de ceux de l’ancienne école, et vous explique à travers un article par jour comment vous trouver dans la bonne catégorie Il y a ceux pour qui la richesse consiste à transporter l’argent de poche du weekend dans un fourgon de la Brink’s, à faire la planche dans une piscine remplie de Veuve Cliquot, à travailler ses biceps avec des lingots comme haltères, et à faire du tri sélectif dans des sacs Vuitton. C’est le cliché populaire de la richesse, grâce à 50 Cents et ses honorables confrères, entre autres adeptes du bling-bling.

Il y en a d’autres pour qui la richesse consiste à débloquer une assurance-vie grassouillette, construite centime après centime pendant toute une vie, 10 ans avant d’y passer. Alors, qui a raison ? Et si les entreprises prêtaient leurs salariés aux associations ? Un Stormtrooper Lego au milieu de clowns (kennymatic/Flickr). Baisse des subventions publiques, chute des dons de particuliers... les associations vivent des heures difficiles, tandis qu’on leur demande de plus en plus de se professionnaliser.

Mais depuis quelques années, grâce au mécénat de compétences, elles trouvent dans les entreprises un renfort de poids pour rendre leurs structures plus performantes. L’idée Le mécénat de compétences repose sur le transfert gratuit de compétences de l’entreprise vers la structure soutenue, par le biais de salariés intervenant volontairement sur leur temps de travail. Juridiquement, il est assimilé à la mise à disposition de personnel, dans le cadre d’une prestation de services ou d’un prêt de main d’œuvre, les bénéficiaires devant être des structures d’intérêt général.

Bénédicte Menanteau, déléguée générale d’Admical, association qui milite pour le développement du mécénat en France, explique : Comment la mettre en pratique ? Ce qu’il reste à faire. Royaume Uni : un label pour les entreprises sociales. 21 avril 2011 A l'heure où la France s'interroge sur la pertinence d'un label pour l'économie sociale et solidaire, le Royaume Uni a défini un standard pour les entreprises du Tiers secteur.

Ce nouveau label britannique a été lancé fin janvier 2011 à la conférence annuelle de la Coalition des entreprises sociales (Social Enterprise Coalition). Le label, dont la création a été pilotée par Rise, la fédération des entreprises sociales du sud-ouest anglais, s'est développé grâce à la Coalition des entreprises sociales en collaboration avec des dirigeants d'entreprises sociales et le bureau gouvernemental du « tiers secteur ». Plusieurs critères développés au niveau régional seront retenus pour l'étendre au Royaume Uni, mais une autre identité visuelle leur sera donnée et d'autres critères de sélection pour prétendre à ce label feront leur entrée. Ainsi, les entreprises devront consacrer 50% de leurs profits à une mission sociale (lors du test régional, le ratio s'élevait à 65%).