background preloader

NUMERIQUES

Facebook Twitter

Le génie pianistique de Glenn Gould ressuscité à travers un piano connecté à une intelligence artificielle. Imaginez-vous une soirée de concert, la salle de concert se remplit, les lumières enfin s’éteignent et sur la scène, un piano seul, sans musicien, commence à jouer les premières notes des Variations Goldberg de Bach à la façon de Glenn Gould… Newsletter Musiq'3 Restez informés chaque lundi des évènements, concours et CD de la semaine.

Le génie pianistique de Glenn Gould ressuscité à travers un piano connecté à une intelligence artificielle

OKNe plus afficher × Une scène surréaliste venue d’un futur lointain ? N’en soyez pas si sûrs, car c’est bien ce qu’a proposé la Yamaha Music Fondation en présentant au Ars Electronica Festival son nouveau prototype de piano connecté à une intelligence artificielle qui a appris à jouer des partitions dans le style du célèbre pianiste canadien Glenn Gould. Une expérience à découvrir en images ci-dessous Dear Glenn, un cri d’amour pour Glenn Gould Comment apprendre à une intelligence artificielle à jouer "à la manière de" ?

Pour arriver à "entraîner" l’intelligence artificielle, les ingénieurs de Yamaha ont procédé en trois étapes : Première étape : l’analyse. Heaven - YouTube Culture 2018. SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes.

heaven - YouTube Culture 2018

Si vous continuez à naviguer sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Consultez nos Conditions d’utilisation et notre Politique de confidentialité. SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes. Si vous continuez à naviguer sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Consultez notre Politique de confidentialité et nos Conditions d’utilisation pour en savoir plus.

BornSocial 2018 - Agence heaven. TikTokCulture - heaven - 2019. Panorama des médias sociaux 2019. Cette année, Facebook a fêté ses 15 ans d’existence.

Panorama des médias sociaux 2019

Certes, Facebook n’est pas la plus ancienne des plateformes sociales, mais c’est celle qui a le plus bouleversé le web et la société en général. en 2019, comme chaque année, les médias sociaux nous apportent leur lot de nouveautés, mais l’année passée a surtout été celle de la consolidation pour les principaux acteurs. Pour y voir plus clair, je vous propose une nouvelle édition de mon panorama des médias sociaux.

Comme tous les ans depuis plus de 10 ans, je vous propose mon panorama des médias sociaux. Je précise que le schéma est en anglais pour simplifier sa distribution, notamment à l’étranger. Et avant que vous me posiez la question : oui, vous pouvez utiliser ce schéma sans mon autorisation écrite (puisqu’il est librement consultable en ligne). Une année particulièrement riche Aviez-vous remarqué qu’il y a une règle officieuse sur internet : « Rien n’est figé, sauf pour les plus gros acteurs ». Les usages des réseaux sociaux en 2019.

Harris Interactive publie cette semaine son baromètre annuel des médias sociaux. Il décrypte les usages des internautes français sur les réseaux sociaux ainsi que leurs rapports aux marques. Pour cette enquête, 2001 internautes français de 15 ans et plus ont été interrogés en ligne au courant du mois de février 2019. La créations des Social Personae Au cours de son étude, Harris Interactive a remarqué les nombreux usages, profils d’utilisateurs présents, mais également le foisonnement de plateformes proposant une multitude de services différents : commerce, messagerie, professionnel, microblogging… Nombreuses sont les applications qui se trouvent au carrefour de ces usages.

Afin de dégager une vision claire des utilisations, Harris Interactive propose cette année une nouvelle classifications des profils d’utilisateurs : Les Young Addict Fans (YAF) : une tranche jeune de la population très connectée au réseaux sociaux. Le « numérique », une notion qui ne veut rien dire. Nous parlons de plus en plus de « numérique » en substantivant un adjectif qui – initialement – comporte une signification technique précise et qui devient désormais davantage un phénomène culturel qu’une notion liée à des outils technologiques particuliers.

Le « numérique », une notion qui ne veut rien dire

Cette universalisation du numérique nous permet de comprendre des changements qui affectent l’ensemble de notre société et notre façon de penser, comme l’a bien expliqué notamment Milad Doueihi par son concept de « culture numérique ». Cet usage pose pourtant un problème majeur : nous avons de plus en plus tendance à penser « le numérique » comme un phénomène uniforme et homogène (sur ce sujet, il est intéressant de lire le débat entre Morozov et Johnson) alors que, de toute évidence, il ne l’est pas. « Le » numérique n’existe pas en tant que tel. Changement de discours Les modes changent : nous sommes passés d’un technoptimisme généralisé à une technophobie universelle.