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Comparateur d'imprimantes 3D : Les meilleurs prix, les dimensions, les fabricants...

Comparateur d'imprimantes 3D : Les meilleurs prix, les dimensions, les fabricants...
Accueil > Comparateur d'imprimantes 3D Premier comparateur de prix pour imprimantes 3D avec plus de 200 modèles Vous trouverez plus de 200 modèles regroupant tous les types d'imprimantes 3D et d'équipements de fabrication additive, que ce soit les imprimantes 3D pour particuliers ou des machines de production. Nous y avons aussi inclus les stylos 3D et les imprimantes 3D avec des matériaux très différents comme le chocolat ou le bois. Comparer : Sélectionnez jusqu’à 4 Imprimantes 3D pour les comparer Trier par : Populaire | Prix | Note | Nom 218 résultats trouvés L'imprimante 3D Hephestos de chez BQ est une évolution ... L'Ultimaker 2+ est la nouvelle version de l'imprimante ... L'imprimante 3D Zortrax M200 du polonais Zortrax est un... L’imprimante 3D Dom Pro fabriquée par le français Dood ... L'Ultimaker 3 constitue la nouvelle génération d’imprim... L'imprimante 3D Sigma du fabricant espagnol BCN3D Techn... Dévoilée pour la première fois à la rentrée 2015, la Fo... La Up! La UP! Related:  imprimantes 3D

Calculer le coût d'une impression 3D en un clic Kyle Stevens de chez Macy Moo Studios, une société commercialisant des coques d’iPhone personnalisées et imprimées en 3D, a récemment développé un plug-in bien pratique, permettant de calculer le coût lié à une impression 3D. En renseignant le volume de l’objet en mm3 et le prix au kg du matériau concerné, l’outil vous calcule instantanément le prix du volume de matériau que vous allez utiliser. L’inventeur prévient toutefois que son outil a été conçu spécialement pour calculer le prix d’objets imprimés à partir de filament d’ABS 1.75 mm. Pour des matériaux tels que le PLA ou le nylon, le résultat devrait toutefois rester semblable. Aussi, si vous configurez une densité (« infill » dans votre slicer) de 10% ou 20% lors de votre impression, il faudra multiplier votre coût total par 1.1 ou 1.2 respectivement. Vous pouvez vous rendre sur le site de Kyle pour tester son outil ou regarder le tutoriel ici.

My Region - 3-D printer by Sask. man gets record crowdsourced cash A Saskatchewan man who has developed an affordable 3D printer has attracted worldwide attention and more than $700,000 in crowdsourced funding. Rylan Grayston, 28, from Yorkton, said curiosity fuelled his quest to create a 3D copier that sells for just $100. Other high-tech 3D printers sell for several thousand dollars or more. "I didn't have enough money for a 3D printer that I wanted, so I just started thinking about how can I do this myself?" "All I want to do is invent," Grayston said about the possible riches associated with an affordable 3D printer. How exactly does 3D printing work? Although Grayston has no formal training in engineering or computer science, he has been a tinkerer all his life. Rylan Grayston has developed an affordable 3-D printing machine. Grayston's software converts an object into file data using a sound card on his laptop. Unlike other more expensive devices, Grayston's Peachy Printer has no motors or microprocessors. With files from CBC's Bonnie Allen

L'impression 3D par Stéréolithographie, on vous explique tout La Stéréolithographie est considérée comme le procédé à l’origine de l’impression 3D, avec le premier équipement breveté en 1984 par Charles Hull et la première machine commerciale développée par 3D Systems en 1988. Que trouve-t-on derrière cette technique? Le procédé de Stéréolithographie, plus connu sous le nom de SLA (stereolithograph apparatus), utilise le principe de photo-polymérisation pour fabriquer des modèles en résine acrylate ou époxy et en ABS, de toute taille et de géométrie complexe avec une grande précision. Avant l’impression, un fichier numérique 3D est obtenu via un logiciel de CAO (SolidWorks, Sculpt ou Maya par exemple). Procédé SLA // Copyright CustomPartNet 2008 Dans l’image ci-dessus, vous pouvez observer les différents composants d’une machine de Stéréolithographie: un bac de résine, une plate-forme mobile (axe z), un système de raclage (axe x), un laser à rayons UV, une optique de focalisation et un miroir galvanométrique (axes x et y).

The Printer That Can Print A 2,500 Square Foot House In 20 Hours. We have seen huge advancements in 3D printing. We’ve even seen oversized wrenches printed that measure 1.2 meters in length. Now, we can print an entire 2,500 sqft house in 20 hours. In the TED Talk video below, Behrokh Khoshnevis, a professor of Industrial & Systems Engineering at the University of Southern California (USC), demonstrates automated construction, using 3D printers to build an entire house in 20 hours. In manufacturing we use a process called CAD/CAM (computer-aided design / computer-aided manufacturing). 3D models are designed on a computer and then manufactured using CNC Machines or 3D printers. In this video, we see a prototype of a machine called ‘Contour Crafting’ Michael Cooney Michael Cooney, the founder of EngNet, worked as a project engineer for many years sourcing equipment.

Dreambox : des imprimantes 3D à tous les coins de rues Trois étudiants américains ont réalisé un prototype d'imprimante 3D destiné à l'usage en libre-service. Ce projet pourrait aider à rendre accessible un service qui, pour le moment, reste trop cher et dont les délais sont trop longs pour le grand public. Depuis l'avènement de l'impression en trois dimensions, les spécialistes du secteur prévoient une démocratisation des imprimantes 3D qui devraient devenir de plus en plus accessibles en matière de taille et de coûts. Grâce à trois étudiants de l'Université de Berkeley en Californie, David Pastewka, Ricard Berwick et Will Drevno, cet objectif se rapproche. Le but de ces jeunes entrepreneurs : faciliter l’accès à l’impression 3D tout en réduisant les coûts et les délais de fabrication. Une fois l’impression terminée, un sms est envoyé à l’utilisateur. Pour le moment, la Dreambox n’est qu’un prototype. Elena Bizzotto

Vader Systems invente l'imprimante 3D métal à destination du grand public Du fait d’une température de fusion bien supérieure au plastique (de 600°C pour l’aluminium jusqu’à 1000°C pour l’or), la possibilité d’offrir aux particuliers une imprimante 3D à base de métal restait en suspens. La société Vader Systems, créée par le père Scott et le fils Zach Vader, pourrait bien mettre un terme aux doutes qui subsistaient. La technologie utilisée par Vader Systems, dénommée « Liquid Metal Jet Printing » (impression par jet de métal liquide), est une version détournée de l’impression par jet d’encre, bien connue des imprimantes 2D. Des minuscules gouttes de métal sont déposées sur une plateforme, suivant un tracé préalablement spécifié. Comme pour chaque technologie d’impression, l’objet 3D est alors construit par une succession de couche de matière, et dans ce cas précis, de métal. L’impression 3D à partir de métal n’est pas nouvelle, elle existait déjà dans l’industrie par le biais du frittage laser direct de métal. Le lien vers le site de Vader Systems ici.

"Additive Manufacturing" - White Fox Teacher La fabrication par addition de matière, la fabrication rapide ou encore le prototypage rapide... Elle est appelée ainsi car, contrairement à l'usinage, elle ne part d'un bloc de matière dont on enlève des morceaux à certains endroits pour obtenir la pièce désirée. Le but ici est de ne partir de rien et d'apporter la matière uniquement là où on en a besoin. En anglais, on retrouve les termes rapid manufacturing ou encore rapid prototyping. Mais comment celà est-il réalisé ? Une pièce à fabriquer est traditionnellement vue comme quelque chose construit en un seul bloc. Cette opération de tranchage ("slicing") de la pièce est effectuée sur la version informatique de la pièce (le fichier CAO - Construction Assistée par Ordinateur). Pour réaliser ces couches (ou "slices") et les lier entre elles, différentes techniques existent. Les différentes technologies : Celles disponibles sur le marché sont les suivantes : Les avantages : Il devient possible de réaliser n'importe quelle géométrie.

The Micro : une imprimante 3D fait un énorme carton sur Kickstarter Ils ne demandaient qu'à recevoir 50 000 dollars en un mois pour passer à la production. Finalement, la start-up américaine M3D a déjà obtenu plus de 1,6 millions de dollars sur Kickstarter, moins de deux jours après la présentation de son imprimante 3D "The Micro", qui se veut être une imprimante à la fois accessible financièrement et très facile à utiliser sans rien connaître à l'impression 3D. Son énorme succès, qui n'est pas dû à une révolution technique mais à plusieurs atouts cumulés, confirme l'intérêt spectaculaire porté aux imprimantes 3D très grand public, comme l'avait déjà montré la Buccanneer, qui avait elle-même bénéficié de 1,4 millions d'euros levés via Kickstarter. Côté technique, The Micro est dotée de capteurs qui automatisent les processus les plus complexes de calibration des imprimantes 3D traditionnelles. Une imprimante 3D plug&play L'imprimante sera vendue 299 dollars.

Une nouvelle génération d'imprimantes 3D en 2014 ? Selon Duann Scott, employé et porte-parole de l’entreprise Shapeways, spécialisée dans l’impression 3D, 2014 sera une date charnière pour l’industrie de l’impression 3D. La fin du brevet encadrant l’utilisation de la technique du frittage laser pourrait en effet donner un nouvel élan à l’innovation dans ce milieu. 2014, date charnière pour l’impression 3D ? Si l’on suit le raisonnement de Duann Scott, porte-parole de la société Shapeways, cela paraît tout à fait raisonnable. Interrogé par le site web Quartz et relayé par un article de Numerama, il explique que la fin du brevet encadrant l’utilisation de la technique dite du frittage laser est en effet prévue pour 2014. Selon Duann Scott, cela pourrait avoir un effet comparable à la fin du brevet sur la technologie de "fused deposition modeling", actuellement utilisée par la plupart des imprimantes 3D lowcost et open source, qui ont explosé il y a quelques années avec la fin de ce brevet.

Voici l'imprimante 3D qu'utilisera la NASA à bord de l'ISS L’agence spatiale américaine vient ainsi de présenter l’imprimante 3D capable d’imprimer en état d’apesanteur qui devrait prendre le chemin de l’ISS en juin 2014. C’est à bord du cinquième ravitaillement de l’ISS par la société Space X, et donc à bord de la capsule Dragon que sera envoyée l’imprimante accompagnée d’un stock de consommables et de fret scientifique et alimentaire. Pour présenter son projet, la NASA vient de publier une vidéo mettant en avant à la fois l’imprimante et comment les astronautes à bord de la station spatiale internationale l’utiliseront. La capacité à fabriquer son propre équipement ou des pièces de rechange directement dans la station permettra à la NASA d’économiser à la fois du temps et de l’argent : " Comme vous pouvez l’imaginer dans la station spatiale, les astronautes doivent faire avec ce qu’ils ont." " Malheureusement, comme sur Terre, certaines pièces cassent ou se perdent."

L’impression 3D par la pensée, pour bientôt ? Une entreprise Chillienne développe à l’aide d’un neurocasque une technologie permettant de modéliser un objet par la pensée, avant de transférer le résultat à une imprimante 3D pour matérialiser l’objet. Le procédé, qui n’est pour l’instant pas encore à un stade de développement très avancé, s’adresse pour l’instant aux enfants et aux écoles. Si Elon Musk est le premier à crâner en présentant au monde son labo façon Iron Man, une petite entreprise Chilienne, Thinker Thing, envisage de pousser encore plus loin en proposant un moyen de contrôler la modélisation d’un objet directement par l’esprit. Cette technologie repose sur un casque Emotiv Epoc, un outil de plus en plus utilisé dans les expériences d’interfaces entre humain et machine. Le principe est simple : le programme fait évoluer un modèle 3D en fonction de différents patterns, en se basant sur les réactions captées par le neurocasque pour déterminer si la forme modélisée se rapproche ou non de celle voulue par l’utilisateur.

W.Afate 3D printer On dit de l’imprimante 3D qu’elle aura le même impact que la machiné à vapeur. Un jeune togolais est peut-être en train d'écrire une des pages les plus belles et pleines de promesses de cette nouvelle épopée technologique... Soyez à la source de cette éclosion. Filez un coup de pouce à l’innovation « Made in Africa ! » Ecologie. _Valoriser les e-déchets et contribuer à nettoyer les dépotoirs informatiques qui comme à Agbogbloshie au Ghana, s’étendent à l’échelle de quartiers entiers. _Mettre la technologie à la portée de petites gens et faire de l’Afrique, non pas une spectatrice, mais une actrice à part entière d’une prochaine révolution industrielle plus vertueuse. _Favoriser le détournement et la réutilisation des machines usagées pour éviter de les envoyer à la casse et ainsi génerer un nouvel apport économique aux ménages africains, aux écoles et aux cyber cafés. Le WoeLab lance un appel à soutien. Les origines de la W.AFATE. La fabrication de la W.AFATE en 10 étapes 1. 2. 3. 4. 5. 6.

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