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Imprimantes 3D

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OpenQCM Project Uses 3D Printing to Create a Precision Quartz Crystal Microbalance. U.S. Army is Researching 3D Printing & its Potential in Facial Reconstruction Surgery. 3dprint.com – Brian Krassenstein – 10/07/2014 There has been a tremendous amount of talk about the military utilizing 3D printing in a variety of ways.

U.S. Army is Researching 3D Printing & its Potential in Facial Reconstruction Surgery

Earlier today we mentioned that the Australian Army was thoroughly investigating its potential, while there is no doubt that every branch of the U.S. Military is using 3D printing or plan on using it sometime in the near future. Most of the uses we have talked about have to do with protecting soldiers, and giving them an advantage during battle, but for many soldiers it’s already too late for that. Here in the U.S., we are all too familiar with injuries which thousands of soldiers have experienced, both in Iraq and Afghanistan over the last decade. Because of this, the Army is looking for ways which they can mend the wounds of the injured, allowing them to live as normal a life as possible after a terrible injury. 3D printed ear, finger bone and kidney scaffolds created by researchers at Wake Forest Institute for Regenerative Medicine.

Auchan présente son imprimante 3D à moins de 1000 € Auchan a présenté son imprimante 3D vendue sous sa marque de produits high-tech Qilive.

Auchan présente son imprimante 3D à moins de 1000 €

La Q.3622, puisque c'est son nom, vient grossir les rangs des imprimantes 3D de type FDM. Il y a un an, nous vous annoncions l'arrivée de la marque distributeur Qilive, détenue par le groupe Auchan. Smartphones et tablettes ont été les premiers à étoffer les rayons de cette marque. Cette fois-ci, Auchan ne veut pas prendre le train en marche, mais y monter à quai : la Q.3622 entre dans le marché encore balbutiant de l'impression 3D. TOP 5 des vidéos de la semaine : Barack Obama imprimé en 3D, recréez le sabre laser du prochain Star Wars...

La NASA imprime un objet en 3D dans l'espace pour la première fois. Après avoir passé quelques jours à assembler et à calibrer l'imprimante 3D fraichement reçue au bord de l'ISS accompagnée de trois nouveaux astronautes, la petite station d'impression de Made in Space a imprimé son tout premier élément.

La NASA imprime un objet en 3D dans l'espace pour la première fois.

C'est depuis le centre de contrôle terrestre de la NASA que les ingénieurs de Made in Space ont lancés une série d'instructions pour lancer l'impression d'un tout premier élément. Il s'agissait d'une plaque à destination de l'imprimante elle-même qui proposait le logo de la société et celui de la NASA en relief. C'est l'astronaute Barry Wilmore qui a décollé la plaque du berceau chauffant de l'imprimante et l'a fixé sur l'emplacement prévu. L'imprimante utilise une technique légèrement différente de celles proposées au grand public pour lui permettre d'extruder du plastique à basse température. Pour le reste, le fonctionnement est similaire : des couches de plastique sont appliquées successivement pour obtenir un objet en 3D. « Il y a une bulle autour de l’impression 3D et du mot "lab" » Aurélien Fache, membre de Makery, anime un atelier grand public © Makery Entre le canal bobo et les cités de Colonel Fabien à Paris, il faut pousser la porte des Ekluz, une « fabrique culturelle et numérique » pour atterrir chez Makery.

« Il y a une bulle autour de l’impression 3D et du mot "lab" »

Dans un modeste 15 m2, les quatre membres permanents de la rédaction nous reçoivent au milieu de vieux Macintosh et d'un « compteur de place vélib » fabriqué avec circuit imprimé open-source. Annick Rivoire, rédactrice en chef, répond à nos questions. Pourquoi lancer un média 100 % dédié aux fablabs ? Annick Rivoire : C’est un mouvement international qui s’appuie sur des lieux physiques ou se retrouvent des makers, des hackers, des scientifiques, des artistes. On lit sur le site que « Makery est lui même est un projet en DIY ». Un cœur imprimé en 3D qui sauve des bébés. Sept modèles pour imprimantes 3D de cœurs avec malformation cardiaque, c’est l’annonce faite le 19 novembre dans un congrès de médecine cardiaque américain par un chirurgien chercheur.

Un cœur imprimé en 3D qui sauve des bébés

Quelques rares nourrissons ont déjà bénéficié de cette aide au diagnostic. Un cœur imprimé en 3D qui sauve les bébés… Ce conte de Noël est en passe de devenir réalité. Après avoir œuvré à la fa­bri­ca­tion nu­mé­rique de par­faites ré­pliques du cœur, des cher­cheurs amé­ri­cains ont réussi à sauver de très jeunes vies en per­met­tant de diag­nos­ti­quer des mal­for­ma­tions car­diaques chez le nou­veau-né et d’in­ter­ve­nir pour les réparer. Le cœur imprimé en 3D est une étape sup­plé­men­taire d’aide à la dé­ci­sion du chi­rur­gien qui, en matière d’ima­ge­rie mé­di­cale, dispose déjà de tout un arsenal de scan­ners et autres ima­ge­ries 3D. Mais ces images ont l’in­con­vé­nient de n’être vi­sibles qu’à l’écran, en 2D. Et d’une imprimante 3D jaillit la lumière.

L'impression 3D dans tous ces états.