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Willie Smits restores a rainforest

Willie Smits restores a rainforest
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L’homme qui a fait renaître une forêt | Monaco Hebdo « Cette expérience m'a fait réaliser que l'on peut reconstruire la planète. On peut redonner vie à tout ce que l'on a dégradé. » © Photo Monaco Hebdo. Le célèbre photographe Sebastião Salgado a présenté lors du Monaco Press Club le 13 mars dernier son pari fou?: redonner vie à une forêt tropicale au Brésil épuisée par des années d’exploitation en plantant près de 2 millions d’arbres. Sur le papier, le projet aurait pu paraître totalement irréalisable? La ferme familiale de Sebastião Salgado en 1998 entourée d'une terre dévastée. © Photo Sebastião Salgado « Cimetière de dollars » « Mon père souhaitait au départ que je continue l’activité de la ferme pour faire un peu d’argent. En 2008, 10 ans après, la forêt a retrouvé vie avec plus d'un million d'arbres plantés. © Photo Ricardo Azoury/Redux « Miracle de la vie » Le plus étonnant est que dans cette nouvelle forêt créée de toutes pièces, tout un écosystème s’est naturellement reformé. Dans l’objectif de Salgado

Chez les Salgado, au Brésil : objectif forêt A l'occasion de sa dédicace parisienne, retour sur un reportage intense sur le photographe. Sebastião Salgado est retourné au Brésil, sur sa terre natale du Minas Gerais, dévastée par la déforestation. Avec sa femme, il a replanté 2,5 millions d'arbres. Reportage. Dédicace le 2 juillet à la galerie @LeVingtNeuf de 18h30 à 19h30, pour le livre Autres Amériques. 29 rue des Recollets, 10e. Sebastião Salgado a la conduite sportive. Derrière les vitres, des montagnes majestueuses et pelées défilent, ponctuées d'innombrables carrières, forêts d'eucalyptus et champs de caféiers en fleur. Un peu plus tard, lors d'une pause dans une épicerie-buvette où Sebastião et Lélia Salgado ont leurs habitudes, il nous entraîne vers des photos en noir et blanc, encadrées le long d'un mur. Le grand défi des Salgado Minas Gerais, pays des mines et terre natale de Sebastião Salgado. Aujourd'hui, à 70 ans pour lui, 67 pour elle, ces « associés en tout » continuent à faire tenir plusieurs vies en une. Avant/après

Il a planté une forêt à lui seul Voici l’histoire digne d’un conte ou d’une vieille légende indienne. C’est celle de Payeng, un homme qui n’a jamais voulu renoncer. Depuis plus de 30 ans, il fait pousser des arbres sur un simple banc de sable. Devenu une véritable arche de Noé, le petit havre de paix de Johrat s’est transformé en refuge pour plusieurs animaux, dont des tigres du Bengale et des rhinocéros menacés d’extinction. L’histoire commence il y a plus de 30 ans sur l’île de Majuli, en Inde. La petite étendue de sable flottant sur la rivière est régulièrement victime de fortes crues, qui pourraient causer sa perte en quelques décennies à peine. Payeng qui vit là-bas avec sa famille a eu le choc de sa vie, lorsqu’il découvrit un jour de l’année 1979 des centaines de milliers de corps inanimés de serpents gisant sur sur le sol : « Les serpents étaient morts de chaleur, il n’y avait pas d’arbres pour les protéger. Il commença à planter des bambous, un par un. L’Arche de Payeng, un refuge pour la faune et la flore

Un homme a planté une forêt pendant 30 ans, à lui tout seul, un arbre après l’autre. Depuis 1979, Jadav Payeng a replanté à lui tout seul une forêt entière de plus de 550 hectares. Soit une superficie plus grande que le Central Park de New York ! Et le plus fou, c’est qu’il a fait tout cela avec ses mains comme seul outil, sans aide extérieure… et en plantant un arbre à la fois. L’île de Majuli se trouve dans le nord de l’Inde. Il s’agit d’un banc de sable géant qui abrite près de 150 000 habitants et qui est l’une des plus grandes îles fluviales dans le monde. Sur cette île, on trouve la forêt de Molaï, une forêt des plus étrange, unique au monde et pour cause : Elle a été plantée par un seul homme. Là-bas, cet homme, on l’appelle « Forest man ». Voici l’histoire, digne de Jean Giono, de cet homme qui plantait des arbres. À cause du manque d’arbres pour stabiliser le sol avec leurs racines, l’île de Majuli a perdu plus de la moitié de sa surface au cours du dernier siècle, à cause de l’érosion. « Il n’y avait pas d’arbres pour protéger ces serpents.

EN IMAGES. Trois chiens pour semer des graines sur les terres calcinées du Chili - Sciencesetavenir.fr Bondissant de la camionnette, les trois chiens s'élancent pour gambader dans le bois. Mais ce qui n'est pour eux qu'une simple promenade joue un rôle crucial au Chili, récemment frappé par de graves incendies : sans le savoir, les canidés sèment de nouvelles plantes. En janvier 2017, le pays sud-américain avait vécu "le pire désastre forestier" de son histoire, selon les mots de sa présidente Michelle Bachelet : en quelques jours, plus de 467.000 hectares étaient partis en fumée et 11 personnes avaient perdu la vie. Les trois chiennes n'ont qu'une mission : courir, sauter et jouer à travers les bois Près de Talca (centre), les animaux sauvages ont fui les forêts dévastées par le feu et, pour les faire revenir, une association a fait appel à ses trois chiennes, des borders collies. Crédit : MARTIN BERNETTI / AFP 10 kilos de graines semés en une seule journée Ainsi, en trois mois, Das, Olivia et Summer ont déjà réussi à semer dans 15 bois différents de la région de El Maule (centre).

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