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Actualités Article - Alchimie

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Sources de l'alchimie - Medica - Histoire de la Santé. L'Alchimie d'Alexandrie (IV e s. av. J.C.) à la Renaissance. Préhistoire et Antiquité Durant cette large période, la chimie était surtout utilisée pour son côté pratique dans le but de transformer la matière.

L'Alchimie d'Alexandrie (IV e s. av. J.C.) à la Renaissance

On a beaucoup de témoignages archéologiques de son utilisation à la préhistoire : 1) La chimie pratique a) L'utilisation du feu Le feu a été une découverte fondamentale pour l'Homme ne serait-ce que pour ses rôles multiples. Ses utilisations sont : De l'alchimie a la chimie. De l'Alchimie à la Chimie de la Renaissance Au XVIIIe siècle 1) La nouvelle expérimentation chimique Il y a un développement de la chimie des médicaments et émergence de la notion de corps pur (Iatrochimie = chimie médicinale).

De l'alchimie a la chimie

Ces remèdes étaient essentiellement constitués de composés minéraux (par exemple, on soignait la syphilis à l'aide de vapeur de mercure : les gens mourraient, mais mourraient guéris !). L'alchimie. Alchimie : principes et méthodes. Hermès Trismégiste et le langage des alchimistes.

Alchimie : principes et méthodes

Hermès Trismégiste : Hermès Trismégiste (Hermès trois fois très grand ) est le nom que les Grecs anciens avaient donné au dieu égyptien Thot, qu'ils considéraient comme l'initiateur de tout le savoir humain. Les alchimistes en avaient fait le maître fondateur de l'alchimie et lui attribuaient la paternité d'un grand nombre d'ouvrages. Le "Traité de l'or" ou "la Table d'émeraude" est l'ouvrage de base que tout alchimiste se doit de connaître.

On trouve dans ces œuvres rédigées en réalité au Moyen-Age par des auteurs inconnus, des réflexions philosophiques et religieuses, à côté de recettes de laboratoire. Le langage des alchimistes : Dans ces livres, une idée-force revient en permanence: la science n'est révélée qu'à un petit nombre d'élus, de privilégiés. Les alchimistes doivent mourir plutôt que de révéler leurs secrets. Un lexique alchimique. Des célébrités alchimistes. Les grands hommes de l'alchimie. Fulcanelli. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fulcanelli

Frontispice du Mystère des cathédrales de Fulcanelli (1926), par Julien Champagne Sous le nom de Fulcanelli parurent Le Mystère des cathédrales en 1926, et Les Demeures philosophales en 1930. Ces ouvrages se proposent de décrypter la symbolique alchimique de plusieurs monuments, comme la cathédrale Notre-Dame de Paris, la cathédrale d'Amiens, ou l'Hôtel Lallemant de Bourges. Ils inspirèrent notamment l'ésotériste Robert Ambelain pour écrire Dans l'ombre des cathédrales, publié en 1939[1]. Les deux ouvrages publiés sous le nom de Fulcanelli furent préfacés par Eugène Canseliet (1899-1982), qui se présente comme le disciple en alchimie de Fulcanelli, et illustrés par le peintre Julien Champagne (1877-1932). Biographie hypothétique de Fulcanelli[modifier | modifier le code] Canseliet dit avoir revu son maître en 1953 à Séville (celui-ci lui aurait dit : « Tu me reconnais ?

Autres hypothèses[modifier | modifier le code] I. II. Les quatre Âges. Fulcanelli et Julien Champagne. Fulcanelli l'alchimiste Julien Champagne, l'illustrateur de ses livres (23 janvier 1877 - 26 août 1932) Photo (lien vers le bas de page) du laboratoire de Julien Champagne, illustrateur des Fulcanelli.

Fulcanelli et Julien Champagne

La bordure entourant cette photo porte en bas à droite une dédicace de J. Champagne à son maître Pierre Dujols (document inédit). Partons de choses sûres et connues : deux ouvrages d'alchimie portent comme nom d'auteur le pseudonyme "Fulcanelli". Alchimie et transformation dans l'oeuvre de C.G. JUNG. La découverte la plus originale de l'oeuvre de Jung est sans doute l'existence dans l'inconscient humain d'un dynamisme de transformation.

Alchimie et transformation dans l'oeuvre de C.G. JUNG

Cette découverte, Jung en a d'abord fait l'expérience pour lui-même. Suite à la rupture de son amitié avec Freud, il se retrouva très isolé, et confronté à une grande solitude intérieure. Il traversa une crise importante, en proie à un grand flot d'images intérieures. Il vécut là une véritable confrontation avec l'inconscient, se retrouvant parfois aux limites de la santé mentale. Il fit ainsi le constat que la souffrance (une dépression par exemple) ne revêt pas seulement des aspects négatifs, mais constitue souvent, à y regarder de plus près, une invitation au changement, à l'élargissement de nos horizons, une sorte de passage obligé à une métamorphose de la personnalité (un peu comme la chenille passe par la chrysalide avant de devenir papillon). Alchimie taoïste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alchimie taoïste

Les alchimistes exercent longtemps indépendamment ou en petits groupes maitre-disciples sans constituer de grandes écoles. Des courants centrés sur l’alchimie interne apparaissent sous les Tang et surtout sous les Jin/Song avec Quanzhen, l’une des grandes écoles taoïstes du XIIe siècle à nos jours. Le courant des alchimistes du Sud se constitue à son imitation un siècle plus tard. Noms[modifier | modifier le code] Le terme jindanshu (金丹術), « techniques de l’or et du cinabre », est l’appellation la plus répandue de l’alchimie externe waidan (外丹) ; à partir des Tang, il désigne aussi les premiers courants d’alchimie interne neidan (內丹).

Les premières techniques alchimiques sont mentionnées dans des ouvrages comme le Huainanzi sous le terme de huangbaishu (黄白術) « techniques du jaune et du blanc », couleurs désignant l’or et l’argent - ou leurs substituts. Généralités[modifier | modifier le code] Aperçu historique[modifier | modifier le code]