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Patrick Burensteinas : l'Alchimie, l'âme-or, la Vie...

Patrick Burensteinas : l'Alchimie, l'âme-or, la Vie...

Site Serge Boutboul Fulcanelli - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France Sous le nom de Fulcanelli parurent Le Mystère des cathédrales en 1926, et Les Demeures philosophales en 1930. Ces ouvrages se proposent de décrypter la symbolique alchimique de plusieurs monuments, comme la cathédrale Notre-Dame de Paris, la cathédrale d'Amiens, ou l'Hôtel Lallemant de Bourges. Ils inspirèrent notamment l'ésotériste Robert Ambelain pour écrire Dans l'ombre des cathédrales, publié en 1939. Les deux ouvrages publiés sous le nom de Fulcanelli furent préfacés par Eugène Canseliet (1899-1982), qui se présente comme le disciple en alchimie de Fulcanelli, et illustrés par le peintre Julien Champagne (1877-1932). Ils ont été republiés aux Éditions des Champs-Élysées en 1957 et 1960, puis en 1964 et 1965 chez Jean-Jacques Pauvert. L'œuvre de Fulcanelli est discutée par des historiens comme Robert Halleux et Didier Kahn, qui contestent la pertinence d'une interprétation alchimique des édifices étudiés.

5 scientifiques de renommée internationale qui croyaient vraiment à la magie Tout au long de l’histoire, de célèbres scientifiques ont contribué à une meilleure compréhension de notre monde. Mais saviez-vous que certains d’entre eux étaient aussi de fervents adeptes de la magie ? En tout cas, ils croyaient en son existence. Le DGS vous présente les portraits de cinq scientifiques célèbres qui ont souvent émis des hypothèses abracadabrantes ! Au cours de l’histoire, des scientifiques renommés, de Galileo à Newton, ont souvent cru à des choses relevant du fantastique dans des domaines comme l’astrologie, l’alchimie, ou même la magie. Lire aussi Une nouvelle méthode transforme le carbone en diamant en une fraction de seconde Aujourd’hui, Galilée est présenté comme un représentant de la rationalité. Lire aussi Vous n’imaginez pas les nombreux bienfaits des épices sur votre santé Il a également été perçu comme une sorte de diseur de bonne aventure. Galilée n’était pas le seul à prendre ces fameux signes astrologiques en considération.

La Leçon de Lyon Les rituels BNF Le Docteur Faustus Vers 1652Eau-forte, pointe sèche et burin. 210 x 160 mmTrois états À l'eau-forte et à la pointe sèche seulement. Au 2e état, des retouches au burin sont ajoutées, la pointe sèche s'étant détériorée. Les livres sur la droite sont davantage ombrés par des tailles extrêmement rapprochées, et les ombres derrière le col, les manches et les plis du manteau sont renforcées. Seul le 1er état serait de la main de Rembrandt. La signification de cette estampe a fait l'objet des plus diverses interprétations, depuis le XVIIe siècle jusqu'à nos jours.

L'alchimie, une discipline pré-scientifique? Alchimie, médecine et astronomie La médecine : L'alchimiste est aussi médecin et pharmacien. Comme tous les alchimistes, Nicolas Flamel estime qu'il existe un rapport étroit entre les mouvements des astres et les réactions chimiques. Alchimistes et astronomes se servent des mêmes signes pour désigner les métaux et les planètes. Les astres matérialisent en outre des puissances sur naturelles qui influent sur le succès des opérations. (ici, une pharmacie en Roumanie: "farmacia Paracelsus")

Perit ut Vivat | Réforme de Lyon – Régime Écossais Rectifié untitled "Tous les gens qui s'intéressent à l'alchimie viennent à Lyon" Son entrée en matière est équivoque : "J’aimerais rendre hommage à Christopher Lee, le maître du mystère, décédé le 7 juin". Claude Arz, malgré son métier d’enseignant en Sciences politiques, n’est pas un anthropologue. Il n’est pas non plus un individu en recherche de spiritualité. Il est un curieux de l’étrange, un avide de rencontres au sein de mondes parallèles et pourtant si proches. "Le mystère, c’est tout ce qui est inconnu, craint et adulé", explique celui qui a tiré un livre, Voyages dans la France mystérieuse, de ses expériences étranges. Claude Arz dit être tombé tout petit dans la "marmite de l’étrange et des croyances traditionnelles". Lyon, capitale de l’ésotérisme Ses voyages l’on mené à Lyon, "évidemment", serait-on tenté de dire. La région n’est pas non plus exempte d’édifices mystérieux, au premier rang desquelles les galeries sous la Croix-Rousse, les fameuses "arêtes de poissons" et les catacombes sous Fourvière.

Chimie et philosophie au 17e siècle : paracelsisme, stoïcisme, cartésianisme - CERPHI On m’a sou­vent demandé pour­quoi je m’étais inté­ressé à l’his­toire de l’alchi­mie. Comment pou­vait-on consa­crer ses énergies à un sujet aussi étrange, aussi éloigné des conve­nan­ces aca­dé­mi­ques que des exi­gen­ces de la ratio­na­lité ? Car au fond, qu’était-ce que l’alchi­mie, ce mélange de trom­peu­ses pro­mes­ses et d’énergiques décep­tions, si ce n’est l’une des mani­fes­ta­tions les plus spec­ta­cu­lai­res de l’irra­tio­na­lisme ? C’est Jean-Paul Dumont qui m’a fait décou­vrir tout l’inté­rêt phi­lo­so­phi­que d’une étude de l’alchi­mie, d’emblée consi­dé­rée comme appar­te­nant à l’his­toire de la phi­lo­so­phie. C’est parmi les cent qua­rante trai­tés de la Bibliotheca Chemica Curiosa de Jean-Jacques Manget, que je trou­vais le Manuscriptum ad Fridericum de Pierre-Jean Fabre, rédigé en 1653. Vous le savez, j’ai changé d’avis. Le point sur lequel j’ai fina­le­ment changé d’avis concerne pré­ci­sé­ment les moda­li­tés de la pré­sence stoï­cienne dans l’alchi­mie.

Carré magique (mathématiques) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un exemple de carré magique : carré magique normal d’ordre 3 et de constante magique 15. En mathématiques, un carré magique d’ordre n est composé de nombres entiers, écrits sous la forme d’un tableau carré. Un carré magique normal est un cas particulier de carré magique, constitué de tous les nombres entiers de 1 à , où n est l’ordre du carré. Les carrés magiques étaient connus des mathématiciens chinois, à partir de -650[1], et des mathématiciens arabes, probablement vers le VIIe siècle, lorsque les armées arabes firent la conquête du nord-ouest de l'Inde, apprenant des mathématiciens indiens, ce qui incluait certains aspects de la combinatoire. Les Arabes seraient les premiers, au Xe siècle, à les utiliser à des fins purement mathématiques. En Chine (nommés Luoshu : 洛书 (littéralement Livre de la rivière Luo), ils furent représentés par différents symboles, puis symbolisés par des chiffres en Inde où furent inventés les chiffres arabes. .

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