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Beit Jala : Mur israelien

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The villagers on the line. Barrière de séparation israélienne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Barrière de séparation israélienne

Tracé de la barrière, tel qu'il était établi en février 2006. À la sortie de Bethléem - août 2005. Mur de séparation à Jérusalem Est, vu depuis la Vieille Ville. Haut de huit mètres, il isole Jérusalem de la Cisjordanie. La barrière de séparation israélienne est une construction en Cisjordanie en cours d'édification par Israël depuis l'été 2002, sous les noms officiels de « גדר ההפרדה - Geder HaHafrada » en hébreu (littéralement : grillage de séparation), ou de « clôture de sécurité » (« security fence »).

L'existence et le tracé de cette construction, longue de plus de 700 km et incluant plusieurs grands blocs de colonies israéliennes en Cisjordanie, sont contestés sur des aspects politiques, humanitaires et légaux. Dénominations[modifier | modifier le code] 4 avril 2012 - Démolitions de maisons et d'infrastructures - Appel d'urgence de la municipalité de Beit Jala. Très tôt, hier matin, les forces israéliennes d’occupation sont entrées dans le quartier « Al-Makhrour » de Beit Jala pour y démolir deux habitations, 53 poteaux électriques qui ont coupé le courant à 12 familles, un puits d’eau et un tronçon de route pavée.

4 avril 2012 - Démolitions de maisons et d'infrastructures - Appel d'urgence de la municipalité de Beit Jala

La Municipalité de Beit Jala condamne vigoureusement cette nouvelle agression israélienne et s’adresse à la communauté internationale afin qu’elle agisse résolument contre ces violations quotidiennes de la part d’Israël partout dans les territoires occupés et en particulier à Beit Jala. L’événement d’hier est une démonstration claire de la détermination israélienne de compromettre la solution à deux Etats. Cette nouvelle agression israélienne est une tentative de déplacer des familles palestiniennes de l’une des dernières zones vertes du district de Bethlehem. Elle montre l’appétit d’Israël d’étendre la colonie de Har Gilo et de préparer le terrain pour l’implantation prévue de la colonie de Giv’at Yael. Original - appel en anglais. Communiqué des Salésiens sur Crémisan. Suite à une récente interview intitulée « Le Mur et les oliviers » diffusée à la télévision sur Telepace Terre Sainte, le provincial des Salésiens Don Maurizio Spreafico tient à apporter quelques précisions.

Communiqué des Salésiens sur Crémisan

Bethléem, le 23 novembre 2010 argaiv1052 1/ Les Salésiens de Crémisan n'ont jamais demandé de «passer du coté isrélien», comme l’ont improprement affirmé certaines voix. 2/ La totalité du parcours du Mur, y compris la partie qui touche directement les propriétés de Crémisan, a été décidée par les autorités israéliennes en complète autonomie, en dépit d’une note consultative émise par la Cour Internationale de Justice le 9 Juillet 2004. 3/ Lorsque le Gouvernement israélien, pendant la réunion du 16 février 2009 à Kfar Etzion avec le trésorier de Crémisan , a essayé de faire pression pour avoir un consentement explicite des salésiens de faire partie d'Israël, notre réponse a été donnée dans les termes suivants: Don Maurizio Spreafico Provincial.

Israël: un mur entre bonnes soeurs et moines. C’est un schisme un peu particulier qui agite le couvent du Crémisan.

Israël: un mur entre bonnes soeurs et moines

La ligne de fracture n’est ni spirituelle, ni théologique mais très concrête. Et elle divise les religieuses d’un côté, les moines de l’autre alors que ceux-ci, tous membres de l’ordre salésien, vivaient depuis 1960 et «jusqu’ici très pacifiquement et côte à côte». Tout commence en 2006, lorsque le ministère israélien de la Défense, décide de faire passer le mur de séparation entre Israël et les territoires occupés de manière à ce que le couvent se retrouve en Israël mais pas le village palestinien auquel il est rattaché. Une bonne nouvelle pour les moines dont le gagne-pain est «la production et la vente de vin en Israël principalement. Mais pour les bonnes sœurs qui dirigent une école catholique pour les enfants palestiniens venant des villages de Cisjordanie, c’est une mauvaise nouvelle», raconte Haaretz qui consacre un reportage à cette affaire.

Côté palestinien, il y a presque trois fois moins de chrétiens. Le Mur israélien s'attaque au monastère de Crémisan en Cisjordanie. Un nouveau segment de la « barrière de sécurité » va non seulement scinder ce site de terrasses verdoyantes, mais aussi séparer les membres de cet ordre salésien, les religieuses restant en Cisjordanie tandis que les moines seront du côté israélien.

Le Mur israélien s'attaque au monastère de Crémisan en Cisjordanie

Israël a trouvé un nouveau moyen d’essayer de diviser moines et religieuses, du monastère de Crémisan, près du village de Al Walaja à proximité de Jérusalem et Béthleem, les moines tirant leurs ressources de la viticulture tandis que les religieuses sont attachées à une école qui accueille 300 enfants de 4 à 16 ans, essentiellement du village de Al Walaja. Les élèves risquent de ne plus avoir accès à l’école, car il n’existe qu’une seule route vers le monastère, et le mur entraînera un check-point. Soeur Adriana, la mère supérieure, se bat contre les ordres de démolitions avec toute l’administration du monastère, qui condamne une décision prise par les seules autorités israéliennes. (Traduction de l’anglais par Anne-Marie Perrin) Source : New segment of West Bank security fence may separate nuns from monks - Israel News.

Noël triste en Palestine : les Chrétiens pleurent leurs terres spoliées.