background preloader

Licence globale

Facebook Twitter

Législation et licences. Économie des réseaux. Qu’est ce qu’une Accorderie ? Une Accorderie vise à lutter contre la pauvreté et l’exclusion en renforçant les solidarités entre des personnes d’âges, de classes sociales, de nationalités et de sexes différents.

Qu’est ce qu’une Accorderie ?

Une Accorderie développe, par l’échange de services et la coopération, les conditions d’une amélioration réelle, et au quotidien, de la qualité de vie de tous ses membres, les Accordeurs. Ces derniers ont accès aux services des membres de « leur » Accorderie locale, ainsi qu’aux activités collectives d’échange, soit à des services d’intérêt général qui s’adressent à l’ensemble des Accordeurs.

Une Accorderie œuvre dans le monde de l’économie sociale et solidaire, en proposant un système économique alternatif reposant sur la création d’une nouvelle forme de richesse. Une richesse collective et solidaire qui s’appuie essentiellement sur le potentiel des membres de toute la communauté. Le P2P, la culture libre et le mouvement des Communs, avec Lionel Maurel.

Donner : une capacité naturelle, mais limitée. Mots-clés :economie, don, economie_et_cooperationExtrait du livre "tirer profit du don : pour soi, pour la société, pour l'économie".

Donner : une capacité naturelle, mais limitée

Dans un petit groupe, par exemple dans une famille, le don, tout comme l’échange, est naturel. Il nous semblerait totalement ridicule qu’une mère demande à son enfant de lui rembourser tout ce qu’elle lui a donné alors qu’il était jeune ! Nous n’avons pas besoin non plus, dans un petit groupe d’amis, de tenir le compte de ce que nous faisons les uns pour les autres. Nos capacités cognitives sont suffisantes pour nous permettre d’avoir une appréciation de ce chacun fait pour l’autre, tout au moins de façon approximative.

Le don, tout comme l’échange d’ailleurs, est donc une faculté naturelle. 1- À la recherche de la taille limite de notre réseau social L’anthropologue britannique Robin Dunbar s’est intéressé à la relation entre la taille du néocortex de 38 espèces de singes et la taille des groupes respectifs dans lesquels ils vivaient [1]. Notes [12] S. Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs. Première femme à obtenir un Prix Nobel d’économie (en 2009) pour ses développements sur la théorie des communs [1], Elinor Ostrom est décédée ce mardi 12 juin, à l’âge de 78 ans.

Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs

Chercheuse politique infatigable et pédagogue ayant à cœur de transmettre aux jeunes générations ses observations et analyses, elle avait, malgré sa maladie, continué son cycle de conférences et la rencontre avec les jeunes chercheurs du domaine des communs au Mexique et en Inde. Récemment encore, elle exprimait son sentiment d’urgence à propos de la conférence Rio+20 qui se déroule actuellement [2]. Une conférence durant laquelle le terme de « communs » devient un point de ralliement, jusqu’à figurer dans le titre du « Sommet des Peuples pour la justice sociale et environnementale en défense des biens communs ». Leçons de l’histoire De la tragédie à l’écologie Elinor Ostrom a mis en place un cadre d’analyse et de développement institutionnel destiné à l’observation des communs.

Les communs du numérique. Elinor Ostrom, prix Nobel spécialiste du bien commun nous a quitté. Au-delà de la rareté. La croissance économique.... Bruno Ventelou - 9782226126832. La coopération expliquée à mon beauf’ [Imagination For People ] Licence globale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la licence globale optionnelle selon la définition de l'Alliance Public-Artistes[1] La licence globale est une autorisation donnée aux internautes pour accéder à des contenus culturels (musique, images, films, textes) sur Internet et les échanger entre eux à des fins non commerciales en contrepartie d'une rémunération versée aux artistes proportionnellement à la densité de téléchargement que leurs œuvres ont suscité.

Licence globale

La question a de nouveau été posée lors de la discussion du projet de loi « favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet » en avril 2009. Les députés socialistes proposaient une contribution créative[4], qui n'était qu'un autre nom de la licence globale, tandis que le député DLR (ex UMP) Nicolas Dupont-Aignan militait clairement pour l'adoption de la licence globale[5]. Ce mécanisme a une nouvelle fois été rejeté.

La licence globale[modifier | modifier le code] Le débat[modifier | modifier le code]