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Urbanisme

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Liam Young's Planet City could tackle climate change by housing 10 billion people in a single metropolis. La faillite d'Evergrande va-t-elle plomber la Chine ? Crédits photo : Hector Retamal/AFP Le groupe chinois Evergrande, deuxième plus grand promoteur immobilier du pays, est au bord de la faillite ; preuve en est, il a recruté des "conseillers en restructuration" et a averti que ses liquidités subissaient une "pression énorme" du fait de l’effondrement de ses ventes, provoquant l’ire des acquéreurs et des investisseurs.

La faillite d'Evergrande va-t-elle plomber la Chine ?

Basé à Shenzhen, dans le sud de la Chine, Evergrande accuse un passif total de près de 2 millions de millions de yuans, soit plus de 300 milliards de dollars. « Marseille, porte du Sud », par Albert Londres (Le Monde diplomatique, juin 2013) Il y a les sédentaires de Marseille et puis le flot des nomades qui va de la gare au port ou du port à la gare.

« Marseille, porte du Sud », par Albert Londres (Le Monde diplomatique, juin 2013)

Si vous ne faites partie ni des sédentaires ni du flot vous n’êtes plus rien. Vous êtes le badaud. Vous gênez la circulation. Colourful Paris basketball court updated with new hues. Eden of the Orient captures "immense density" of Hong Kong's housing. Damien Faure - Espaces intercalaires (bande annonce) Processus d'urbanisation : des cités-Etats à la ville globale, par Philip S. Golub (Le Monde diplomatique, avril 2010) Pour la première fois de l’histoire humaine, la part de la population mondiale vivant dans des agglomérations urbaines a dépassé, en 2007-2008, celle de la population vivant dans les zones rurales.

Processus d'urbanisation : des cités-Etats à la ville globale, par Philip S. Golub (Le Monde diplomatique, avril 2010)

Désormais, plus de 3,3 milliards de personnes habitent en ville, dont plus de 500 millions dans des mégapoles de plus de 10 millions d’habitants ou de très grandes villes de plus de 5 millions d’habitants. Selon les prévisions de l’Organisation des Nations unies (ONU), le taux d’urbanisation mondial va s’accroître considérablement au cours des prochaines décennies, atteignant 59,7 % en 2030 et 69,6 % en 2050 ; les centres urbains anciens et nouveaux vont absorber l’essentiel de la croissance démographique à venir.

Cette transformation à grande échelle affectera en premier lieu les régions pauvres et émergentes les plus peuplées. La ville, un grand corps malade. Introduction Les villes sont-elles saines ?

La ville, un grand corps malade

L’urbanisme vise-t-il au bien-être des populations et organise-t-il les territoires urbanisés dans ce sens ? Les habitants sont-ils en meilleure santé en ville que dans les villages ? Aborder un tel sujet exige de bien le circonscrire afin d’élaborer une géohistoire se gardant de tout anachronisme puisqu’elle expose non pas un déroulé chronologique continu, itératif, progressif, reposant sur une explicitation a posteriori mais cherche à saisir une « climatique » propre à une période, en pointant les discontinuités, arrêts, sauts, retours en arrière, hybridations, qui la rythment. La ville défigurée (Le Monde diplomatique, juin 2021) Après avoir encouragé l’expansion de l’urbanisme commercial en tant que rapporteur de la commission Attali, puis en tant que ministre, M.

La ville défigurée (Le Monde diplomatique, juin 2021)

Emmanuel Macron freinera-t-il l’artificialisation des terres avec la loi « climat », en discussion au Parlement ? Depuis cinquante ans, en dépit de discours et de moratoires en trompe-l’œil, le tissu urbain ne cesse d’être déchiré. La concentration et l’industrialisation du commerce démembrent et enlaidissent la ville, comme on peut l’observer dans l’Est lyonnais (lire « Au nom de l’attractivité des territoires).

Le règne du « libre choix du consommateur » assure la prospérité des entrepreneurs les plus opportunistes (lire « GiFi ou le triomphe de la pacotille ») et favorise une segmentation de la population en autant de cibles (lire « Du rabais au bio, une offre segmentée »). Architectes, ne cassez rien !, par Philippe Bovet (Le Monde diplomatique, juin 2012) La démolition-reconstruction de logements semble bien souvent constituer le seul horizon des politiques urbaines.

Architectes, ne cassez rien !, par Philippe Bovet (Le Monde diplomatique, juin 2012)

Pourtant, raser des barres d’habitations sans envisager leur rénovation pose des problèmes à la fois sociaux et environnementaux. Ce choix ignore une donnée fondamentale : mettre la créativité au service de l’ancien est écologiquement rentable et donne des résultats probants. La destruction d’un bâtiment est contestable à deux titres. D’une part, beaucoup d’habitants se sentent liés à l’identité de leur quartier et préfèrent les changements progressifs aux transformations radicales. La revue des espaces heureux. A Aubervilliers, des «jadistes» face aux pelleteuses – Libération.