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En immersion au Cambodge, de jeunes accros à la mode craquent. Veni, vidi, vici.

En immersion au Cambodge, de jeunes accros à la mode craquent

Anniken, Frida et Ludvig sont de jeunes Occidentaux tout ce qu'il y a de plus banal : éduqués, coquets, insouciants. Ces trois étudiants possèdent de grands placards, remplis de vêtements achetés compulsivement, parfois dans des friperies, souvent dans les grandes chaînes de textile. « Il y en a que je n'ai jamais mis. Lefigaro - En immersion au Cambodge, de jeunes accros à la mode craquent. Atelier de misère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Atelier de misère

Un atelier de misère[1],[2] (également atelier d'exploitation ou atelier de pressurage[3]) est un terme péjoratif servant à désigner une manufacture, un atelier ou une usine — très souvent dans l'industrie textile — dans laquelle les employés sont exploités, travaillent trop longtemps ou de manière forcée, dans lesquels sévissent des abus physiques ou moraux, ou encore où l'on fait travailler des enfants. Le terme « sweatshop », qui désigne ce type d'établissement en anglais, est une combinaison de sweater (le contremaître, sweat signifiant aussi sueur) des ateliers textiles des années 1830-1840 aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, qui faisait transpirer les travailleurs, et de shop (magasin, mais aussi atelier dans les usines). Contexte historique[modifier | modifier le code] Ces ateliers travaillent le plus souvent en sous-traitance pour une entreprise cliente, le « donneur d'ordre ».

Aujourd'hui[modifier | modifier le code] L'EXPRESS - H&M réagit à Sweatshop: "Notre engagement au Cambodge est fort" - L'Express Styles. Le web-documentaire norvégien Sweatshop, diffusé en avril dernier sur le site du journal Aftenposten, fait le tour des réseaux sociaux.

L'EXPRESS - H&M réagit à Sweatshop: "Notre engagement au Cambodge est fort" - L'Express Styles

On peut y voir trois jeunes accros du shopping envoyés en immersion dans une usine textile, à Phnom Penh. Pointé du doigt par la blogueuse Anniken Jorgensen, le géant du prêt-à-porter suédois H&M s'est vu contraint de publier un communiqué pour rétablir sa version des faits. "Aucune des usines visitées lors de ce programme ne produit de vêtements pour H&M", promet-il.

Améliorer les conditions de travail H&M tient à affirmer son engagement pour la mode éthique. LES INROCKS - "Sweatshop", le docu qui envoie des blogueurs mode dans une usine de textile cambodgienne. Ce n’est qu’une fois au Cambodge qu’ils ont réalisé l’ampleur des dégâts.

LES INROCKS - "Sweatshop", le docu qui envoie des blogueurs mode dans une usine de textile cambodgienne

Trois blogueurs norvégiens se sont mis dans la peau d’ouvriers du textile durant un mois, pour les besoins d’un web-documentaire norvégien nommé “Sweatshop – Dead Cheap Fashion“. Anniken Jorgensen, Frida Ottesen et Ludvig Hambro étaient tous trois accros au shopping…jusqu’à ce qu’ils découvrent dans quelles conditions de travail sont confectionnés les vêtements de grandes marques comme H&M ou Mango.

Horaires et salaire misérables : les candidats déchantent A Phnom Penh, ils découvrent les horaires à rallonge, les cadences intenables, la maigreur des salaires et la promiscuité dans les ateliers, raconte le site Le Vif. Ereintés moralement et physiquement, Anniken, Frida et Ludvig ont vécu durant trente jours la chaleur, le bruit permanent et la pénibilité de l’usine cambodgienne. ”Cette nuit, j’ai dormi dans cette maison minuscule. Un engagement solidaire.

Sweatshop - deadly fashion. Lengde12:32 Visninger473 321 Spilles nå «SWEATSHOP» ep. 5: - What kind of life is this?

Sweatshop - deadly fashion

Reality hits like a fist when Frida, Ludvig and Anniken meet textile workers at a resource center in Phnom Penh. Sweatshop - deadly fashion Lengde13:49 Visninger262 216 «SWEATSHOP» ep. 4: - The large chains are starving their workers! One days work at the textile factory have earned Frida, Ludvig and Anniken a total of 9 dollars. Lengde12:15 Visninger397 686 «SWEATSHOP» ep. 3: - I´ll keep going until I faint After a night on hard concrete floors Frida, Ludvig and Anniken wake up to their new jobs at textile factory in Phnom Penh, and a lunch out of the ordinary. Lengde09:38 Visninger402 496 «SWEATSHOP» ep. 2: Our bathroom is larger than her entire house.

TEASER: «SWEATSHOP - deadly fashion» KONBINI - SweatShop, la téléralité qui envoie des blogueurs mode travailler à l'usine. SweatShop Dead Cheap Fashion.

KONBINI - SweatShop, la téléralité qui envoie des blogueurs mode travailler à l'usine

Ce nom ne vous dit sûrement rien, mais il s’agit du titre d’une téléréalité norvégienne dont les premiers épisodes ont été diffusés sur la chaîne Aftenposten. Elle a comme particularité d’avoir réussi à envoyer trois blogueurs mode au Cambodge. L’idée : les confronter à la réalité des personnes qui créent en Asie les vêtements qui seront achetés par la suite en Europe. Pendant un mois, Frida, Ludvig et Anniken ont donc vécu à l’heure cambodgienne, dans un milieu du vêtement connu pour avoir des horaires à rallonge et des salaires peu élevés. En 2013, un pays comme le Bangladesh avait dû faire face à une tragédie : l’effondrement de l’atelier textile du Rana Plaza de Dacca, qui avait fait 1127 morts et plus de 2000 rescapés.