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Croissance / décroissance

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Allez Pauline, voici quelques répliques pour t'aider. J’ai découvert l’existence de Pauline Lefevre (alias Pauline Secours) non pas grâce à la télévision, jetée depuis lurette, mais par les réseaux sociaux.

Allez Pauline, voici quelques répliques pour t'aider

C’est finalement la même chose puisque des amis avaient partagé un extrait de chronique « La Vie autrement » diffusée lors de l’émission La Nouvelle édition sur Canal+ Donc Pauline. N’étant pas très au fait des grilles du paysage audiovisuel français, je crois comprendre que Pauline Secours intervient dans une émission phare de la chaîne cryptée. Travailler moins, produire autrement. - Tout est-il à jeter dans le système actuel ?

Travailler moins, produire autrement

- On se heurte à la difficulté d’un modèle le plus complexe et le plus interdépendant que le monde ait connu. Il faut déconstruire tout ça. Créer un modèle de transition pour aboutir à un nouveau modèle en transformant certaines choses de l’actuel, en en abandonnant d’autres. - Avec la décroissance, on a l’impression de tomber dans la nostalgie du fameux « c’était mieux avant »… - Pas du tout. . - Vous parlez de baisser le temps de travail pour redistribuer les emplois. . - Certes, ça a été une catastrophe pour des PME et certains secteurs. . - Est-ce à dire qu’il faut stopper la recherche, que le progrès est mauvais ? - Non, il faut juste changer de paradigme, sortir de cette religion du progrès qui sert à dominer la nature.

. « Se désaliéner des biens de consommation inutiles » - Vous souhaitez mettre en place un revenu inconditionnel d’existence (RIE) . - Il s’agit d’un revenu minimum en euros qui s’applique à tous. 3,188 millions de chômeurs : on peut lutter contre le chômage même sans croissance. Un demandeur d'emploi devant une agence Pôle Emploi de Nice, le 26 février 2013 (L.CIRONNEAU/SIPA).

3,188 millions de chômeurs : on peut lutter contre le chômage même sans croissance

CHÔMAGE. Il faut que l'on prenne tous conscience de la gravité de la situation. Le 13 février, un chômeur s’est donné la mort devant une agence Pôle emploi, parce qu'il arrivait en fin de droits. Tous les mois, il y a en moyenne 20.000 chômeurs de plus et 80.000 hommes et femmes qui ne sont plus comptés comme chômeurs mais qui, en fin de droits, tombent dans la pauvreté. Analyses politiques : La croissance ? La croissance, la croissance… et la décroissance ? - Idées. Suivez-nous aussi sur : Il y a un mois, nous faisions le constat dans cette émission qu’après avoir été quelque peu mise de côté, crise et austérité obligent, la croissance était de nouveau à la mode.

La croissance, la croissance… et la décroissance ? - Idées

Mieux : revendiquée par l’ensemble des décideurs, qu’ils soient politiques ou économiques. Croissance par la relance de la demande, par une politique de l’offre, par la poursuite des efforts budgétaires : tous ne mettaient certes pas la même chose derrière ce mot valise, mais tous en parlaient désormais comme d’une évidence. Christian Arnsperger et Philippe Aghion J Gacon©Radio France A la suite de cette émission, un de nos auditeurs (il se reconnaîtra sans doute) postait un commentaire sur notre site.

Les temps semblent avoir radicalement changé depuis. « La croissance n’est pas la solution, c’est le problème » Jean Gadrey est économiste et membre en 2008-2009 de la « Commission Stiglitz ».

« La croissance n’est pas la solution, c’est le problème »

On nous dit que, sans croissance, c’est la régression sociale, on ne peut pas réduire les dettes, ni le chômage, ni la pauvreté, et l’on n’aura pas les moyens d’engager la transition écologique. Pourtant, je propose de dire « Adieu à la croissance », qui est le titre de mon livre (voir les bonnes feuilles sur le site d’Alternatives économiques). Il serait temps que les économistes, s’ils veulent être « responsables », prennent en compte les risques écologiques et qu’ils se posent les questions suivantes : et si ce culte de la croissance relevait d’un aveuglement des élites économiques et politiques ? Audace - Les mots de l'audace : croissance. Publié le 13 février 2013 Aude de Thuin a également créé le Women’s Forum for the Economy and Society et est auteure de "Femmes si vous osiez, le monde s’en porterait mieux".

Audace - Les mots de l'audace : croissance

Après "affirmation de soi", "ambition", "anticonformisme", etc. voici le mot de cette semaine : "croissance". Sans croissance, point de salut, nous expliquent les économistes. Mercredi 22 août, "jour du dépassement" pour les ressources mondiales. Avec trente-six jours d'avance sur 2011, nous avons consommé toutes les ressources naturelles que la Terre peut produire en un an, selon l'ONG Global Footprint Network.

Mercredi 22 août, "jour du dépassement" pour les ressources mondiales

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Albelle Di Napoli. Dennis Meadows : « Nous n'avons pas mis fin à la croissance, la nature va s'en charger » En 1972, dans un rapport commandé par le Club de Rome, des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT) publient un rapport intitulé « Les limites de la croissance ».

Dennis Meadows : « Nous n'avons pas mis fin à la croissance, la nature va s'en charger »

La croissance verte : oxymore ou voie royale vers l’avenir radieux de l’humanité ? Voici le temps des anniversaires : 40 ans pour le rapport Meadows au club de Rome sur les limites à la croissance[1], 35 ans pour le rapport Bruntland (notre avenir à tous) qui lançait le concept de développement durable, 20 ans pour le sommet de Rio.

La croissance verte : oxymore ou voie royale vers l’avenir radieux de l’humanité ?

C’est le moment de faire un point sur les avancées dans le domaine de l’économie verte. Au plan théorique, les débats entre experts, économistes, journalistes et blogueurs font rage. Certains, comme Dennis Meadows, affirment que développement durable ou croissance verte sont des oxymores. La croissance ne peut que buter sur les limites d’un monde fini. Elle ne peut être verte ni durable ; la décroissance nous sera imposée de gré ou de force. D’autres au contraire se disent que le « verdissement » des modèles économiques permettra de régler la question des raretés, en découplant croissance économique et consommation de ressources. S’il y a des débats au plan théorique, il n’y en a malheureusement guère au plan pratique.