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Numérique et environnement

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What's Really Warming the World? Climate deniers blame natural factors; NASA data proves otherwise. Saurez-vous relever ces défis écolos ? - UP le mag. Le bitcoin et la blockchain : des gouffres énergétiques. Le monde numérique vit toujours dans l’illusion de son immatérialité.

Le bitcoin et la blockchain : des gouffres énergétiques

Alors que les gouvernements se sont engagés, au moment de la COP21 de Paris, à réduire leurs émissions de carbone pour limiter le réchauffement climatique sous la barre des 2 °C, le déploiement du numérique s’effectue sans le moindre souci environnemental. La vogue actuelle du bitcoin et de la blockchain en constitue l’exemple parfait. Le principe de la blockchain peut se résumer ainsi : chaque opération se trouve inscrite dans des milliers de Grands Livres de compte, chacun soumis à la scrutation d’un observateur différent. {Éco-défi} TIC, écologie & minimalisme. Entre les ressources énergétiques, les ressources naturelles et les matériaux exploités pour les fabriquer, ceux nécessaires lors de leur utilisation, ceux employés pour les recycler et les détruire, les substances toxiques et polluantes ainsi que les déchets rejetés à chacune de ces étapes, l’impact écologique des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) n’a rien de virtuel.

{Éco-défi} TIC, écologie & minimalisme

Il y a bientôt 2 ans, j’avais déjà pris conscience de l’impact écologique d’Internet en particulier, adopté de nouvelles habitudes pour me connecter avec modération et partagé quelques réflexions et astuces autour de l’art de se déconnecter. Aujourd’hui, je souhaiterais pousser la réflexion plus loin et m’informer sur l’usage et l’impact global des TIC dans leur ensemble, non seulement d’un point de vue écologique mais aussi d’un point de vue éthique et sanitaire.

Bien évidemment, il ne s’agit pas de dénigrer tout ce que les TIC nous apportent ni de renier leur utilité, voir leur nécessité. #Green : Top 5 des jeunes pousses qui invitent la nature chez vous - Maddyness. D’un côté, les objets connectés sont appelés à prendre une place de plus en plus grande dans nos vies, de l’autre le besoin de verdure se fait de plus en plus sentir chez les urbains.

#Green : Top 5 des jeunes pousses qui invitent la nature chez vous - Maddyness

Qu’elles utilisent la technologie ou non, les cinq jeunes pousses que nous avons sélectionnées apportent un peu de nature à la maison ou au bureau. Les pleurotes et Lilo de Prêt à Pousser Le kit pour cultiver en 10 jours des champignons chez soi Le kit à champignons Prêt à pousser permet de cultiver soi-même des pleurotes gris, roses et jaunes dans sa cuisine en dix jours. Une fois le kit acheté sur le site de la startup, il suffit d’ouvrir la boîte, de découper à l’aide d’un couteau une croix dans la motte puis d’arroser deux fois par jour avec un vaporisateur fourni. Les composants recyclés grâce à de l'eau à 500°C. Informatique : l'empreinte carbone des entreprises - Entreprise.

Rien n’est plus difficile à estimer aujourd’hui que la pollution mondiale des réseaux informatiques.

Informatique : l'empreinte carbone des entreprises - Entreprise

Il faudrait pour cela surveiller ou monitorer les installations informatiques de manière assidue, chose difficilement réalisable. Afin d’établir un verdict partiel et probabiliste sur le sujet, l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) a conduit en parallèle avec des spécialistes de l’audit énergétique l’expérience « Conso IT » dans 50 entreprises de toutes tailles de l’ouest de la France. Empreinte carbone : Un échantillon de 72 000 personnes Mesurer l’empreinte carbone des équipements informatiques se révèle bien plus difficile à réaliser qu’il n’y parait: il faut différencier précisément la part de l’électricité consacrée au parc informatique du reste des consommations électriques, le parc informatique fonctionnant parfois de jour comme de nuit.

Le projet fou de simuler la Terre par ordinateur. Nom de code : « Ultimate Earth Project », qu’on peut traduire par « Projet de Terre ultime ».

Le projet fou de simuler la Terre par ordinateur

Objectif : simuler la Terre entière, en tenant compte de tous les secteurs qui la caractérisent, soit son atmosphère, sa biosphère, sa géosphère, son hydrosphère, sa cryosphère (régions de glace), etc. C’est, selon les informations recueillies par Le Temps, l’initiative colossale proposée par un consortium mené par deux chercheurs, John Ludden, directeur du British Geological Survey, et Philippe Gillet, géophysicien et vice-président de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL, Suisse).

Un projet qui, selon ce dernier, devrait « enfin permettre de considérer et traiter la planète dans sa globalité ». Comment ? « En agrégeant toutes les données scientifiques collectées durant des décennies dans les domaines précités pour les insérer dans un immense simulateur informatique. » Cultivez votre potager virtuel et récoltez de (vrais) fruits et légumes locaux. Sur Monpotager.com, les internautes plantent virtuellement leurs fruits et légumes et reçoivent ensuite ceux-ci par relais coli.

Cultivez votre potager virtuel et récoltez de (vrais) fruits et légumes locaux

(Crédit : Monpotager.com) Combiner les saveurs d'une alimentation locale et la dimension ludique d'un jeu vidéo, c'est le pari de Monpotager.com. Sur ce site, les internautes peuvent planter virtuellement un potager en sélectionnant leurs fruits et légumes parmi plus de 40 variétés, dont de nombreuses anciennes ou rares. Mais contrairement à des jeux tels FarmVille ou FarmMania, ici les légumes deviennent réalité quand arrive la récolte. La pollution cachée d’internet. Contre l'obsolescence programmée, elle crée une boutique de produits garantis à vie. Tara Button est la fondatrice de BuyMeOnce, une boutique certifiée sans obsolescence programmée (Crédit : BuyMeOnce) Alors qu'elle lavait sa cocotte Le Creuset, Tara Button s'est demandée pourquoi aussi peu d'autres objets de sa cuisine étaient garantis à vie.

Contre l'obsolescence programmée, elle crée une boutique de produits garantis à vie

Une interrogation qui lui a donné une idée : "Ne serait-il pas fantastique que tout soit comme cela ? Vous achetez un objet une fois et vous n’avez plus jamais à le racheter," raconte-t-elle ainsi au journal The Daily Mail . La France tente de sauver une biodiversité en péril. S’agira-t-il, comme l’espèrent les associations de protection de la nature, d’une « loi historique » ?

La France tente de sauver une biodiversité en péril

Ou d’un catalogue d’intentions vertueuses, mais sans moyens d’action réels ? Rarement, en tout cas, un texte législatif aura connu une gestation aussi longue. Le projet de loi « pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages », promis il y a quatre ans déjà par François Hollande, arrive en première lecture au Sénat mardi 19 janvier… dix mois après son passage à l’Assemblée. A l’issue de trois jours de débats, menés par le rapporteur Jérôme Bignon (Les Républicains), le texte sera soumis au vote des sénateurs le 26 janvier. Lire aussi : La France dépoussière sa protection de la biodiversité. De révolution à fossé numérique. Le Forum économique mondial à Davos voudrait faire de la révolution numérique le thème de sa 46e édition.

De révolution à fossé numérique

Mais pour la Banque mondiale, cette « quatrième révolution industrielle » proclamée a pour socle un fossé numérique allant en se creusant. Le fondateur du Forum économique mondial appelle de tous ses voeux une « quatrième révolution industrielle ». Klaus Schwab l’attend d’une révolution numérique qui saura, espère-t-il, effectuer le saut quantique capable de redynamiser une économie mondiale s’embourbant dans la « stagnation séculaire ». Ces pionniers qui veulent chauffer les villes avec nos ordinateurs. Si les activités numériques consomment toujours plus d’énergie, des expériences innovantes montrent que l’on peut en récupérer une partie.

Ces pionniers qui veulent chauffer les villes avec nos ordinateurs

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Claire Legros Avec l’explosion numérique et la généralisation des services en ligne, le nombre des data centers (« centres de traitement de données ») s’est multiplié dans les zones industrielles des grandes villes. Un marché en plein essor où la France occupe la quatrième place mondiale avec une centaine de data centers installés sur le territoire, selon une étude publiée en juillet 2015 par la Caisse des dépôts. Dans son dernier rapport, Greenpeace prévoit que le nombre des « super usines de l’économie numérique » va « augmenter de façon spectaculaire » et représenter « plus de 70 % des nouvelles constructions de data centers en 2018 ». What Zuckerberg And Gates Teaming Up Really Means For Clean Energy In 2016. Le développement durable est-il forcément numérique ? Paradoxe, la COP 21 a fait le choix de l'imprimé pour les documents échangés entre les participants.

Faute de goût ou analyse raisonnée de l'impact environnemental de la communication sur l'événement ? Points de vus croisés de Riso, Ricoh et Antalis, tous trois retenus par les organisateurs de la conférence mondiale sur le climat pour l'impression de ses documents. A l'issue de la COP 21, plus de trois millions de pages auront été imprimées et plus de 80 imprimantes de bureau auront tourné à plein régime dans les bureaux des négociateurs.

Une telle consommation de papier lors d'une conférence consacrée aux enjeux climatiques peut surprendre. « Il ne faut pas se laisser emporter par les idées reçues », argumente Caroline Garadier, responsable communication chez RISO FRANCE et membre d'XPlor, l'un des deux fabricants d'imprimantes retenus, avec Ricoh, pour équiper la COP 21. Pertinence et personnalisation. Gmail émet 80 fois moins de CO2 qu’une messagerie interne. Par Frédéric Bordage - 08/09/2011 Le cloud computing est à la mode et ses défenseurs surfent actuellement sur la vague du développement durable. Dernier en date : Google. « Internet, la pollution cachée » LE MONDE TELEVISION | • Mis à jour le | Olivier Dumons Quoi de plus merveilleux qu’une naissance ? Rebecca fait la joie de ses parents, qui s’empressent d’envoyer leurs premières photographies sur les réseaux sociaux et le faire-part de naissance par courriel… Mais voilà, toutes ces données numériques ont un coût – exorbitant – en énergie et donc en matières premières.

C’est la pollution cachée, celle du voyage entre le bouton « envoi » et la réception sur écran. Les routes de l’information « sentent l’humidité et la poussière », précise fort justement la voix off dans le reportage : les millions de kilomètres de fibre optique et de câbles qui font transiter les masses d’informations sont le plus souvent enfouis dans des dédales d’égouts, de canalisations et autres tubes sous-marins, pour aboutir dans d’immenses centres de traitement des données (ou datacenters) qui traitent, stockent ou réorientent nos données.

Numérique : cette empreinte écologique que les consommateurs ont bien du mal à voir. Envoyer un mail, transférer ou répondre à un message... Autant de banals clics qui génèrent pourtant une quantité non négligeable d’émissions de CO2. L’envoi de courrier électronique dans une entreprise de 100 personnes équivaut à quatorze allers-retours Paris – New York (13,6 tonnes de CO2) chaque année. Quant aux requêtes Internet, via un moteur de recherche, elles représentent en moyenne 9,9 kg de CO2 par an et par internaute. Internet pollue autant que le trafic aérien. Quel est l'impact environnemental d'Internet ? L’utilisation d’Internet est-elle bonne pour l’environnement ? Aujourd’hui, le Web et les nouvelles technologies digitales font partie intégrante de nos sociétés.

À tel point qu’il est aujourd’hui difficile de se passer du net, des moteurs de recherche, et de son ordinateur. Mais quel est l’impact de ces nouvelles pratiques (et d’Internet) sur l’environnement ? La réponse dans notre infographie. En 1990, à peine quelques millions d’individus sur la planète avaient un accès à Internet. Quel est le coût écologique de votre surf sur internet ?