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Agriculture urbaine (articles, podcast)

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Comment multiplier les plantes aromatiques et médicinales ? Mon Petit Coin Vert est une jardinerie urbaine en ligne.

Comment multiplier les plantes aromatiques et médicinales ?

Cet article fait partie de nos actualités et conseils. La plupart de ces plantes se sèment pendant la période où la végétation est active, c’est à dire principalement de mars à octobre. Cependant il existe une autre technique de multiplication pratiquée par les jardiniers, celle qui consiste à pratiquer une division de touffe. De quoi s’agit-il exactement? La technique de multiplication Diviser une plante consiste à l’arracher (ou l’ôter de son pot) puis à la séparer en fragments ou éclats. Rabattage de la plante à 10 cm du sol environ, si la partie aérienne reste présente en hiver.Arrachage de la plante (ou enlèvement du pot) et coupe de l’extrémité des racines.Division en fragments en veillant à ce que chacun présente racines et bourgeons viables.Mise en pots ou plantation en massif. A quelle période multiplier ses plantes ? Quelles plantes concernées? Quels avantages présente cette technique ?

Taille arbre fruitier

(20+) Une agriculture écologique, indissociable du progrès social. Tribune.

(20+) Une agriculture écologique, indissociable du progrès social

Manger est un besoin quotidien vital si essentiel qu’on oublie parfois combien le satisfaire peut devenir difficile au moindre grain de sable dans les rouages. Un grain aussi petit qu’un virus, par exemple. La crise sanitaire a mis en exergue la vulnérabilité de notre système agricole et alimentaire. Le nombre de demandeur·euse·s de l’aide alimentaire, au nombre de 5,5 millions avant la crise, est passé à environ 8 millions de personnes : l’accès à une alimentation de qualité pour tou·te·s est encore loin d’être garanti. La Butineuse. Un jardin d’hier et d’aujourd’hui. BD : Pourquoi mettre des fermes dans les villes ? Objet de recherche récent pour les scientifiques, les microfermes urbaines sont aujourd’hui en plein essor, portées par un mouvement associatif, citoyen, entrepreneurial et politique relativement important.

BD : Pourquoi mettre des fermes dans les villes ?

Ces lieux associent différentes activités : projets éducatifs, production alimentaire, loisirs, etc. Ils constituent au cœur des villes des espaces végétalisés d’un nouveau type, susceptibles de fournir de multiples services écosystémiques (soit les avantages que la nature apporte à la société). Mais le manque de connaissances actuel ne permet pas d’appréhender précisément l’importance de ces services. Dans notre reportage BD, vous découvrirez cette forme étonnante d’agriculture en suivant les travaux du programme de recherche « SEMOIRS » qui a étudié deux années durant les services écosystémiques rendus par six microfermes dans Paris et sa petite couronne. Bonne lecture ! Les plants du Pays basque pour réinvestir sa terre.

Quatre fermes du Pays basque se sont associées au sein d’un collectif pour mutualiser et relocaliser à leur échelle la production de plants dans la région.

Les plants du Pays basque pour réinvestir sa terre

Aubergines, épinards, laitues : les légumes ont désormais leurs racines en terres locales ! Épinards, oignons blancs, salades, choux, mesclun, blettes… Environ 3000 plants de légumes d’automne ornent la nouvelle serre à plants de la SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) Garro, ferme maraîchère basée à Mendionde, dans les Pyrénées-Atlantiques. Ils seront livrés à partir de la fin du mois de septembre.

La grande nouveauté, hormis ces jeunes pousses qui pointent le bout de leur nez vert ? En ville, l'école de la vie paysanne. À Marseille, se cache la ferme du Roy d’Espagne, un terrain de deux hectares partagés entre production maraîchère et visites pédagogiques à destination des scolaires.

En ville, l'école de la vie paysanne

Les apprentissages distillés ici sont fondamentaux pour les adultes de demain. Autonomie alimentaire : pour un « droit de jardiner » Au Pays basque, des associations et citoyens se sont rassemblés au sein du collectif pour l’autonomie alimentaire pour inviter les élus à favoriser l’agriculture citoyenne dans les villes et accorder à tous un droit de jardiner.

Autonomie alimentaire : pour un « droit de jardiner »

Sur les hauteurs de Bayonne, un océan de courges, né d’une action citoyenne de plantation, surplombe le quartier résidentiel. Plus de 200 plants de courges ont été mis en terre sur ce champ lors d’un chantier participatif initié par l’association Graines de liberté à la fin du mois de juin. L’association, qui favorise et accompagne la création de jardins partagés agroécologiques, a obtenu sur ce terrain un bail précaire auprès de la communauté d’agglomération du Pays basque, qui lui a permis de lancer ses premières cultures. En ville, l'école de la vie paysanne. Du champ à l’assiette, de l’assiette au champ. Alors que l’agriculture intensive s’est développée en un temps record, les petites fermes produisent toujours 70% de l’alimentation mondiale.

Du champ à l’assiette, de l’assiette au champ

L’agriculture intensive permet de produire beaucoup, mais ses rendements au mètre carré sont en réalité faibles. Avec une agriculture raisonnée, il est possible de produire de façon très efficace sur des parcelles réduites. L’idée qu’une agriculture biologique serait incapable de nourrir la population mondiale est un mythe. Cela est possible, et même nécessaire (cf. Pierre Rabhi & Juliette Duquesne, Pour en finir avec la fin dans le monde). Le monde agricole est en proie à un cercle vicieux. Si l’agriculture intensive fonctionne de façon linéaire, l’agro-écologie se pose comme un cycle. Ce modèle est-il viable ? Reconversion sans qualifications : comment se vendre ? Qui n’a jamais été tenté par l’idée d’exercer un métier totalement différent du sien ?

Reconversion sans qualifications : comment se vendre ?

Le switch séduit de plus en plus de travailleurs, et les explications sont nombreuses : un monde du travail qui se transforme, un besoin de sens, une envie de mobilité. Le tout, facilité par une meilleure acceptation des profils atypiques dans les entreprises et un fort encouragement à l’entrepreneuriat depuis une dizaine d’années en France. Selon une étude 2018 de Diplomeo, plus de 9 personnes sur 10 ont déjà envisagé la reconversion professionnelle !

Mais une fois le pas franchi, comment se vendre alors qu’on manque d’expérience et de formation ? Avoir un projet bien réfléchi Ce sera votre argument le plus solide : il faut que votre projet de reconversion soit clair dans votre tête pour être crédible auprès d’autrui. Dans tous les cas, pour confronter vos envies à la réalité, discutez avec des professionnels du milieu que vous souhaitez rejoindre. De l'eau en pot, trésor à enterrer. Face aux sécheresses de plus en plus longues et régulières, jardiniers et amis des plantes cherchent des solutions durables et résilientes.

De l'eau en pot, trésor à enterrer

Après le paillage, qui permet de limiter l’évaporation de l’eau par l’apport de matières organiques, focus sur une technique ancestrale : l’irrigation par jarre. Que faire quand la terre a soif ? Comment s’assurer qu’elle pourra siroter aisément malgré les chaleurs futures au jardin ? En enterrant de l’eau, pardi ! On la place directement dans des pots en argile que l’on pose sous terre.

L’utilisation de techniques de ce type a été documentée depuis plusieurs millénaires en Chine et en Afrique du Nord. Carrière dans la terre En France, deux entreprises produisent ces jarres d’irrigation, du petit modèle destiné aux jardinières aux modèles XXL adaptés aux arbres.