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Intelligence artificielle

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Un rapport alerte sur les risques d’utilisation malveillante de l’intelligence artificielle. Vingt-six experts s’inquiètent que l’IA facilite la manipulation d’élections et renforce la cybercriminalité avec l’utilisation de drones ou de robots à des fins terroristes.

Un rapport alerte sur les risques d’utilisation malveillante de l’intelligence artificielle

Le scénario de drones ou de robots détournés à des fins terroristes continue d’inquiéter. Des experts internationaux sonnent l’alarme sur les risques d’une utilisation malveillante de l’intelligence artificielle (IA) par « des États voyous, des criminels, des terroristes », dans un rapport publié mercredi 21 février. Selon eux, dans les dix prochaines années, l’efficacité croissante de l’IA risque de renforcer la cybercriminalité mais aussi de faciliter la manipulation d’élections via les réseaux sociaux grâce à des comptes automatisés (bots). Lire aussi : « La peur de l’intelligence artificielle n’est pas (encore) d’actualité » L'intelligence artificielle en plein essor grâce à la révolution de l'« apprentissage profond » Les techniques d'« apprentissage profond » (« deep learning ») ont, en moins de 5 ans, complètement bouleversé le domaine de l'intelligence artificielle (IA), selon Yann LeCun qui dirige le nouveau laboratoire d'intelligence artificielle de Facebook à Paris.

L'intelligence artificielle en plein essor grâce à la révolution de l'« apprentissage profond »

L'apprentissage profond est utilisé, par exemple, par Siri, Cortana et Google Now pour la reconnaissance vocale, par Google Maps pour déchiffrer le texte présent dans les paysages (comme les numéros de rue) et par Facebook pour détecter les images contraires à ses conditions d'utilisation et pour reconnaître les utilisateurs présents sur les photos publiées (une fonctionnalité non disponible en Europe). « Toutes les grandes entreprises tech s'y mettent : Google, IBM, Microsoft, Amazon, Adobe, Yandex ou encore Baidu y investissent des fortunes », rapportait la journaliste Morgane Tual dans Le Monde en juillet 2015. La journaliste cite Yann Ollivier, chercheur en IA au CNRS, qui explique : « Comment reconnaître une image de chat ?

Un rapport alerte sur les risques d’utilisation malveillante de l’intelligence artificielle. Des machines enfin intelligentes ? L’homme sait L’ordinateur ne sait rien Comment est-il possible que d’un ensemble de messages physico-chimiques, aussi aveugles que les zéros et 1 en informatique, émerge une conscience ? Nous sommes conscients de nous-même, c’est le moi, et conscients d’être conscients.

Nous savons que nous savons ce que nous savons. Un ordinateur sait puisqu’il a stocké en mémoire des millions d’informations. Édition abonné articles pour Lionel. Synapse artificielle : le memristor, chaînon manquant vers le cerveau électronique. MICROPROCESSEUR.

Synapse artificielle : le memristor, chaînon manquant vers le cerveau électronique

Le 3 avril 2017, une équipe française (CNRS, Thales, Universités de Bordeaux, Paris-Sud et Evry) publiait dans Nature Communications un article décrivant une synapse artificielle (élément électronique appelé memristor) qui pourrait bien révolutionner l'apprentissage machine profond (deep learning). Afin de mieux comprendre la portée de la découverte, Sciences et Avenir s'est entretenu avec Vincent Garcia, chercheur en nanosciences et co-auteur de l'étude.

Sciences et Avenir : Pouvez-vous préciser ce qu'est un memristor (contraction de "memory" et "resistor") ? Mémoire : le cerveau livre ses secrets - Les Echos. Ce que l’intelligence artificielle peut apporter à l’éducation. Entre promesses, fantasmes et peurs, l’intelligence artificielle constitue désormais un « enjeu majeur » pour notre société, comme l’a rappelé le secrétaire d’Etat chargé du numérique Christophe Sirugue, à l’occasion du dévoilement de la stratégie « France IA », le 21 mars 2017.

Ce que l’intelligence artificielle peut apporter à l’éducation

D’ici dix ans, 1,5 milliard d’euros pourrait être investi dans ce domaine qui touche l’automobile, la finance, la sécurité, mais aussi l’éducation. En 2012, un site américain listait déjà les 10 manières dont l’intelligence artificielle pourrait réinventer l’éducation : 1. Automatiser les activités de base dans l’éducation comme les évaluations 2. L’intelligence artificielle pour tous. Vous vous souvenez d’AlphaGo, le programme d’apprentissage automatique de Google qui a permis de vaincre le champion de Go… Vous vous souvenez aussi que Google a rendu accessible son outil open source d’apprentissage automatique, TensorFlow.

L’intelligence artificielle pour tous

Nous nous étions rapidement fait l’écho des débats éthiques et philosophiques autour de l’ouverture de ces outils. L’usage de l’IA se démocratise-t-il ? … L’intelligence artificielle pour tous. L’intelligence artificielle pour tous. « Google a toujours été une entreprise d’intelligence artificielle » L’Américain Greg Corrado a cofondé en 2011 le projet Google Brain, consacré à l’apprentissage des machines (« machine learning ») et plus particulièrement au « deep learning », une technologie qui a permis d’importants progrès ces dernières années dans le domaine de l’intelligence artificielle.

« Google a toujours été une entreprise d’intelligence artificielle »

Alors que Google vient d’annoncer, jeudi 16 juin, le lancement d’une équipe de recherche spécialisée dans le « machine learning » en Europe, à Zürich, Greg Corrado revient sur la façon dont ces avancées ont changé Google et façonnent son avenir. Qu’est-ce que le deep learning a changé chez Google ? L'apprentissage profond : une révolution en intelligence artificielle - Informatique et sciences numériques (2015-2016) - Yann LeCun - Collège de France - 04 février 2016 18:00.

Le deep learning — Science étonnante #27. Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Humain — Quel est le but de la vie ?

Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie

Machine — Etre au service du plus grand bien. Humain — Quel est le but des êtres vivants ? Machine — Vivre éternellement. Intelligence Artificielle, « as-tu passé les bornes des limites » Intelligence artificielle, adieu monde d’hier… Bienvenue monde de demain ?

Intelligence Artificielle, « as-tu passé les bornes des limites »

Bienvenue monde de demain ? Cela ne vous aura pas échappé… au bout de ces quatre mots, la ponctuation résonne comme une alerte ! Le deep learning. Vous entendez parler du deep learning, mais vous n’en avez pas encore compris la profondeur ?

Le deep learning

Cette vidéo est faite pour vous ! Fidèle à mon habitude, voici la liste des choses essentielles, mais pourtant éliminées par manque de place et pour rester accessible au plus grand nombre. L'intelligence artificielle. L’intelligence artificielle menace-t-elle l’humanité. Si le rêve d’immortalité de l’homme devient réalité… peut-il tuer l’humanité ?

L’intelligence artificielle menace-t-elle l’humanité

Un des plus vieux rêves de l’homme n’est-il pas « la mort de la mort », rêve repris par Google et sur lequel il investit au point que, selon le Docteur Laurent Alexandre, « l’objectif des dirigeants de Google est de transformer leur moteur de recherche en intelligence artificielle… » ! Il explique aussi que même si l’on ne s’en est guère aperçu, le géant du web serait plus près du but qu’on ne l’imagine. Il n’est qu’à voir le nombre de start-ups rachetées par Google, dans le domaine de la santé et dans celui de la robotique, des objets intelligents… Mais doit-on s’en réjouir ?

Des voix s’élèvent… scientifiques et entrepreneurs du numérique s’inquiètent pour l’avenir de l’humanité. L'apprentissage profond : une révolution en intelligence artificielle - Informatique et sciences numériques (2015-2016) - Yann LeCun - Collège de France - 04 février 2016 18:00. Est-il possible de créer un cerveau artificiel? Le Dr Miguel Nicolelis n’est pas du genre à affirmer que quelque chose est impossible. Après tout, l’exosquelette directement relié au cerveau qu’il a mis au point a permis à un paraplégique de donner le coup d’envoi de la dernière Coupe du monde.

Il s’est servi d’implants cérébraux pour donner à des rats un sixième sens (la perception de la lumière infrarouge). Et il a connecté les esprits de plusieurs singes afin de leur permettre d’accomplir diverses tâches ensemble, une technologie qui pourrait selon lui servir un jour à connecter les cerveaux de différentes personnes en un "réseau mental". Et pourtant, dans son dernier livre, The Relativistic Brain: How It Works and Why It Cannot Be Simulated by a Turing Machine, ce directeur du département neuro-ingénierie de l’université Duke affirme qu’il est impossible d’imiter le cerveau humain à l’aide d’un ordinateur, et que s’y efforcer est aussi malavisé que dangereux.

Les clés de demain - Le Monde.fr / IBM. « Cognitive business ou l'homme augmenté » Le cognitif transforme en profondeur les modèles économiques des entreprises. Même si certains secteurs sont plus avancés que d'autres, tous sont concernés, comme l'explique Jean-Philippe Desbiolles, vice-président Cognitive Solutions chez IBM France.

Pourquoi le cognitif est-il parfois associé à une « quatrième révolution industrielle » ? Intelligence artificielle : une machine peut-elle ressentir de l’émotion ? Certains programmes savent déjà les imiter à la perfection et même influer sur nos propres émotions. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Cet article fait partie d’une série consacrée à l’état des lieux de l’intelligence artificielle.

La science-fiction nous abreuve de robots autonomes, si perfectionnés qu’ils disposent d’une conscience, d’émotions et nous inspirent même de l’empathie, à l’instar des êtres humains. Mais loin de la littérature et d’Hollywood, qu’en est-il aujourd’hui dans les laboratoires du monde entier ? L’émotion, et la conscience, apparaissent comme des éléments essentiels pour fabriquer une machine à l’image de l’être humain. Microsoft enseigne le sens de l'humour à une IA - Sciences. Peut-on faire rire une intelligence artificielle, ou faire qu'elle nous fasse rire ? Oui, si l'on en croit les travaux de Microsoft Research et du magazine New York, qui ont publié les prémices d'un apprentissage du sens de l'humour chez les robots. L'assistant Cortana sera peut-être capable un jour d'improviser une blague ou un jeu de mots en discutant avec vous. Si le sentiment amoureux et le sens de l'humour sont vus comme des chasses gardées de l'humanité face aux robots, Microsoft travaille en effet déjà à supprimer au moins l'exclusivité humaine du rire.

Bloomberg rapporte ainsi qu'un ingénieur de Microsoft Research s'est associé au magazine The New Yorker pour tenter de déceler l'humour chez ses lecteurs, avec une intelligence artificielle. Toutes les semaines depuis dix ans, le New Yorker publie un dessin, souvent absurde, en laissant les lecteurs proposer les légendes qui en feront des dessins humoristiques. L’intelligence artificielle inamicale : réalité ou fantasme ? Les recherches en intelligence artificielle font de tels progrès que des scientifiques réputés, comme le physicien Stephen Hawking, voient dans l’I.A. un danger pour l’Homme. Pourtant, selon les spécialistes, nous sommes très loin de voir un jour surgir une I.A. inamicale. “Terminator”, “2001, l’odyssée de l’espace”, “I, Robot” sont autant de films de science-fiction montrant comment l’intelligence artificielle deviendra un jour consciente d’elle-même, jusqu’à nous supplanter et menacer notre intégrité physique.

Pourtant, dans la réalité, nous sommes loin, très loin de ce type de scénario. Jean-Gabriel Ganascia, expert en intelligence artificielle et philosophe, chercheur au LIP6, le Laboratoire d’informatique de Paris 6, raconte l’histoire de l’I.A. : “ce terme est né en 1955, aux États-Unis. Derrière les dérapages racistes de l’intelligence artificielle de Microsoft, une opération organisée. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par William Audureau « Il faut que nous fassions en sorte que tout le monde détourne Tay, des supporteurs de Trump au #GamerGate. » Le tweet est posté le 23 mars à 22 heures par un internaute se présentant comme Brighton E. Whytock, l’un des premiers à avoir exhorté publiquement à détourner l’intelligence artificielle conversationnelle apprenante de Microsoft.

Plusieurs heures plus tard, la firme de Redmond a dû désactiver Tay, qui était censée imiter sur Twitter les réponses d’une adolescente, mais s’est finalement retrouvée à faire l’apologie d’Adolf Hitler et du négationnisme, ou à publier des messages au contenu tantôt sexiste, tantôt antisémite ou raciste. Lire aussi : A peine lancée, une intelligence artificielle de Microsoft dérape sur Twitter. Intelligence artificielle : une machine est-elle capable de philosopher ? Watson, le cerveau artificiel d'IBM bientôt sur smartphone. L’homme battu par la machine au go : « Sur Internet, beaucoup de joueurs sont désespérés »

Jeu de go : comment savoir si les programmes d’intelligence artificielle sont vraiment… intelligents. Quelles technologies pour apprendre à apprendre. Le jeu de go, paroxysme de la guerre entre Facebook et Google sur l’intelligence artificielle. Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs » Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle. Hawking : « L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à l'humanité »

Player. L’intelligence artificielle sans alternative.