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Anarchie

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Estime de soi et confiance en soi : quelle différence ? Dans un précédent article, je parle brièvement de l’estime de soi, comme une composante essentielle de la confiance en soi.

Estime de soi et confiance en soi : quelle différence ?

Hors, ces deux termes sont souvent confondus, mais ils sont pourtant bien différents. La confiance, tout autant que l’estime, est visible sur le langage corporel. Plutôt qu’essayer de cacher ces signes, il faut travailler à la source. Voici donc un article « hors série » pour vous expliquer les mécaniques de l’estime de soi. L’estime de soi, qu’est ce que c’est ? Tout simplement : c’est la façon de se voir, aussi bien en positif qu’en négatif. Généralement, l’estime de soi dépend de notre éducation : les enfants martyrisés et violentés, aussi bien physiquement que verbalement, auront une piètre opinion d’eux-mêmes. La société nous véhicule aussi une image de perfection, par les magazines de mode ou par le cinéma, et l’on se prend à se comparer avec ces nouvelles « idoles ».

L’estime de soi, c’est avant tout trois facteurs : Anarcho-syndicalisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anarcho-syndicalisme

Drapeau du syndicalisme libertaire. L'anarcho-syndicalisme, anarchosyndicalisme, syndicalisme libertaire ou syndicalisme anarchiste est un syndicalisme basé sur les principes de fonctionnement de l'anarchisme. L'anarcho-syndicalisme peut être compris comme synonyme de anarcho-communisme, de socialisme libertaire, de communisme libertaire, ou de l'anarchisme socialiste.

Il est parfois confondu avec le syndicalisme révolutionnaire. Contexte et apparition du terme[modifier | modifier le code] Le syndicalisme révolutionnaire est apparu vers la fin du XIXe siècle, marquant certaines des pages essentielles de l'histoire du mouvement ouvrier. Or, le terme même d'« anarcho-syndicalisme » n'apparaît qu'au Congrès, fondateur, de Saint-Étienne de la CGTU, en 1922, lorsque celle-ci discute de son adhésion à l'Internationale syndicale rouge (ISR) [2].

L'anarcho-syndicalisme dans l'entre-deux-guerres[modifier | modifier le code] Barcelone 19 juillet 1936. Reprise individuelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Reprise individuelle

Fondements idéologiques[modifier | modifier le code] En 1840, l’anarchiste français Pierre-Joseph Proudhon écrit Qu’est-ce que la propriété ? , question à laquelle il répond par la formule devenue célèbre : « la propriété c'est le vol ». Ainsi, Proudhon considère que la propriété privée ne peut résulter que du travail individuel et que toute autre richesse est volée. Cette vision de l’économie est en ligne avec l’idée de propagande par le fait du Russe Mikhaïl Bakounine, lequel considère la violence physique contre les adversaires politiques comme un moyen d’inspirer les masses.

Une frange marginale de l’anarchisme individualiste européen en tire le concept de reprise individuelle comme un moyen de mettre fin à ce qu’ils considèrent comme le vol des travailleurs par les capitalistes, les politiciens et l’Église. Voir aussi[modifier | modifier le code] Propagande par le fait. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Propagande par le fait

La « propagande par le fait », à ne pas confondre avec l'action directe, est une stratégie d'action politique développée par les anarchistes à la fin du XIXe siècle en association à la propagande écrite et verbale. Elle proclame le « fait insurrectionnel » « moyen de propagande le plus efficace »[1] et vise à sortir du « terrain légal » pour passer d'une « période d’affirmation » à une « période d’action », de « révolte permanente », la « seule voie menant à la révolution »[2]. Les actions de propagande par le fait utilisent des moyens très divers dans l'espoir de provoquer une prise de conscience populaire[3]. Paul Reclus (anarchiste) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paul Reclus (anarchiste)

Ne doit pas être confondu avec son oncle, Paul Reclus, né en 1847. Pour les articles homonymes, voir Reclus. Paul Reclus, né le 25 mai 1858 à Neuilly-sur-Seine (Seine) et mort le 19 janvier 1941 à Montpellier (Hérault) est un ingénieur et professeur[1], militant anarchiste partisan du communisme libertaire[2]. Fils d'Élie Reclus, les premières années de sa vie se passent dans la Famille Reclus. En 1877, il rentre à Paris poursuivre ses études. Propagandiste anarchiste, partisan de la reprise individuelle et de la propagande par le fait, il justifie ainsi sa position : « Dans notre société actuelle, le vol et le travail ne sont pas d’essence différente.

En 1894, après le vote des Lois scélérates, il est inculpé dans le Procès des Trente[6]. Il fuit la France et se réfugie à Londres où il vit un temps dans une communauté libertaire[4].