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PRESSION SOCIALE

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Pression sociale et maternité - Etre une bonne mère, mère idéale. La femme au centre des priorités. Kirsten Stähler, médecin-cheffe du service de gynécologie et responsable de la clinique de gynécologie et obstétrique du Centre hospitalier Bienne, se réjouit que l’hôpital ait mis un accent particulier sur le domaine phare «Femme et enfant».

La femme au centre des priorités

La clinique de gynécologie et obstétrique offre l’éventail complet des prestations de ces deux spécialisations. On y soigne des femmes de tout âge. La première préoccupation de Kirsten Stähler et de toute l’équipe de la clinique, c’est de mettre la femme au centre des priorités. Ce sont les souhaits et les besoins des patientes qui déterminent leur prise en charge individuelle.

Laisser le temps de se préparer à un accouchement naturel Mille enfants viennent au monde chaque année au Centre hospitalier Bienne. Kirsten Stähler constate qu’il y a «très peu de femmes qui réclament d’emblée un césarienne». En cas de besoin, un anesthésiste est à disposition 24/24 h. Opérations et conseils personnalisés Hôpital ami des bébés. Le baby-blues des mères après l'adoption  La dépression postnatale est-elle un phénomène d'ordre biologique lié à l'orage hormonal qui suit la grossesse ou un événement psychologique dû au grand chambardement que représente l'arrivée d'un enfant dans la vie d'une femme?

Le baby-blues des mères après l'adoption 

Une étude publiée récemment dans la revue américaine Western Journal of Nursing Research et menée par le Dr Karen Foli vient de montrer que les mères qui viennent d'adopter ne sont pas pour autant exemptes de ce baby-blues. Cette dépression est d'autant plus mal vécue qu'elle se substitue à un moment que la société idéalise: devenir mère est considéré comme un accomplissement et mal le vivre est suspect. «Or il n'est pas simple de devenir maman, que ce soit une adoption ou non, explique le Dr Lola Fourcade, psychiatre, chef de clinique à l'hôpital Paul Brousse à Villejuif et responsable de l'unité mère-bébé. En fonction du bébé qu'elle a été, des interactions qu'elle a eues avec sa propre mère, la maman se trouve déstabilisée avec une naissance.» OpenLoge sur Twitter : "Le dernier article d'OpenLoge : rétablir la confiance avec les nouvelles technologies. Michel fuselier ن sur Twitter : "La France, 2e pays européen en termes de pression fiscale et sociale. à quand une inversion ?

Polyvalence-mp sur Twitter : "ILLU #childfree Est-il impossible de concevoir que tout le monde n’ait pas un désir d’enfant ? LA PRESSION SOCIALE. J’ai moins de 30 ans et je ressens déjà la pression sociale de la maternité.

LA PRESSION SOCIALE

Depuis ma plus tendre enfance je dis que je n’aurai pas d’enfant. J’aime les enfants et ils me le rendent bien, le problème n’est pas là. Je suis un peu comme la « tata sympa » ou la « grande soeur » pour eux. Mais moi Maman ? C’est non. C’est un sujet de discussion qui revient régulièrement et je n’ai jamais caché mon choix. Quiconque connait ma personnalité, ma vision de la vie et mes ambitions pour l’avenir devrait être en mesure de comprendre que la maternité ne me correspond pas. On me donne toujours en exemple « Machine » qui tenait le même discours que moi et qui a finalement eu 3 enfants. Je vois dans le regard de certaines personnes proches une réelle tristesse face à mon choix. . « Oui mais tu es égoïste là ? « Oui mais l’amour, la transmission ?

Est-il impossible de concevoir que tout le monde n’ait pas un désir d’enfant ? Ecdsf Illustration par S.L. Julie Bhosale, jeune maman, montre l'évolution de son ventre post-partum (après accouchement) - L'Express Styles. "Je suis une mère.

Julie Bhosale, jeune maman, montre l'évolution de son ventre post-partum (après accouchement) - L'Express Styles

Je suis fatiguée, et j'ai mal partout. J'ai des marques, des bourrelets. (...) Vous aussi êtes mère. Et vous aussi vivez dans un monde qui nous juge sur notre apparence, pas sur ce que l'on ressent, sur qui on est, ou sur ce qu'on a sacrifié -et qu'on sacrifie encore. " Julie Bhosale est nutritionniste en Nouvelle-Zélande. "Je me suis battue pour avoir [notre second enfant], écrit-elle. Julie Bhosale a rejoint la démarche #takebackpostpartum ("reprenons le post-partum").

"Nos corps changent... beaucoup" Pour Julie Bhosale, rejoindre ce mouvement à l'aide d'un blog était logique, personnellement et professionnellement: "Nous vivons dans une société qui nous présente tous les jours des images de femmes qui se sont remis de leur grossesse très vite. Elle a donc chroniqué l'évolution de son corps et de ses sentiments, de 24 heures après la naissance à plus de 14 semaines.