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Le textile au Bangladesh

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Le quotidien des petites mains du Bangladesh. The garment industry is one of the largest industrial sectors in Bangladesh.

Le quotidien des petites mains du Bangladesh

It accounts for a good portion of the country’s exports and employs more than three million workers. Most of them are women. “Workers toil from dawn to dusk on minimum wage,” said Taslima Akhter, a Bangladeshi photographer who has spent more than four years capturing the workers’ movement for “The Life and Struggle of Garment Workers.” Dans l'enfer d'une ville-usine. When we are celebrating 400 years of Dhaka City, River Buriganga is fighting to survive.

Dans l'enfer d'une ville-usine

Today, it is nearly dead, can’t run on its natural way. It seems that people of Dhaka are killing the river for their insensitivity. In Dhaka, people are growing day by day. Working places and various factories are booming constantly. Buriganga River is the one of the most popular way to communicate with another part of the country. Tannery chemical, Mans wastage of whole Dhaka City and Industrial Wastage chemicals directly go down in Buriganga River. This 41 km long river once blessed us with hope and dream to build a new city. As a photographer, I see my role in my engagement with own city. Le scandale du cuir au Bangladesh. Visite guidée de la ville du cuir. Situé à la périphérie de Dhaka, la capitale du Bangladesh, Hazaribag est un bidonville géant où vivent et travaillent plus d'un million de personnes, forçats des tanneries bangladaises.

Visite guidée de la ville du cuir

Recensé parmi les trente sites les plus pollués de la planète, l'air, la terre et l'eau y sont gangrenés et regorgent de substances toxiques comme le chrome hexavalent, le mercure ou encore le cyanure. La survie de ces hommes, femmes et enfants est menacée mais aussi dépendante de la consommation compulsive de l'Occident et de l'Asie. Suivi d'un débat avec : Révolution de l'aiguille au Bangladesh. Bicyclettes téméraires, camions chargés de ballots à l’équilibre incertain, bus débordant de passagers, motos chevauchées par des familles entières : de jour comme de nuit, la seule route reliant Dacca au nord du pays ne désemplit pas.

Révolution de l'aiguille au Bangladesh

De part et d’autre de la chaussée cabossée, femmes et jeunes filles longent la nationale 3, leur pas régulier et résigné évoquant une procession religieuse. Les files se brisent pour s’enfoncer dans les terrains vagues au milieu desquels se dressent, telles des fourmilières géantes, les usines de confection. Chaque matin, trois millions de personnes prennent la route des quatre mille établissements de la ceinture industrielle de la capitale. Plus des trois quarts d’entre elles sont des femmes : piqueuses, tailleuses, couturières, manutentionnaires… D’un faible coût, le travail des ouvrières du Bangladesh aiguise l’appétit des grandes enseignes de la distribution et des marques de textile occidentales.

Taille de l’article complet : 2 278 mots. Les ouvriers tentent de s'organiser en syndicats. Un important mouvement de grève contre les bas salaires a été réprimé dans le sang le 12 décembre.

Les ouvriers tentent de s'organiser en syndicats

Pour ne pas faire fuir les investisseurs étrangers, le gouvernement fait aussi la chasse aux syndicalistes. Le 14 décembre 2010, un incendie a ravagé un atelier de confection de vêtements à Dacca, la capitale du pays, tuant au moins 29 personnes et en blessant jusqu’à 200 autres. Le feu s’est propagé dans une usine du groupe Hameen qui exporte du prêt-à-porter pour des marques occidentales.

Le drame a ébranlé une fragile trêve conclue quelques heures plus tôt, sous les auspices du gouvernement, entre les ouvriers du textile et leurs employeurs, après la mort d’au moins quatre personnes au cours de violentes manifestations suscitées par l’instauration d’une nouvelle grille des salaires. Abdul Kader, l’un des rescapés de l’incendie, nous assure avoir vu entre cinquante et soixante collègues se jeter du dixième étage pour échapper aux flammes, “les issues de secours étant fermées”.

Www.manufacturebd.com/images/state_of_cotton_and_textile_industry_in_bangladesh.pdf. Le géant du textile américain mis en cause. This picture and another of Faded Glory clothes after the fire were provided to The Nation by the International Labor Rights Forum.

Le géant du textile américain mis en cause

Two days after Saturday's fire at a Bangladeshi garment factory that killed at least 112 people, Walmart was neither confirming nor denying that the factory was one of its contractors, saying that it just wasn't sure whether Tazreen Fashions, Ltd. made Walmart clothes. But pictures taken after the fire showing clothes from Walmart's Faded Glory label appear to settle that question.