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Racisme systémique police française

Y'a t-il un racisme systémique dans la police française?

Gilets Jaunes. Sur 378 enquêtes menées par l'IGPN, seulement 2 ont débouché sur des propositions de sanctions - Issues.fr. L’émission Envoyé Spécial a interrogé la directrice de l’IGPN, Brigitte Jullien, sur les enquêtes menées suite à des plaintes contre des policiers dans le cadre des manifestations gilets jaunes.

Gilets Jaunes. Sur 378 enquêtes menées par l'IGPN, seulement 2 ont débouché sur des propositions de sanctions - Issues.fr

A la question de savoir combien de policiers ont été sanctionnés suite à des enquêtes de l’IGPN, Brigitte Jullien a semblé gênée en révélant que les enquêteurs ont proposé des sanctions que pour deux fonctionnaires de police en 1 an et demi de travail sur le mouvement gilet jaune. “Pour l’instant, on a deux dossiers.

Deux dossiers de proposition de sanction sur les enquêtes administratives que nous avons faites. […] Sur 378 enquêtes menées sur le mouvement des gilets jaunes”. Cette vidéo confirme l’inefficacité de l’IGPN face à la multiplication des affaires de violence qui touchent la police. "Damien Abad : "Il n’y a pas de racisme systémique, institutionnalisé et organisé" dans la police. Plusieurs manifestations sont prévues samedi en France contre les violences policières, notamment à Paris, Marseille, Montpellier et Bordeaux, dans le sillage du mouvement qui a embrasé les Etats-Unis après la mort de George Floyd.

"Damien Abad : "Il n’y a pas de racisme systémique, institutionnalisé et organisé" dans la police

Dans le même temps, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a annoncé vendredi soir avoir saisi la justice, après la mise au jour par Streetpress d’un groupe Facebook dans lequel de très nombreux policiers se seraient échangés des messages à caractère racistes et sexistes. "Il n’y a pas de racisme systémique, institutionnalisé et organisée en France", a voulu commenter samedi, au micro d’Europe 1, Damien Abad, le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale. "Des violences systémiques" et un "racisme structurel" au sein de la police, dénonce un collectif. Le Défenseur des droits dénonce un cas de "discrimination systémique" par la police à Paris. Une situation de "harcèlement discriminatoire".

Le Défenseur des droits dénonce un cas de "discrimination systémique" par la police à Paris

[En couverture] Aux origines de la haine des flics. L'affaire tombe à point nommé pour les détecteurs de “violences policières”, mobilisés ces derniers jours contre la proposition de loi relative à la “sécurité globale”.

[En couverture] Aux origines de la haine des flics

Le 21 novembre, Michel Zecler, un producteur de rap, est violemment passé à tabac lors d'un contrôle de police, sous les caméras indignées des riverains du XVIIe arrondissement parisien. Nassira El Moaddem en est alors sûre : plutôt qu'un comportement honteux et isolé, discréditant l'ensemble d'une profession stigmatisée, la journaliste flaire l'invisible, « un lynchage raciste filmé qui montre un système qui protège des forces de l'ordre barbares ».

Sous pression, la Place Beauvau serre les rangs : « Lorsqu'il y a des comportements inadmissibles, il faut les condamner, mais ne jamais laisser penser que l'institution est gangrenée », défend un conseiller. « Pas de racisme systémique dans la police » : le RN premier supporter des syndicats policiers. Crédits photo : France info Interrogé par France info au sujet des contrôles au faciès sur France Info », Jordan Bardella a affirmé que ceux-ci n’existeraient pas : « Je pense qu’il n’y a pas de racisme systémique dans la police et que nos forces de l’ordre ne se lèvent pas le matin en se demandant s’ils vont contrôler quelqu’un en fonction de sa couleur de peau […] si vous avez une attitude vestimentaire qui peut paraitre agressive vindicative, et bien vous subirez un contrôle peut importe votre couleur de peau. ».

« Pas de racisme systémique dans la police » : le RN premier supporter des syndicats policiers

Et lorsque les journalistes lui demandent si c’est cette soi-disant « attitude dangereuse » qui explique le fait qu’une personne noire et arabe a cinq fois plus de chance d’être victime d’un contrôle de police selon les statistiques du défenseur des droits en 2017, sans grande surprise Bardella esquive bien évidemment les chiffres préférant se concentrer sur le récit romancé de sa propre expérience en Seine Saint-Denis ou sur le travail éreintante des policiers. (13) Est-il vrai que les policiers et gendarmes votent à 75 % pour l'extrême droite, comme le dit Mélenchon ?

Question posée par Rob le 08/06/2020 Bonjour, Voici votre question, que nous avons raccourcie : «Est-il vrai que les policiers votent à 75 % pour l’extrême droite ?

(13) Est-il vrai que les policiers et gendarmes votent à 75 % pour l'extrême droite, comme le dit Mélenchon ?

C’est ce qu’affirme Jean-Luc Mélenchon dans le commentaire d’un article de France Info où un ancien directeur de police indique que la police serait représentative de la population.» Dans une interview à France Info, l’ancien directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard, devenu vice-président (LR) du conseil régional d’Ile-de-France, déclare : «Je ne les comprends pas [les manifestations contre les violences policières].

J’ai été plus de 30 ans policier. «"L’exact reflet de la société française"… 75 % de vote Front National…» répond en commentaire de la publication le compte «Jean-Luc Mélenchon (Compte officiel personnel)», qui appartient au député de La France insoumise, mais ne serait pas géré que par lui. Entre 40 % et 55 % de vote à l’extrême droite Jusqu’à 67 % chez les policiers actifs. Accusations de racisme contre la police : la France après l'Amérique ? - 28 minutes - ARTE. "Violences policières" et "police raciste"... "Violences policières" et "police raciste" : des termes que le gouvernement refuse en bloc.

"Violences policières" et "police raciste"...

A tort parce que ces locutions recouvrent plusieurs réalités. Le gouvernement ne peut effectivement pas accepter l’idée que la police serait intrinsèquement violente, au-delà bien sûr de la fameuse violence légitime dont l’Etat serait dépositaire, selon Max Weber. Ce serait valider la théorie selon laquelle la police ne serait que le bras armé d’un système de domination. Il en va de même pour l’idée selon laquelle la police serait, là encore, par nature, raciste. Racisme d’État en France ? Le cas de la police. Fabrice Dhume, Xavier Dunezat, Camille Gourdeau, Aude Rabaud, Du racisme d’État en France ?

Racisme d’État en France ? Le cas de la police

, Ed. Le Bord de l’Eau, 2020, 196 p., 20 euros. Racisme dans la police française : l'institution contrainte de se réformer ? Publié le : 08/06/2020 - 18:46 Les dérives racistes qui gangrènent la police américaine, mises en lumière par l’affaire George Floyd, trouvent un écho sur le sol français.

Racisme dans la police française : l'institution contrainte de se réformer ?

Accusée de racisme, la police française doit-elle être réformée ? La question est envisagée au plus haut sommet de l'État. La colère gronde contre le racisme au sein de la police aux États-Unis. Elle gronde aussi en France. >>À lire : Violences policières : sous pression, Emmanuel Macron somme le gouvernement d'agir vite. Les syndicats de police nient tout 'racisme systémique' dans leurs rangs. Auditionnés par les députés, les représentants des forces de police ont serré les rangs après l'affaire du commissariat du 17e arrondissement de Paris.

Les syndicats de police nient tout 'racisme systémique' dans leurs rangs

Certains reconnaissent toutefois des failles du bout des lèvres et appellent à regarder, sans autoflagellation, le problème en face. Les forces de l'ordre doivent-elles balayer devant leurs portes ? Neuf jours après l'affaire Michel Zecler, producteur de musique roué de coups et cibles d'insultes racistes par des agents de police à Paris - quatre ont été mis en examen -, une audition tombait à pic jeudi à l'Assemblée nationale. Racisme systémique et violences policières : le déni de classe français. Racisme systémique : c'est cadeau ! Parler de racisme systémique c'est excuser l'individu raciste en lui enlevant son libre arbitre et en le faisant passer pour victime dudit système. Jacques Toubon cessera d’être ­défenseur des droits le 17 juillet, d’où son rapport en forme de testament, « Discriminations et origines : ­l’urgence d’agir ».

Largement commenté dans les médias, ce texte est en réalité une expérience de psychologie sociale. Faut-il dire « violences policières » ou « violences de policiers » ? - Le Point. (6) Aux racines du racisme systémique de la police. Tribune. On pourrait écrire tout un livre au sujet des réactions françaises générées autour du tremblement de terre #GeorgeFloyd aux Etats-Unis et des secousses globales qui suivirent, notamment le rassemblement organisé à Paris le 2 juin par le comité Vérité et Justice pour Adama Traoré. Dans une «discussion» avec l’universitaire Maboula Soumahoro sur BFM TV, le chroniqueur Eric Brunet affirmait récemment que l’idée même de racisme institutionnel serait un emprunt indu à la culture américaine.

La police française ne peut être raciste parce que la République française n’a pas d’histoire raciste. Et pourtant : nombre d’institutions françaises, notamment nées avant la révolution, portent toujours les marques des préjugés sur lesquelles elles furent fondées. C’est le cas notamment de la police, dont l’histoire – n’en déplaise à Eric Brunet – est très américaine.

Déluge d’atrocités. Le défenseur des droits dénonce un racisme systémique en France. Propos racistes de policiers : un deuxième groupe Facebook mis au jour - Le Parisien. Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement et/ou notre intérêt légitime: Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement et/ou notre intérêt légitime: Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal.