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Les vaccins anti Covid Modifient le génome humains

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VRAI OU FAKE. Vaccin contre le Covid-19 : on a passé au crible un tract du collectif Reaction19, engagé contre les mesures sanitaires. Alors que le cap des 30 millions de Français ayant reçu une première dose de vaccin contre le Covid-19 doit être franchi cette semaine, l'exécutif a décidé d'étendre l'accès aux vaccins aux mineurs de 12 à 18 ans à partir du 15 juin.

VRAI OU FAKE. Vaccin contre le Covid-19 : on a passé au crible un tract du collectif Reaction19, engagé contre les mesures sanitaires

Une nouvelle étape dans la stratégie de lutte contre l'épidémie, responsable de plus de 109 000 morts à ce jour en France, que dénoncent les mouvements opposés aux mesures sanitaires décidées par le gouvernement. Le collectif Reaction19, présidé par l'avocat Carlo Alberto Brusa, est l'un de ces mouvements contestataires. Dans un document intitulé "Bulletin thérapie génique Covid-19", ce collectif explique dénombrer 1 380 369 cas d'effets secondaires en Europe et 12 855 "décès avérés" liés à "quatre marques de thérapies géniques" contre le Covid-19. Des chiffres qui, à en croire ce tract, proviennent tout droit de l'Agence européenne des médicaments (EMA). Partagez sans cesse ! Intégration de l’ARN viral SARS-CoV-2 dans nos chromosomes - REINFOCOVID. Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.

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Politique de cookies Les accepter tousFonctionnels uniquementVoir les préférences Aller au contenu principal Sauter au contenu Et aussi … Facebook-f. Vaccins : le Figaro vous DÉSINFORME à la puissance 8 ! – Santé Corps Esprit. Qu’est-ce qu’un « cookie » ?

Vaccins : le Figaro vous DÉSINFORME à la puissance 8 ! – Santé Corps Esprit

Les « cookies » sont de petits fichiers placés sur votre disque dur par un serveur informatique lorsque vous visitez un site web. Certains cookies peuvent servir à identifier votre ordinateur chaque fois que vous vous rendez sur un site et ainsi faciliter et améliorer votre expérience en tant qu’utilisateur. Vrai ou faux : les arguments des anti-vaccins Covid-19 passés au crible. "Des personnes vaccinées meurent du Covid-19", "l'ARN messager modifie notre code génétique", "on peut transmettre le virus même en étant vacciné"...

Vrai ou faux : les arguments des anti-vaccins Covid-19 passés au crible

Les arguments des anti-vaccins contre le Covid-19 continuent de se diffuser, et le rythme de la vaccination, lui, ralentit. Mais ces arguments sont-ils fondés ? Antoine Flahault, épidémiologiste, répond aux plus répandus d'entre eux. VRAI OU FAKE. On a vérifié les affirmations des opposants aux vaccins contre le Covid-19 lors de leur manifestation à Nancy. "Liberté !

VRAI OU FAKE. On a vérifié les affirmations des opposants aux vaccins contre le Covid-19 lors de leur manifestation à Nancy

" scandent-ils. Plusieurs dizaines de manifestants sont rassemblés, samedi 3 juillet à Nancy, pour écouter les prises de parole des opposants les plus en vue aux mesures sanitaires et aux vaccins contre le Covid-19. Vaccins : le Figaro vous DÉSINFORME à la puissance 8 ! – Santé Corps Esprit. Non, les vaccins à ARN messager ne modifient pas l’ADN. Ce point de vue erroné selon lequel les vaccins à base d’ARN modifient l’ADN des patients a été évoqué à de nombreuses reprises ces derniers mois.

Non, les vaccins à ARN messager ne modifient pas l’ADN

L'affirmation a été remise sur le tapis à la mi-janvier par la généticienne française Alexandra Henrion-Caude dans une entrevue d’une heure accordée à la webtélé d'extrême droite TV Libertés. Divers extraits de cette entrevue ont été vus plus d’un million de fois, et l’un d’entre eux avait accumulé plus de 600 000 visionnements sur Facebook avant d’être supprimé la fin de semaine dernière Ancienne directrice de recherche de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), Mme Henrion-Caude a pris des positions aux accents complotistes (Nouvelle fenêtre) en ce qui concerne la COVID-19 depuis le début de la pandémie, selon le quotidien français Midi Libre.

VRAI OU FAKE. Vaccin contre le Covid-19 : la prix Nobel Emmanuelle Charpentier a-t-elle dit que l'ARN a pour but de modifier l'ADN ? C'est le dernier argument à la mode chez les détracteurs des vaccins contre le Covid-19.

VRAI OU FAKE. Vaccin contre le Covid-19 : la prix Nobel Emmanuelle Charpentier a-t-elle dit que l'ARN a pour but de modifier l'ADN ?

La généticienne et prix Nobel de chimie 2020 Emmanuelle Charpentier aurait affirmé lors d'une conférence que "l'ARN a pour but de modifier le génome humain". Or, les vaccins mis au point par les laboratoires Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent justement l'ARN. Pour celles et ceux qui suspectent ces produits de pouvoir transformer notre ADN, les propos de l'éminente chercheuse française prouvent que leurs craintes sont fondées. Alors, vrai ou "fake news" ? Séisme dans la biologie : il serait possible d'agir sur l'ADN avec l'ARN…

Séisme dans la biologie : il serait possible d'agir sur l'ADN avec l'ARN… Décidément, en biologie, les dogmes les plus solides et les plus établis se fissurent les uns après les autres : il était admis jusqu’à présent que l’ADN pouvait influer sur l’ARN mais pas l’inverse.

Séisme dans la biologie : il serait possible d'agir sur l'ADN avec l'ARN…

Mais voilà que des chercheurs américains de l’Université Thomas Jefferson, à Philadelphie en Pennsylvanie, affirment que les segments d'ARN peuvent être, dans certaines conditions, réécrits dans l'ADN. « Ce travail ouvre la porte à de nombreuses autres études qui nous aideront à comprendre l'importance d'avoir un mécanisme pour convertir les messages d'ARN en ADN dans nos propres cellules », s’est réjoui Richard Pomerantz, professeur agrégé de biochimie et de biologie moléculaire à l'Université Thomas Jefferson et auteur principal de l’étude. Mais jusqu'à lors, on pensait que les polymérases ne fonctionnaient que dans un seul sens de l'ADN en ADN ou ARN, empêchant les messages d'ARN d'être réécrits dans l’ADN. Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? Sorry, this entry is only available in French.

Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ?

Cette photo représente le coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la maladie COVID-19 observé en gros plan à la surface d’une cellule épithéliale respiratoire humaine. Sa double membrane et sa couronne de glycoprotéines sont bien visibles. Crédits : M.Rosa-Calatrava/O.Terrier/A.Pizzorno/E.Errazuriz-cerda. Non, avec le vaccin à ARNm, le virus ne va pas s'intégrer dans le génome et modifier votre ADN - Paris (75000) D'abord, rappelons que le principe général des vaccins est toujours le même : sous une forme ou sous une autre, présenter un microbe à notre système immunitaire, afin qu'il apprenne à le reconnaître et à fabriquer des anticorps pour le neutraliser.

Non, avec le vaccin à ARNm, le virus ne va pas s'intégrer dans le génome et modifier votre ADN - Paris (75000)

La technologie des vaccins à ARNm utilisée par Pfizer et Moderna, elle, est différente : l'idée est, ici, d'injecter un message extrait du matériel génétique du virus, que nos cellules se chargeront de traduire pour produire une ou plusieurs protéines virales, lesquelles seront reconnues par notre système immunitaire. « Questions légitimes » Pour le Pr Alain Fischer, titulaire de la chaire de Médecine expérimentale au Collège de France et membre du comité Vaccin Covid-19, « il est légitime que les gens se posent ce type de question (NDLR, celle des des conséquences sur le génome et l'ADN). Il faut considérer cette vraie question et y répondre. » Interview du Pr Rudolf Jaenisch sur sa découverte sur la convertion de l'ARN en ADN. Du Sars-CoV-2 dans nos gènes ? C’est l’effrayante possibilité avancée par une étude du MIT américain, publiée le 6 mai 2021 dans le journal PNAS par le chercheur Rudolf Jaenisch, un expert en génétique et épigénétique très respecté dans son domaine.

Cette recherche a mis en évidence des anomalies génétiques lors du séquençage du virus chez des personnes infectées : des hybrides où l'ARN du virus se mélange avec le matériel génétique humain, que les scientifiques qualifient de "chimères". L'équipe de Jaenisch arrive donc à la conclusion que des bouts de l’ARN du virus pourraient s’insérer dans le génome de ces personnes (créant lesdites chimères), ce qui pourrait être à l’origine des formes longues du Covid-19. Lire "interview du professeur Jaenisch" sans s'abonner. Futura Santé.