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Chapitre III

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Andrew Wakefield. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Andrew Wakefield

Andrew Wakefield en 2019. Andrew Wakefield (né en 1957) est un ancien chirurgien britannique et chercheur médical connu pour ses prétentions frauduleuses[1] d'une relation de cause à effet entre le vaccin rougeole-oreillons-rubéoles (vaccin ROR) et ce qu'il a appelé « l'entérocolite autistique » (autistic enterocolitis), terme de son invention. L'idée d'un lien entre le ROR et la prétendue entérocolite autistique a été forgée par Wakefield pour décrire une forme de maladie inflammatoire des intestins, dont l'existence n'a jamais été prouvée[2]. De nombreuses recherches épidémiologiques ont démontré une absence de lien entre les vaccins et l'autisme, un consensus général dans la communauté scientifique et la fraude scientifique avérée de la part de Wakefield[3],[4],[5].

Le grand public resterait divisé sur la question selon un documentaire de 2008[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code] "Plutôt mourir que m'injecter cette saloperie !" : sur Facebook, les "antivax" à l'affût contre un futur vaccin anti-Covid. La panacée pour beaucoup, une menace pour certains.

"Plutôt mourir que m'injecter cette saloperie !" : sur Facebook, les "antivax" à l'affût contre un futur vaccin anti-Covid

Alors que le développement d'un vaccin est considéré comme un enjeu majeur dans la lutte contre la pandémie de Covid-19, de nombreux Français sont réticents à l'idée de se faire inoculer le futur sérum. Parmi eux, un noyau dur s'oppose franchement à sa distribution, diffusant des théories volontiers complotistes sur les réseaux sociaux. Ceux que nous avons interrogé en sont convaincus : le vaccin sera inutile voire nocif, mais ne manquera pas d'être imposé à la population pour servir les intérêts d'une poignée de puissants. Mais ces résistants en herbe se disent prêts à tout pour éviter de se faire injecter la substance. "Le vaccin est prêt depuis longtemps" Certains vont au-delà de la simple méfiance. Pourquoi une telle défiance ? Pire, le futur vaccin s'intégrerait en fait dans un vaste complot, à en croire nos interlocuteurs. "Ma santé n'a pas de prix ! " Ce que l’on sait de la sûreté des vaccins à ARN messager.

Le 9 novembre, l’alliance germano-américaine Pfizer-BioNTech était la première à annoncer les résultats de son candidat-vaccin, efficace, selon elle, à 90 % à l’issue des essais cliniques de la phase 3.

Ce que l’on sait de la sûreté des vaccins à ARN messager

Sept jours plus tard, le laboratoire américain Moderna annonçait une efficacité de 94,5 % pour le sien. Le point commun entre ces deux projets ? Ils utilisent tous deux une technique vaccinale nouvelle, à ARN messager (ARNm). Si ces annonces n’ont pas surpris le petit monde des spécialistes de cette molécule, l’irruption médiatique très soudaine de cette technique vaccinale peu connue dans le débat public n’a pas manqué de soulever de nombreuses interrogations, souvent légitimes et qui ont largement dépassé les publics sceptiques sur les vaccins. Comment fonctionnent ces vaccins ? Lors de l’injection du vaccin, un brin d’ARNm spécifique est transporté jusque dans les cellules du muscle deltoïde de l’épaule.

Lire le décryptage : Comment fonctionnent les futurs vaccins Gary Dagorn. Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? Sorry, this entry is only available in French.

Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ?

Cette photo représente le coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la maladie COVID-19 observé en gros plan à la surface d’une cellule épithéliale respiratoire humaine. Sa double membrane et sa couronne de glycoprotéines sont bien visibles. Crédits : M.Rosa-Calatrava/O.Terrier/A.Pizzorno/E.Errazuriz-cerda Au mois de novembre, les laboratoires Pfizer/BioNTech et Moderna ont été les premiers à annoncer les résultats préliminaires d’efficacité de leur candidat vaccin contre la Covid-19, apportant une lueur d’espoir un an après le début de la pandémie.

Les résultats intermédiaires de l’essai de phase III mis en place par Pfizer/BioNTech ont depuis été publiés dans une revue scientifique relue par les pairs, le New England Journal of Medicine. Toutefois, la technologie sur laquelle reposent ces nouveaux vaccins, dits « vaccins à acides nucléides », suscite de nombreuses questions et des craintes au sein de la population. ADN ARNwin.exe. La transcription et la traduction des protéines. Le génome, comment ça marche ? YouTube.