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Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ?

Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ?

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Ce que l’on sait de la sûreté des vaccins à ARN messager Le 9 novembre, l’alliance germano-américaine Pfizer-BioNTech était la première à annoncer les résultats de son candidat-vaccin, efficace, selon elle, à 90 % à l’issue des essais cliniques de la phase 3. Sept jours plus tard, le laboratoire américain Moderna annonçait une efficacité de 94,5 % pour le sien. Le point commun entre ces deux projets ? Si ces annonces n’ont pas surpris le petit monde des spécialistes de cette molécule, l’irruption médiatique très soudaine de cette technique vaccinale peu connue dans le débat public n’a pas manqué de soulever de nombreuses interrogations, souvent légitimes et qui ont largement dépassé les publics sceptiques sur les vaccins. Comment fonctionnent ces vaccins ? Ces vaccins contiennent de l’ARN messager, une molécule présente chez tous les êtres vivants et dont la structure est quasi identique à l’ADN qui contient l’information génétique dans le noyau de la cellule des êtres humains. Les vaccins à ARNm peuvent-ils modifier l’ADN de nos cellules ?

Vaccins anti-Covid-19 : le vrai et le faux des effets secondaires Préparés dans un délai record de neuf mois et développés avec des technologies nouvelles, les vaccins contre le nouveau coronavirus font craindre des effets secondaires à court et long terme. Les vaccins peuvent-ils modifier notre génome ? Contiennent-ils des adjuvants dangereux ? Provoquent-ils des maladies graves ? Avons-nous le recul suffisant pour en juger ? Les vaccins anti-Covid ont été mis au point en un temps record, du jamais-vu dans l'histoire de la médecine. Les vaccins à ARN induisent une modification du génome Faux. « La technologie ARN messager ne permet pas la transcription d'un message génétique, confirme dans La Montagne l'immunologiste Cecil Czerkinsky. Les vaccins contiennent des adjuvants dangereux Vrai et faux. Parmi les 13 vaccins en cours de phase III, environ la moitié recourt à un adjuvant tel que les sels d'aluminium, l'inuline ou le squalène. Les effets secondaires des vaccins sont fréquents Vrai, mais ça dépend lesquels. Vrai, mais ils sont très rares.

ARN messager : l'épopée d'un vaccin contre le Covid-19 Un mois après l’annonce de la mise au point de deux vaccins contre le SARS-CoV-2, les plans de vaccination se mettent en place au pas de course à travers le monde. Il s’agit de prodiguer dans les plus brefs délais ces vaccins et d’endiguer l’épidémie de CoVid- 19 qui dure depuis un an. Ces vaccins de BioNTech-Pfizer et de Moderna annoncés en fanfare début novembre, reposent sur une technologie jusqu’alors inédite en matière de stratégie vaccinale : l’acide ribonucléique messager, ou pour faire plus court l’ARN messager. Cette méthode qui n’avait jamais passé la phase 1 des essais cliniques dans la lutte contre d’autres pathologies s’avère cette fois efficace dans le cas du SARS-CoV-2. ARN messager : l’épopée d’un vaccin, c’est le programme épique pour l’heure qui vient, bienvenue dans la Méthode scientifique. ARN messager : les bases documentaires Retrouvez le thread de cette émission sur le fil Twitter de La Méthode scientifique. Comment fonctionne un vaccin à ARN ?

: Attention à cette vidéo virale du médecin Robert Malone sur la vaccination des enfants | Imaz Press Réunion : l'actualité de la Réunion en photos Dans une vidéo extrêmement virale, le médecin américain Robert Malone avance une série d’arguments contre la vaccination des enfants contre le Covid-19. Il soutient notamment que les injections à ARN messager pourraient "endommager le système reproducteur", "réinitialiser génétiquement le système immunitaire" ou encore qu’il faudrait "cinq ans" pour connaître les risques liés à cette technologie. Attention : ces affirmations sont fausses, trompeuses ou manquent de contexte, expliquent des scientifiques interrogés par l’AFP. Faut-il vacciner les enfants contre le Covid-19? En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) s'est prononcée le 20 décembre en faveur de la vaccination - non obligatoire - des 5-11 ans, qui n'est à ce stade possible que pour les enfants jugés "à risque" de cette classe d'âge ou ayant des proches vulnérables. Capture d'écran prise sur Twitter le 21/12/2021 Capture d'écran prise le 20/12/2021 sur Facebook Capture d'écran prise sur Twitter le 20/12/2021

Le vaccin contre le Covid-19 va-t-il nous sauver rapidement de l’épidémie ? "Plutôt mourir que m'injecter cette saloperie !" : sur Facebook, les "antivax" à l'affût contre un futur vaccin anti-Covid La panacée pour beaucoup, une menace pour certains. Alors que le développement d'un vaccin est considéré comme un enjeu majeur dans la lutte contre la pandémie de Covid-19, de nombreux Français sont réticents à l'idée de se faire inoculer le futur sérum. Parmi eux, un noyau dur s'oppose franchement à sa distribution, diffusant des théories volontiers complotistes sur les réseaux sociaux. Ceux que nous avons interrogé en sont convaincus : le vaccin sera inutile voire nocif, mais ne manquera pas d'être imposé à la population pour servir les intérêts d'une poignée de puissants. Mais ces résistants en herbe se disent prêts à tout pour éviter de se faire injecter la substance. "Le vaccin est prêt depuis longtemps" Certains vont au-delà de la simple méfiance. Pourquoi une telle défiance ? Pire, le futur vaccin s'intégrerait en fait dans un vaste complot, à en croire nos interlocuteurs. "Ma santé n'a pas de prix !" Cette animosité contre les vaccins n'est pas nouvelle en France.

Qu'est-ce qu'il y a exactement dans le vaccin anti-Covid ? Comme sur un paquet de céréales, on peut avoir librement accès à la liste des ingrédients contenus dans le vaccin de Pfizer‑BioNTech, validé par la Food and Drug Administration (FDA). Comme elle n'est pas forcément compréhensible par tout un chacun, nous avons décrypté ce à quoi servent ces différentes substances. Le vaccin contre le coronavirus contiendrait une micropuce destinée à nous espionner, des nanoparticules toxiques ou de dangereux adjuvants nocifs à la santé. Ces rumeurs infondées sont régulièrement reprises sur les réseaux sociaux et alimentent la méfiance envers les vaccins. Principe actif ARNm L'ARN messager est une copie temporaire d'un fragment d'ADN de la protéine de pointe S du virus. Lipides ALC-0315 = bis(2-hexyldécanoate) de ((4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyle)ALC-0159 = 2-[(polyéthylèneglycol)-2000]-N,Nditétradécylacétamide1,2- distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholineCholestérol Sels Autres SaccharoseEau pour injection Mais alors, quid des effets secondaires ?

Comment fonctionne un vaccin à ARN ? Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Covid-19 : Pfizer annonce que son vaccin est efficace à 90 % Pfizer et BioNTech viennent d'annoncer les derniers résultats concernant l'efficacité de leur vaccin contre le... Les vaccins sont des produits pharmaceutiques qui ont pour but de stimuler le système immunitairesystème immunitaire pour qu'il cible spécifiquement et élimine un pathogènepathogène. Quand on se penche sur le contenu de la seringue, on s'aperçoit que les moyens de parvenir à ce but sont divers. On peut classer les vaccins en deux grandes familles : ceux qui contiennent des agents infectieux et ceux qui n'en contiennent pas. Les premiers sont les vaccins historiques, celui de Pasteur et celui de Jenner. L'histoire de la vaccination en 7 dates Les vaccins sans aucun agent infectieux sont apparus avec le développement du génie génétique et de la biologie moléculairebiologie moléculaire. Covid-19 : Pfizer annonce que son vaccin est efficace à 90 % Mascola JR, Fauci AS.

Robert Malone Robert Wallace Malone est un biologiste moléculaire, épidémiologiste, spécialiste des maladies infectieuses. Il a travaillé sur l’ARN messager, et découvert que celui-ci peut pénétrer des cellules humaines et les conduire à produire des protéines, une découverte liée au développement ultérieur des vaccins à ARN. Biographie[modifier | modifier le code] Robert Malone étudie la médecine à l'université Northwestern au sein de laquelle il obtient un doctorat de médecine. L'ARN n'a cependant alors pas d'usage médical. Réalisant que cette découverte pourrait avoir un potentiel de grande envergure en médecine, Malone, alors étudiant diplômé du Salk Institute for Biological Studies à La Jolla, en Californie, prit quelques notes datées et signées pour consigner sa découverte : « Si les cellules pouvaient créer des protéines à partir de l'ARNm qui leur était délivré », écrivait-il le 11 janvier 1988, « il serait peut-être possible de traiter l'ARN comme un médicament ». Fabrice Delaye (préf.

COVID-19 : un projet vaccin lentiviral par voie intra-nasale assure une protection importante chez l’animal Des chercheurs du laboratoire commun Pasteur – TheraVectys ont pré-publié sur BioRxiv les résultats d’essais menés chez l’animal d’un vaccin contre la COVID-19, utilisant un vecteur lentiviral et administrable par voie intra nasale. Cette étude montre que le candidat vaccin induit une production d’anticorps très élevée, ainsi qu’une réponse cellulaire abondante et réduit d’une façon drastique la charge virale dans les poumons. Ces travaux prouvent qu’un vaccin contre le SARS-CoV-2 efficace doit permettre d’amener la protection vaccinale dans les voies respiratoires supérieures, à la porte d’entrée du virus. « Un vaccin contre le coronavirus efficace est celui qui permet d’amener la protection vaccinale à la porte d’entrée du virus, à savoir les voies respiratoires. Les anticorps neutralisants présents dans le sang ne participent finalement que d’une façon marginale à la protection. Source 1 Institut Pasteur-TheraVectys Joint Lab, 28 rue du Dr. 5 Innovation Lab, Vaccines, Institut Pasteur

Andrew Wakefield Andrew Wakefield en 2019, lors de la présentation de son film Vaxxed. Biographie[modifier | modifier le code] Wakefield est né en 1956. Après son diplôme Andrew Wakefield commence à pratiquer la chirurgie et s'intéresse aux maladies inflammatoires des intestins. Wakefield devient membre du Royal College of Surgeons en 1985[3]. Après être tombé en disgrâce dans le milieu de la recherche, Andrew Wakefield devient « un militant antivaccins qui a une influence internationale », attirant et gardant le soutien d'une partie conséquente de personnalités de ce mouvement, comme Jim Carrey et Jenny McCarthy[4]. L'étude frauduleuse dans The Lancet[modifier | modifier le code] Andrew Wakefield affirme avoir établi une relation de cause à effet entre le vaccin rougeole-oreillons-rubéoles (vaccin ROR) et ce qu'il appelle « l'entérocolite autistique ». Quatre ans après cette publication princeps, les résultats d'autres chercheurs ne confirment ni ne reproduisent ceux de Wakefield[6].

aucune étude ne prouve que le vaccin Pfizer contient du graphène C'est une nouvelle fake news qui a fait son apparition il y a quelques jours sur les réseaux sociaux. Selon des internautes opposés à la vaccination contre le Covid-19, qui assurent s'appuyer sur une "étude" scientifique, le vaccin de Pfizer/BioNTech contiendrait de l'oxyde de graphène, jusqu'à 99% selon certains adeptes de cette idée. C'est évidemment faux. À l'origine de cette théorie en France, un utilisateur de Twitter qui a déclaré le 6 juillet dernier que des chercheurs espagnols avaient identifié un produit "inconnu" dans une fiole de vaccin Pfizer. Aux États-Unis, la fake news a également été diffusée, notamment à cause d'une certaine Jane Ruby. Un simple rapport non validé par la communauté scientifique Les adeptes de cette théorie se basent sur un rapport mis en ligne fin juin rédigé par un seul chercheur, Pablo Campra, professeur à l'université d'Almería, en Espagne. Oui mais voilà : rien ne prouve que la première substance analysée est effectivement le vaccin de Pfizer.

Quel vaccin contre le Covid-19 ? 180 candidats-vaccins contre le Covid-19 sont en cours de développement et plus de 40 sont en phase clinique chez l'homme - dont les vaccins des sociétés Pfizer, Moderna ou encore Astra Zeneca. Comment ces vaccins fonctionnent-ils ? Quand saura-t-on s’ils sont vraiment efficaces ? CNRS le Journal a mené l’enquête. Alors que l’épidémie de Covid-19 semble partie pour durer, et à défaut de traitement efficace, la mise au point d’un vaccin pour protéger la population mondiale apparaît comme la meilleure option à ce jour. Ce n’est pas le virus en tant que tel qui déclenche la réponse immunitaire, mais une protéine qui se trouve à sa surface, la protéine Spike, en forme de pique. L’idée du vaccin est évidemment d’inoculer le pathogène sous une forme totalement inoffensive, qui ne risque pas de déclencher la maladie contre laquelle il prétend nous défendre. La protéine Spike (en rouge) située à la surface du coronavirus provoque la réaction anticorps. Juan Gaertner/Science Photo Library

L'ARN messager, une technologie détournée à des fins de dopage ? L’ARN messager synthétique, nouvelle star mondiale dans l’ère du Covid-19, pourrait-il devenir le prochain filon des athlètes dopés ? L’ARN messager naturel, présent dans toutes nos cellules, a été découvert dans les années 1960 en France et sa version synthétique, produite in vitro, est sortie de l’ombre avec la mise sur le marché du vaccin contre le coronavirus. "L'ARN messager est une photocopie d'un gène", vulgarise Steve Pascolo, immunologiste, chercheur à l’Hôpital universitaire de Zurich et l’un des précurseurs dans la technologie de l’ARN messager synthétique. Son fonctionnement est simple : lorsqu’un individu reçoit de l’ARN messager, son corps réceptionne un message lui demandant de produire telle ou telle protéine. Du point de vue scientifique, l'ARNm fait partie intégrante du bon fonctionnement cellulaire. Comme toute avancée médicale, tout ce qui sert la médecine peut finir par servir le dopage. "C'est comme injecter dans le corps l'usine qui va fabriquer l'EPO.

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