Imprimante 3D : Un plâtre révolutionnaire conçu par un étudiant. L’imprimante 3D conçue pour les plâtres a besoin de trois étapes.
Lors de la première étape, le membre fracturé du patient est scanné. Grâce à la 3D, les médecins obtiennent ensuite des vues numériques précises des muscles. La machine prend enfin le relais et conçoit un plâtre sur mesure, il correspond donc à la morphologie de la personne et cible la blessure. Ainsi, lorsqu’il est « imprimé », le plâtre dispose d’un renfort placé à l’endroit de la fracture. Cette invention est signée Jake Evill. Un délai de fabrication un peu long Ceux qui ont déjà souffert d’une fracture connaissent tous les inconvénients des plâtres notamment lorsqu’il fait chaud. Les avantages de Cortex. VIDEO - Un aigle hérite d'un nouveau bec grâce à une imprimante 3D â metronews. Une super-oeille bionique imprimée en 3D. Depuis quelques mois maintenant, les imprimantes 3D ne cessent d'imprimer des choses toujours plus étonnantes.
Prothèse, nourriture, voiture, pièce détachée, etc, rien ne semble leur résister. Le corps humain pose cela dit encore une certain problème mais des chercheurs sont parvenus à "imprimer" une super-oreille bionique. C’est à l’Université de Princeton que l’on peut trouver l’équipe de scientifiques à l’origine de cet exploit. Il ne s’agissait pas ici de concevoir un organe de remplacement pour les sourds et malentendants mais bel et bien de doter un homme en pleine santé d’une ouïe digne de celle de Superman. Pour ce faire, l’équipe de chercheurs de Michael McAlpine a imprimé en 3D des cellules et autres nanoparticules qu’ils ont ensuite combinées à une petite antenne en spirale entourée de cartilage. Une prothèse imprimée en 3D sauve un enfant. Bien que la récente notoriété des imprimantes 3D soit en partie due à leur capacité à imprimer des pièces d’armes à feu, il s’avère que ces nouvelles machines sont capables, non pas seulement de blesser nos congénères, mais aussi de les aider à vivre.
En effet, des docteurs de l’Université du Michigan ont sauvé la vie d’un bébé de deux mois en installant dans sa trachée, une prothèse imprimée en 3D. Un an après l’opération, le petit Kaiba Gionfriddo se porte bien. Souffrant d’une tracheo-bronchomalacie qui empêchait l’oxygène d’atteindre ses poumons, Kaiba endurait des crises cardiaques régulières. Des cellules humaines imprimées en 3D, c'est fait. The Radicalness Of 3D Printing. Way back in February of 2011, I wrote an extensive article for H+ on 3D printing and how it would allow a transition between an economy based on material “value” and scarcity to one based on nonmaterial “value” and abundance.
Also, in a later article, I expanded on why this is inevitable and wrote, “it should be obvious that 3d printers allow for goods to behave as if they were nonmaterial. All you need is a single item and you can make an infinite number of copies.” Basically, once 3d printing is refined to a point in the not very distant future to where it can manufacture almost any arbitrary product, the value of that product will reside in the computer file, not the actual physical object. Une imprimante pour réaliser des pansements sur mesure. Quelle que soit la partie du corps blessé, nous utilisons la plupart du temps des pansements standards pour couvrir les plaies.
De cette uniformité est né un concept particulier : celui d’une imprimante permettant d’imprimer des bandes personnalisées. Intitulé Band-Aid Printer, le concept tente de résoudre les soucis d’inconfort en matière de pansement. L’imprimante est donc née de l’idée de concevoir différents types de bandes adhésives qui pourraient s’adapter à toutes les parties du corps. Le dispositif repose sur l’impression 3D pour créer autant de sorte de bandage que de blessure et où qu’elle se situe. Simple mais efficace, l’imprimante offre également la possibilité de régler sa teinte de manière à ce que le pansement adopte complètement la couleur de la peau de son utilisateur. Concept qui a gagné un prix Red Dot Award, Band-Aid Printer est l’œuvre des designers Han Like, Liu Peng, Ren Mingjun, Wei Chenjie et Yang Xiao.
Anthony Atala: Printing a human kidney. Euronews hi-tech - Imprimer en trois dimensions. Le Skin Gun aide à soigner les brûlures. The Skin Gun. The 'chemputer' that could print out any drug. Professor Lee Cronin is a likably impatient presence, a one-man catalyst.
"I just want to get stuff done fast," he says. And: "I am a control freak in rehab. " Cronin, 39, is the leader of a world-class team of 45 researchers at Glasgow University, primarily making complex molecules. Le Skin Gun aide à soigner les brûlures. Une imprimante 3D fabrique un exosquelette qui rend l’usage de ses bras à une fillette.
Future of Work: Custom Printed Bodies and the End of the 9-to-5 Job. Need blue skin, four arms, or a tail?
