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Parentalité

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Nos enfants sont le reflet de ce que nous acceptons en nous et de ce que nous n’acceptons pas de nous. Nos émotions disproportionnées parlent toujours de nous, pas de nos enfants Dans son livre Grosses colères et petits drames, Florence Renaux rappelle que les défauts que nous voyons chez nos enfants nous agacent parce qu’ils renvoient ce que nous ne supportons pas chez nous.

Nos enfants sont le reflet de ce que nous acceptons en nous et de ce que nous n’acceptons pas de nous.

Par exemple, un père exaspéré par son fils qu’il qualifie de “fainéant et lent” peut être touché parce que lui même ne s’autorise pas à prendre le temps de ne rien faire. Il semble que ce que ce père reproche à son fils est une part de lui-même qu’il aimerait changer, qui le fait souffrir. Le père s’épuise à courir partout, à faire toujours plus de choses toujours plus vite.

Il ne s’autorise pas ce que son fils s’autorise (aller à son rythme, se reposer, être inactif, prendre le temps de vivre) par peur d’être traité de fainéant, d’incompétent, de ne plus exister aux yeux des autres et de ne plus être aimé. Votre enfant, qui vous énerve dans son attitude, agit comme vous le feriez si vous vous laissiez aller. NON : quand un enfant refuse de faire quelque chose. Dans son livre À moi !

NON : quand un enfant refuse de faire quelque chose

Lorsque l’ego paraît : pour une égologie pratique, Valérie Vayer insiste sur l’importance de respecter d’abord le refus d’un enfant pour comprendre ce qui se passe : que signifie ce refus pour lui ? Peut-être n’a-t-il simplement pas envie ou que ce n’est pas le bon moment pour lui ? Que ses goûts ont changé ? Que la situation réactive un mauvais souvenir ou une peur ? La fatigue Le moment de la journée va influencer le niveau de coopération de l’enfant. Quand on a l'impression d'être un "mauvais" parent : 4 pistes pour soigner son image de parent. Dans leur livre Le Burn-out parental : l’éviter et s’en sortir, Moïra Mikolajcak et Isabelle Roskam estiment qu’un des plus grands dénominateurs communs entre les parents qui souffrent d’un épuisement parental est d’avoir une image de soi négative en tant que parent.

Quand on a l'impression d'être un "mauvais" parent : 4 pistes pour soigner son image de parent

Elles définissent l’image de soi comme “des idées, des pensées et des croyances que nous avons à propos de ce qu’un bon parent doit ou ne doit pas faire avec ses enfants, des sentiments qu’un parent doit ressentir envers ses enfants et de la manière dont il doit pouvoir les exprimer”. Le problème des parents en burn out est qu’ils ont développé des pensées et des croyances négatives à propos d’eux-mêmes.

D’après Moïra Mikolajcak et Isabelle Roskam, ces parents se considèrent comme des mauvais parents, inaptes à assumer leur rôle et n’étant pas à la hauteur des responsabilités qui sont les leurs. 1. Les expériences passées 2. 3. 4. Style parental. Le style parental est un concept de la psychologie qui désigne les conduites ou groupes de conduites que les parents utilisent pour élever leur enfant et qui influencent les résultats de l'enfant.

Style parental

Plusieurs théories et beaucoup d'opinions ont été avancées sur les meilleurs moyens d'élever des enfants. Les théories sont influencées par les contextes historiques et culturels ainsi que par les idéologies sur l'enfance. Succédant aux écrits de John Locke en au Royaume-Uni, qui prône l'éducation et la discipline raisonnée, et de Jean-Jacques Rousseau qui au contraire condamne l'intervention excessive des adultes dans la vie enfantine, nombre de philosophes, puis éducateurs, médecins psychiatres, psychologues ou journalistes-écrivains ont publié leurs opinions sur les conduites parentales qu'ils pensaient optimales pour le développement de l'enfant. Des questionnaires et méthodes d'observations systématiques ont été développés pour évaluer les styles parentaux. Statue de John Locke (Londres). Être un parent acceptable…

« L’éducation n’a pas d’autre but que de faire d’un petit enfant un adolescent heureux.

Être un parent acceptable…

Ce n’est pas d’en faire un enfant bien élevé, un enfant sage, un enfant instruit, un enfant qui fasse honneur à ses parents, un enfant qui acquière les traditions de sa caste ou de sa classe – tout cela est secondaire. Si c’est nécessaire pour que l’enfant soit heureux, bien ; si c’est inutile pour que l’enfant soit heureux, inutile ; et si cela doit compromettre le bonheur de l’enfant puis de l’adolescent puis de l’adulte, alors non. Puissent les parents être animés seulement par ce seul but : je veux faire un petit être heureux et un adulte heureux. Il ne s’agit pas bien sûr de s’occuper de l’enfant du matin au soir ni de satisfaire tous ses caprices. Plus l’enfant apprend peu à peu la non-dépendance, plus il sera heureux. » Extrait du chapitre « De l’Education » dans Un Grain de sagesse, d’Arnaud Desjardins*, Editions de La Table Ronde.

Illustration : Promenade au parc de Raphaëlle Jouffroy. Soyez des parents imparfaits. 3 types de perfectionnistes #1.

Soyez des parents imparfaits

J’ai longtemps cru que ma mission de grand frère (aîné de 3 frères et une soeur) était de les protéger, de faire leurs devoirs quand ils n’y arrivaient pas, d’aller faire peur à ceux qui les martyrisaient avec mon physique imposant ou encore de les conseiller. C’était gentil et généreux de ma part, mais c’était une erreur. #2. Ma mère savait très bien anticiper les sujets qui allaient créer des disputes entre mes frères et mon père - et pour tout vous dire, on est tous assez sanguin dans la famille. . #3. Ces trois histoires couvrent l’ensemble des types de perfectionnistes : Ces trois types de perfectionnistes sont évoqués par Tal Ben-Shahar, le professeur de Harvard qui donne le cours le plus suivi de l’histoire de l’université : un cours sur le bonheur et la pensée positive. Parent hélicoptère.

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Parent hélicoptère

Illustration de parents hélicoptère. À la suite des attentats du 11 septembre 2001, plusieurs enfants seraient plus enclins à profiter du moment présent, étant anxieux de ne pas voir le lendemain[2]. Les parents contemporains préfèrent être bienveillants, plutôt que fermes[2]. Ils sont soumis à des changements (technologie et mode, par exemple) de plus en plus rapides, mais sont incapables d'établir un modèle de comportement[2]. Étant dans la même situation que leurs enfants, ils cherchent des répères, y compris chez leurs enfants[2]. La culpabilité dans la parentalité. Je suis toujours étonnée de lire des commentaires sur les réseaux sociaux de parents qui parlent de “culpabilité” dès qu’on évoque la parentalité bientraitante et les effets nocifs des violences éducatives ordinaires (fessée, punitions, récompenses, coin, chantage…).

La culpabilité dans la parentalité

Que faire d’un enfant qui culpabilise ses parents ? Question posée par Renée.

Que faire d’un enfant qui culpabilise ses parents ?

La résolution que tout parent devrait adopter : prendre le temps. Home > Famille > LA RÉSOLUTION QUE TOUT PARENT DEVRAIT ADOPTER CETTE ANNÉE: PRENDRE LE TEMPS… Par Nancy Doyon le 27 janvier 2016 Peut-être avez-vous lu mon article sur les 10 résolutions du Parent Gros Bon Sens?

La résolution que tout parent devrait adopter : prendre le temps

Je vous propose encore une autre résolution qui devrait primer sur toutes les autres : Prendre le temps… Le temps d’écouter davantage: Laisser parfois mes grands discours de côté et écouter, vraiment, ce que mon enfant a à me dire, m’intéresser à son opinion, à ses loisirs, à ses amis, chercher à mieux le connaître plutôt qu’à lui enseigner constamment ma vision des choses. 8 raisons pour lesquelles les parents devraient jouer avec leurs enfants.

En parlant de rendre les enfants actifs, tout le monde a certainement entendu des gens dire, « les enfants n’ont qu’à sortir jouer » bonne idée, mais nous savons pertinemment que ça ne fonctionne pas et Richard Monette de chez Actif pour la vie a déterminé quelques raisons qui expliquent pourquoi. Mais il y a une autre attitude qui me dérange tout particulièrement. Ces dernières années, j’ai entendu certaines personnes dire, « les parents ne devraient pas avoir à jouer avec leurs enfants. » J’ai entendu cette remarque un bon nombre de fois, et elle est toujours dite d’un ton réprobateur, comme si jouer avec ses enfants était mauvais. Vraiment? Les auteurs de ces remarques ont l’air de penser que jouer avec ses enfants revient à dire qu’on les couve. N’importe quoi. Si nous parlons d’enfants âgés de 3 à 10 ans, il y a de bonnes raisons qui font que vous devriez allègrement jouer avec eux. 1.

Si vous demeurez à un endroit où aucun enfant de l’âge du vôtre ne réside, qu’attendez-vous de lui? 20 façons d'améliorer la communication avec vos enfants. - Trouvez du temps chaque semaine pour une activité seul à seul avec chaque enfant et évitez de prévoir une autre activité pendant ce temps. - Apprenez quels sont les intérêts de vos enfants, par exemples leur musique préférée et leurs activités, et montrez un intérêt.

Avoir des enfants

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