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Guerre

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« Entre les hommes il n’existe que deux relations : la logique ou la guerre. Demandez toujours des preuves, la preuve est la politesse élémentaire qu’on se doit.

Si l’on refuse, souvenez-vous que vous êtes attaqué et qu’on va vous faire obéir par tous les moyens. » Paul Valéry

« L’Âge du bronze, par la voie de l’épée, déclare que la guerre est » Anne Lehoërff

« La guerre est semblable au feu, lorsqu'elle se prolonge elle met en péril ceux qui l'on provoquée. » Sun Tzu. Frontières conceptuelles entre stratégie, opérations et tactique dans l’art de la guerre.

Cahiers Herbert Rosinski III Herbert Rosinski La frontière conceptuelle entre la stratégie et la tactique possède une histoire passablement longue qui ne manque pas d’intérêt.

Frontières conceptuelles entre stratégie, opérations et tactique dans l’art de la guerre

Au cours du XVIIIe siècle, la plus haute conception de la guerre se matérialisait par des mouvements élémentaires de forces sur le champ de bataille qu’on appelait d’un seul et même terme : la tactique. Dans cet ordre d’idées, encore en 1770, Guibert intitulait sa fameuse étude sur l’art de la guerre Essai général de tactique et Berenhorst, encore plus tard, en 1803, écrivit sur "la structure bien établie et parfaitement assimilée qu’on appelle tactique". Cependant, ce ne fut que vers la fin de la seconde moitié de ce siècle que les études sur l’art de la guerre se développèrent de plus en plus, et le besoin de posséder un nouveau terme se fit sentir pour différencier les aspects essentiels de la guerre, le commandement des forces et la conduite des campagnes, de la disposition des forces sur le champ de bataille.

» Pourquoi la guerre entre Etats n’entraîne-t-elle pas de facto le chaos et l’anarchie? Carl Schmitt. Dans l’article précédent, je me demandais pourquoi l’état de nature entre les Etats n’est pas comme l’état de nature entre les individus, un état invivable contraignant les hommes à en sortir en instituant les conditions juridico-politiques d’un dépassement de la guerre.

» Pourquoi la guerre entre Etats n’entraîne-t-elle pas de facto le chaos et l’anarchie? Carl Schmitt.

Si tel était le cas, on pourrait en effet espérer une solution au problème de la guerre. Car il est vain d’en fonder la possibilité sur la capacité morale des hommes. Ce n’est pas celle-ci qui détermine massivement leur conduite, pas davantage la conscience de leur intérêt bien compris. Mais il est permis de croire que la nécessité vitale peut obtenir d’eux des miracles. Voilà pourquoi, Kant considérait que s’il doit y avoir une solution à la guerre, celle-ci ne pourra qu’être extorquée par la détresse dans laquelle une guerre particulièrement dévastatrice plongera l’humanité entière. Les analyses de Carl Schmitt sur ce point m’ont paru très éclairantes.

«Le Jus publicum europaeum c) L'ordre spatial global Partager : Diplomatie. Grandes guerres.

Terrorisme

Armes biologiques. Soldats augmentés. War. Gérard Chaliand. Gérard Chaliand, né le 15 février 1934 à Etterbeek, région de Bruxelles-Capitale[1], est un géostratège et homme de lettres français.

Gérard Chaliand

Il est spécialiste des relations internationales et stratégiques, des conflits armés et surtout des conflits irréguliers (guérilla, terrorisme). Biographie[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Gérard Chaliand est diplômé de l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO) et soutient en 1975 une thèse de doctorat de 3e cycle en sociologie politique sur les Révolutions dans le Tiers-monde : mythes et perspectives à l'université Paris-Descartes (Paris V) sous la direction de Maxime Rodinson[2]. Aux côtés des guérillas[modifier | modifier le code] Gérard Chaliand prend position dès 1954, après un voyage en Algérie en novembre 1952[1], en faveur de l’indépendance du pays[1]. Un analyste[modifier | modifier le code] Les armes non létales sont-elles létales… et vice versa ? Voici le sifflet le plus puissant du monde.

Livres

Podcasts. Mémoire de paix pour temps de guerre [Dominique De Villepin] Raymond Aorn sur son livre "La société industrielle et la guerre"