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Valse Avec Bachir (2008) (352p 25fps H264 128kbit AAC) La Nakba, « catastrophe » en arabe, un concept forgé il y a 70 ans. Le concept de Nakba (« catastrophe » en arabe), qui désigne le déplacement forcé de 700 000 Palestiniens à la création de l’Etat d’Israël en 1948, n’a pas été forgé par un habitant de Jaffa ou de Haïfa, expulsé de son domicile par les paramilitaires sionistes.

La Nakba, « catastrophe » en arabe, un concept forgé il y a 70 ans

Lumni - La guerre du Kippour. Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ...

Lumni - La guerre du Kippour

Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Services visant à afficher du contenu web. Services visant à afficher du contenu web. L’ONU et les Palestiniens : de l’ambiguïté à l’impuissance. Comprendre les origines de la guerre à Gaza en 5 minutes - vidéo dailymotion. Les sunnites d’Irak, au cœur des crises depuis 2003 : l’analyse par les cartes. Même si une grande partie de la communauté sunnite était également opprimée par la dictature baasiste, la minorité sunnite dominante est considérée dans son ensemble comme l’ennemi des États-Unis, dans le contexte de la « guerre contre la terreur ».

Les sunnites d’Irak, au cœur des crises depuis 2003 : l’analyse par les cartes

Exclus de la transition, en opposition au régime autoritaire de l’ancien Premier ministre Nouri Al-Maliki, les sunnites sont désormais confrontés à l’expansion brutale de l’organisation armée État islamique dans leurs provinces. Bien qu’il offre une revanche aux sunnites et l’espoir de dépasser le cadre national en rétablissant le califat, son idéologie et ses méthodes divisent la communauté sunnite irakienne.

Carte 1 : Répartition des communautés ethniques et religieuses de l’Irak. Les sunnites d’Irak, au cœur des crises depuis 2003 : l’analyse par les cartes. Le grand jeu (périlleux) de Benyamin Netanyahu au Moyen-Orient. Une véritable course.

Le grand jeu (périlleux) de Benyamin Netanyahu au Moyen-Orient

Dès l'annonce d'un accord de normalisation entre Israël et les Emirats Arabes Unis (E.A.U.) jeudi dernier en fin d'après-midi, les grandes chaînes de télévision israéliennes se sont lancé un défi : avoir le premier envoyé spécial dans le pays. Pour la petite histoire, Doron Herman est le premier arrivé à Dubaï pour la chaîne 13 avant d'être rejoint par nombre de confrères et consœurs israéliens. Après l'accord historique avec les Émirats, notre reporter est sur place à Dubaï : un tweet de la chaîne d'information 13 News. Dès lors, les médias israéliens ont abreuvé le public de reportages sur le petit Etat richissime : ses gratte-ciels exubérants, ses centres commerciaux gigantesques et ses hôtels de luxe, ses 50 degrés dehors et sa piste de ski couverte à -2 degrés, sa petite communauté juive visiblement à l'aise dans ce pays majoritairement musulman...

Sans oublier les promesses économiques d'un tel accord entre high-tech, agriculture et tourisme. Le géographe palestinien Khalil Tafakji arrêté puis relâché par la police israélienne. Le 8 juillet, le géographe palestinien Khalil Tafakji, qui cartographie depuis trente ans la colonisation des Territoires occupés, a été arrêté par la police israélienne.

Le géographe palestinien Khalil Tafakji arrêté puis relâché par la police israélienne

Il a été relâché, mais ses documents et ordinateurs ont été saisis. Les éditions La Découverte, qui éditent Khalil Tafakji en France, ont lancé l'alerte ce 8 juillet. Le géographe palestinien, qui cartographie depuis trente ans la colonisation des Territoires occupés - c'est le sujet de son livre paru en janvier 2020, 31° Nord, 35° Est - Chroniques géographiques de la colonisation israélienne, écrit avec la journaliste Stéphanie Maupas - a été arrêté à Jérusalem par la police israélienne. Celle-ci a “confisqué ses ordinateurs et abîmé ses documents de travail en pénétrant dans ses bureaux au département de cartographie de la Société d’études arabes qu’il dirige”, font savoir les éditions La Découverte dans un communiqué. Israël-Emirats arabes unis : un accord et un abandon. Editorial du « Monde ».

Israël-Emirats arabes unis : un accord et un abandon

L’accord historique, annoncé le 13 août, par Israël et les Emirats arabes unis, qui doit mener à une normalisation de leurs relations, à l’ouverture d’ambassades et de liaisons aériennes directes, a suscité un soulagement trompeur. Premier rapprochement israélo-arabe depuis le traité de paix signé par l’Etat hébreu avec la Jordanie, en 1994, il s’accompagne d’un abandon provisoire du plan d’annexion d’une partie de la Cisjordanie qu’agitait le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Rapprochement historique entre Israël et les Emirats arabes unis Grâce à cette « feuille de route », les Emirats affirment avoir écarté une telle menace, qui aurait enterré la possibilité d’une solution à deux Etats.

Guerre et Paix au Proche-Orient : nouvelles donnes. Monsieur Elie Barnavi introduit son exposé en dressant d’emblée un tableau fort sombre de la situation au Proche-Orient, laissant à penser que cette région du monde est bien au fond du gouffre.

Guerre et Paix au Proche-Orient : nouvelles donnes

Seules perspectives positives : l’administration Obama, le projet d’Union pour la Méditerranée et l’initiative saoudienne de 2002.Il propose en ouverture de son propos une approche intéressante tendant à démystifier l’idée que le conflit israélo-palestinien polarise tous les conflits de la zone. Certes, le conflit pèse lourdement sur la stabilité de la scène internationale, il est extrêmement complexe et met en jeu de nombreux acteurs.

L'article à lire pour comprendre le projet d'annexion d'une partie de la Cisjordanie par Israël. Ce projet prévoit l'annexion des colonies juives en Cisjordanie, de la vallée du Jourdain et la création d'un Etat palestinien sur un territoire réduit.

L'article à lire pour comprendre le projet d'annexion d'une partie de la Cisjordanie par Israël

Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, doit préciser sa stratégie d'application à partir de ce mercredi. Jean-Pierre Filiu - Netanyahou : le mauvais génie d’Israël ? Les Experts du Dessous des cartes. Le plan de paix de Trump au Proche-Orient, alignement sans précédent sur les exigences d’Israël. Les applaudissements et les vivats n’ont cessé de crépiter, mardi 28 janvier, dans l’East Room de la Maison Blanche, où Donald Trump présentait sa « vision » pour une « paix » israélo-palestinienne, au côté du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou.

Le plan de paix de Trump au Proche-Orient, alignement sans précédent sur les exigences d’Israël

Un plan « gagnant-gagnant », a-t-il assuré. Le silence ne s’est fait que lorsque le président des Etats-Unis a précisé qu’il devait faire « beaucoup pour les Palestiniens, ou ce serait injuste », après avoir énuméré tous les gestes accomplis à l’égard d’Israël depuis son arrivée à la Maison Blanche. L’asymétrie est pourtant éclatante. Le bénéfice de ce plan est immédiat pour Israël.

Plan Trump. Janvier 2020. L’ONU et les Palestiniens : de l’ambiguïté à l’impuissance. Comprendre les origines de la guerre à Gaza en 5 minutes - vidéo dailymotion. Il y a 10 ans : l’initiative de paix de la Ligue des Etats arabes (mars 2002) Des négociations sur fond de vives tensions La difficulté à mettre en œuvre les accords d’Oslo (Oslo 1 et Oslo II) et l’échec de la rencontre tripartite entre le président américain Clinton, le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat et le Premier ministre israélien Ehoud Barak en juillet 2000 à Camp David, aux Etats-Unis, alimentent l’impression que les perspectives du processus de paix sont définitivement oubliées.

Il y a 10 ans : l’initiative de paix de la Ligue des Etats arabes (mars 2002)

L’espoir suscité par ce processus de paix est dorénavant remplacé par la frustration. La majorité des Palestiniens ne constate aucune forme de retrait israélien, ni de base d’un futur Etat palestinien indépendant alors que la politique israélienne de colonisation se poursuit. L’Autorité palestinienne est également critiquée, étant considérée comme impuissante et corrompue. Proche-Orient et Afrique du Nord, une zone inflammable Si les accords d’Oslo, en 1993, avaient soulevé des grands espérances tant en Palestine qu’en Israël, leur échec a plongé les deux peuples dans une spirale sanglante. Cette faillite tient à de nombreuses causes, mais avant tout à la poursuite de la colonisation. par Isabelle Avran & Philippe Rekacewicz Négociée à Oslo et signée à Washington le 13 septembre 1993, la « Déclaration de principes sur les arrangements intérimaires d’"auto-gouvernement” » constitue le premier accord entre Israël et l’Organisation de libération de la Palestine.

Elle a pour objectif l’« échange des territoires contre la paix » et – implicitement – la création d’un Etat palestinien, sur la base des résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité des Nations unies. Un territoire morcelé Taille de l’article complet : 842 mots. Isabelle Avran & Philippe Rekacewicz Auteure de : Israël Palestine. Intifada (1987-1991) Contexte historique A la suite de la guerre des six jours de 1967, Israël occupe la Cisjordanie et la Bande de Gaza. Ces deux territoires ne sont plus sous la tutelle arabe et se trouvent sous le contrôle israélien. Conférence de Camp David. Après un moment d’embarras, l’initiative de Sadate est saluée par la diplomatie américaine, et le président Carter décide d’accompagner l’Egypte et Israël dans leur volonté de paix.

Mais cette paix ne se fait pas sans heurts, car le Premier ministre israélien Menahem Begin bute sur la question de la reconnaissance des droits des Palestiniens. Il faut toute la persuasion du président Carter pour faire aboutir la paix israélo-égyptienne. Histoire des relations entre l’Egypte et Israël, la « paix froide » (2/2) : Le long chemin vers la paix sous Sadate et Moubarak (1970-2011) Sous la présidence de Sadate (1970-1981) Anouar al-Sadate arrive au pouvoir en septembre 1970. Contrairement à son prédécesseur Nasser, il estime que des négociations avec Israël sont envisageables.

Il semblerait cependant qu’avant sa mort, Nasser lui-même ait accepté le plan Rogers, premier pas vers la réconciliation, qui promettait le retrait des territoires, la paix et la sécurité, après des discussions entre les Etats-Unis, l’URSS, la France et la Grande-Bretagne.En 1971, Sadate propose un traité de paix partielle pour un retrait israélien partiel du Sinaï, ce qui permettrait au Canal de Suez de rouvrir. Devant le refus de Tel Aviv, Sadate réalise qu’il manque de crédibilité aux yeux de l’Etat hébreu, et décide donc de rechercher le patronage américain. Guerre du Kippour (6 octobre-16 octobre 1973)

Ces mouvements sont considérés comme des exercices par les autorités israéliennes, qui ne peuvent envisager une opération arabe contre eux, compte tenu de la supériorité des forces israéliennes. Lumni - La guerre du Kippour. Les acteurs de la politique palestinienne. Présentation des autres entités politiques palestiniennes concurrentes du Fatah et du Hamas L’OLP (mouvement) Histoire du Fatah. Organisation de Libération de la Palestine (OLP) Entretien avec Henry Laurens sur le troisième affrontement israélo-arabe. Sylvain Cypel. — La guerre de 1967 aurait-elle pu être évitée ? Lumni - La guerre des Six Jours. Parti baas - Les clés du MO. La création et l’idéologie du parti. Un Egyptien nommé Nasser, par Alain Gresh (Le Monde diplomatique, juin 2014)

Crise de Suez de 1956. La Nakba, « catastrophe » en arabe, un concept forgé il y a 70 ans. La Nakba, la "grande catastrophe" du peuple palestinien. Une "grande marche du retour" exige chaque année le droit au retour des réfugiés palestiniens. La Nakba, la "grande catastrophe" du peuple palestinien. Premier conflit israélo-arabe de 1948. ISRAËL / PALESTINE : LES ORIGINES DU CONFLIT EXPLIQUÉES. Israël, 1948 : Naissance d'un État.