Global Voices collabore avec l’UNESCO autour d’un projet d’activisme numérique pour promouvoir la diversité linguistique. Débatons ! Un logiciel pour une démocratie + horzontale? - Codeurs / Développement - Framacolibri. Le CNNum veut aborder le numérique comme un fait de société et non plus un sujet technique. Un numérique en quête de sens.
Une nouvelle page du Conseil nationale numérique (CNNum) s'ouvre avec la présentation de la nouvelle mandature, nommée pour deux ans, ce jeudi 11 février 2021. Etat d’urgence technologique – comment l’économie de la surveillance tire parti de la pandémie. Olivier Tesquet nous livre une histoire particulière de la crise sanitaire provoqué par le Covid-19.
Il s’attache à montrer comment la pandémie a été l’occasion pour les partisans du tout-sécuritaire de recourir à des technologies de surveillance afin de lutter contre la propagation du virus. Son livre est une démonstration éclatante de ce qu’est le solutionnisme technologique et les dangers des dispositifs de contrôle sur nos libertés. L’auteur expose clairement le contexte dans le quel s’est développé cet état d’urgence technologique. En effet, dès l’introduction il nous rappelle que les dérives techno-sécuritaires que nous subissons depuis un an ne sortent pas de nulle part et s’inscrivent dans un héritage de plusieurs années d’état d’urgence et de mesures liberticides provoquées par la série d’attentats qui ont marqué le territoire français.
Nir Eyal (Auteur de “Hooked”) : "Blâmer la technologie nous décharge de nos responsabilités" Auteur du best seller "Hooked", Nir Eyal décryptait il y a huit ans les mécanismes d'addiction qui nous rendent accros aux services numériques.
Dans "Imperturbable", il propose désormais de s'affranchir des distractions du web. Rencontre. JDN. Vous êtes en désaccord avec ceux qui affirment que la technologie et les algorithmes ont pris le contrôle de notre vie. Pourquoi ? Nir Eyal. D'une manière générale, l'Homme a toujours eu peur de la nouveauté. Nebulx404. Démocratie 2.0 : pour ou contre l’anonymat ? « L’identification serait le meilleur moyen de tuer le débat public » Cyril Lage, cofondateur et directeur général de la start-up de civic tech Cap collectif En février, le secrétaire d’Etat chargé du numérique, Mounir Mahjoubi, a annoncé vouloir imposer le « zéro anonymat » sur les plateformes de démocratie en ligne.
A mon sens, c’est une erreur. Forcer l’identification réelle du public serait le meilleur moyen de tuer le débat public. Les pseudos garantissent l’anonymat et le respect de la vie privée, deux composantes essentielles pour limiter l’autocensure. Et l’utilisation de pseudos n’empêche pas de garantir l’unicité des participants ainsi que leur appartenance à tel groupe, entreprise ou territoire. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons lancé « Parlement et citoyens », en 2013.
. « Sans données, une consultation n’a pas de sens » Pour toute concertation numérique, il faut se demander quelles données personnelles sont nécessaires, afin de produire des résultats pertinents. Dassault Systèmes présente le « Musée de l'innovation », une expérience 3D immersive en réalité virtuelle. Dassault Systèmes a dévoilé à l'Atelier des Lumières à Paris, le « Musée de l'innovation », une expérience de réalité virtuelle scientifique et technologique où sont présentées des innovations venues du monde entier et dont la mission est de transformer la société de façon positive.
Des drones solaires autonomes à la production d'énergie durable, en passant par la production d'organes imprimés en 3D et la chirurgie virtuelle, cette nouvelle expérience 3D propose à chaque visiteur de découvrir en totale immersion des projets disruptifs dont l'objectif est de relever plusieurs défis planétaires majeurs dans les domaines de la santé, du bien-être, de l'énergie, de l'agriculture ou de la mobilité.
Imaginés en Europe, en Asie, en Inde et aux États-Unis, ces projets sont nourris par le laboratoire d’innovation ouverte 3DEXPERIENCE Lab de Dassault Systèmes et son programme d’accélération. « La majorité des algorithmes échappent à un contrôle minimal, alors que leur pouvoir potentiel sur l’exercice même de la démocratie est immense » « L’essor des technologies numériques a encouragé un renouveau de l’esprit des “communs” » Pourquoi les femmes ont-elles disparu de la tech ? Julien Cadot - il y a 16 heures - Tech Au début de l'informatique, les femmes occupaient tous les postes.
Quand les hommes se sont intéressés aux nouvelles technologies, elles ont été effacées. Numerama vous raconte cette triste histoire à la source de nombreux problèmes contemporains. À écouter les grands patrons, petites startups et autres organisateurs de conférences, la situation sonne comme une fatalité : il n’y a pas de femme dans la tech et il est donc difficile de les inviter, les recruter ou les nommer à des postes à responsabilité.
Technologies : la responsabilité suffira-t-elle ? Fin janvier, le think tank britannique DotEveryOne (@doteveryoneuk) organisait à Londres une conférence sur la responsabilité des technologies. « Aujourd’hui, trop de gens subissent des préjudices liés au manque de responsabilité des technologies », constate Catherine Miller responsable des politiques de DotEveryOne. « Nous avons besoin que la responsabilité technologique devienne la nouvelle normalité ».
Pour Rachel Coldicutt, présidente du think tank, « la technologie doit soutenir une société plus juste, plus inclusive, plus florissante et plus démocratique ». Pour cela, il faut transformer la technologie, explique-t-elle très rapidement en invitant à se connecter aux méthodes et ressources pour améliorer la responsabilité que DotEveryOne s’apprête à publier. En fait, ces méthodes n’étaient visiblement pas au programme de la journée annoncée, hélas !