Cyberattaque sur ton frigo. Le 23 décembre 2013 a été détectée la première attaque contre des objets connectés.
Des pirates ont pris le contrôle de plusieurs centaines de milliers de terminaux afin de coordonner une cyberattaque massive : PC, smartphones, consoles de jeux… et même un frigo. Pour évaluer combien de temps il nous restait avant qu’une armée de grille-pains ne prennent d’assaut l’Élysée, nous avons rencontré Ismet Géri, directeur Europe du Sud de ProofPoint, la société américaine de sécurité informatique qui a mis le doigt sur cette attaque d’un nouveau genre. Ismet Géri, de Proofpoint VICE : En quoi a consisté exactement cette cyberattaque, que vous avez découverte ? Ismet Géri : Jusqu’à présent, les attaques d’objets connectés étaient purement théoriques. J’ai lu le terme « thingsbotnet » pour désigner cette attaque, ça veut dire quoi ? Mais les objets connectés, ça sert vraiment à quelque chose où ça se résume à des tasses qui tweetent la température de votre café ? Comment on peut s’en protéger ? Catherine Bracy: Why good hackers make good citizens. Digital Lifestyle.
Graphisme & interactivité blog de design par Geoffrey Dorne. Le hacking prend (lentement) des couleurs. Chercher non pas le garçon, ça il y en a même trop, mais le Camerounais, le Tunisien, le Chinois, le Brésilien...
Le milieu du hacking, ou du moins sa face visible, reste désespérément peuplé d’Occidentaux blancs originaires d’Amérique du Nord et Europe. publicité Ce constat était flagrant lors du dernier récent grand festival, Observe, Hack, Make, qui s’est tenu aux Pays-Bas début août. Comme les JO d’hiver et d’été, il a lieu tous les quatre ans en alternance avec le Chaos Communication Camp. Mais on peut reprocher beaucoup de choses aux JO, au moins chaque pays est représenté.
Balayons vite un soupçon de racisme: la communauté du hacking est ouverte (un peu moins aux femmes...). Effectivement, la question raciale a été réglée par l’éthique hacker, un ensemble de règles tacites élaborées dans les années 1960-70, et synthétisées par le journaliste américain Steven Levy dans son ouvrage culte Hackers: Heroes of the Computer Revolution (enfin traduit en français): The Pirate Bay : le documentaire en intégralité. TPB AFK, ou plus logiquement The Pirate Bay – Away From Keyboard, est le documentaire qui se penche sur les pirates suédois.
Il est aujourd’hui visible en intégralité. Ci-desssous. The Pirate Bay – Away From Keyboard On vous avait déjà parlé du film sur The Pirate Bay, le site suédois de Torrents. A l’époque, c’était de sa bande-annonce dont il s’agissait. Résultat, TPB AFK (The Pirate Bay – Away From Keyboard) : 1 heures et 22 minutes d’images réalisées par Simon Klose et sous-titrées en anglais qui se penche aussi sur l’influence du Parti Pirate dans le paysage politique suédois.
Pour information, le film a eu droit à sa première lors de 63ème Berlinale. Une contre-histoire de l'internet : le docu à ne pas louper. Mardi 14 mai à 20h50, Arte diffusait “Une contre-histoire de l’internet” . Depuis sa diffusion, un engouement a entouré ce documentaire réalisé par Jean-Marc Manach et Julien Goetz . Et pour cause : ce reportage est à classer dans la crème de la crème des reportages sur la Toile. Vous avez sept jours pour revoir le fabuleux documentaire sur Internet diffusé sur Arte ce mardi. Donnant la parole à ceux dont on ne voit jamais les visages, “Une contre-histoire de l’internet” relate l’histoire du web et livre les ficelles d’un système qui essaie de plus en plus de contrôler les humains. Une contre-histoire de l’internet Passionnant, instructif et irrévérencieux, le pitch du doc est ainsi fait : Internet a été créé par des hippies tout en étant financé par des militaires !
La parole est donc donnée à ces “hippies”, à ces acteurs de l’ombre que sont les hackers et les pionniers du web. “Ce film n’est qu’un chapitre, à vous d’écrire la suite” On vous conseille également : Afifia B.