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Cyborg végétaux

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A cyborg arboretum. [Not a cyborg plant, but certainly technobotanical; image by NL Architects via Inhabitat] 1.

a cyborg arboretum

This post is for 50 Posts About Cyborgs. 2. This is a cyborg arboretum. That is, a collection of various plants not naturally found in geographic proximity, brought together for educational purposes, whose constituent plants happen to be cyborgs. Now, in some real and valid sense, just as we’ve been augmenting our own biological capabilities with technological adaptations for millenia, we’ve also been engaged in a massive and only semi-conscious re-shaping of the forms and functions of plants. This being a post about cyborgs, we’re here to talk about those odd cases. 3. 1 I’d show you a picture of Cyborg Plant, but it’s one of those things that’s better if you don’t see it. The simplest kind of cyborg plant is well represented by a project executed at two schools in Zurich entitled, appropriately, Cyborg Plant. Stills from the augmentation of Talking Tree, on Vimeo.

Créatures hybrides : la photosynthèse vue autrement…déclinée à la mode de la robotique. C'est un petit robot mobile métallique qui mesure, par l’intermédiaire d’un capteur, la teneur de l’air en gaz carbonique: le « Grower » alias « Translator II » de l'Américaine Sabrina Raaf trace sur les parois de la salle d’exposition une fine ligne verticale de couleur verte dont la hauteur correspond au niveau de CO2 analysé.

Créatures hybrides : la photosynthèse vue autrement…déclinée à la mode de la robotique.

Puis, il se déplace de quelques millimètres et trace une autre ligne en fonction de la nouvelle valeur recueillie. Il dessine ainsi au fur et à mesure une sorte de pelouse vue de profil qui continue de pousser pendant toute la durée de l’exposition. Selon l’artiste, ce « pré » met en abîme la relation symbiotique entre l’homme, la machine et la nature (représentée) ; pour la mettre en scène, elle se sert de la métaphore classique de la photosynthèse : sous l’effet de la lumière, les plantes vertes produisent des glucides à partir de l’eau et du gaz carbonique de l’air, en libérant de l’oxygène. Lien>> SLe site officiel de Sabrina Raaf. Inventor of Photosynthesis-Based Solar Cells Wins Millennium Tech Prize. Première symbiose entre le vivant et la nanotechnologie réussie : le cyber-robot en marche. Première symbiose entre le vivant et la nanotechnologie réussie : le cyber-robot en marche...

Première symbiose entre le vivant et la nanotechnologie réussie : le cyber-robot en marche

Une représentation d’une structure en nid d'abeille d'un feuillet de graphène. Le graphite de nos crayons est un empilement de telles structures. © Jannik Meyer Dans le cadre des recherches sur la photosynthèse artificielle, des scientifiques ont découvert une curiosité prometteuse : les propriétés inattendues d'un phototransistor constitué de graphène et de chlorophylle. Si l’on pouvait réaliser de la photosynthèse artificielle ou produire de l'hydrogène en utilisant l’énergie du Soleil avec des systèmes performants et à bas coût, cela changerait le cours de l’histoire de l’humanité, selon le scénario imaginé par Freeman Dyson dans son livre Le soleil, le génome et Internet. L’idéal serait d’arriver à construire des cellules photovoltaïques ayant un rendement comparable à celui des plantes. La chlorophylle est présente à haute concentration dans les chloroplastes des cellules végétales vivantes.

(fr) Cyborg végétaux. Un étudiant a eu l’ingénieuse idée d’imaginer un robot botanique capable de perpétuer la vie sur notre planète.

(fr) Cyborg végétaux

Dassault Systèmes s’est déjà penchée sur cette invention. Alors pourquoi pas vous ? Matthias Schmitt sait de quoi il parle : Étudiant à l’école de Design Industriel de Sèvres, il a suscité l’intérêt et la curiosité des scientifiques sur la question fondamentale de la vie, lors de l’annonce de son projet technologique… Il s’agirait en fait d’une machine-cyborg permettant de léguer aux plantes un cerveau et des jambes ! Ce projet nommé Gå.ia pourrait prendre des proportions énormes pour la préservation de notre planète. En programmant l’appareil aux végétaux, la traduction des besoins de ces derniers se fait simultanément. Ce robot botanique est équipé de capteurs hydrométriques, de chaleur, de lumière, de son, de CO² et d’un GPS. Plus la plante est rassasiée, mieux c’est, du moins pour notre environnement.