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Actualité articles La méditation et le cerveau

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La pratique de la méditation modifie le cerveau. Méditation et structure du cerveau. La méditation améliore la plasticité du cerveau. Durant le XXième siècle, les scientifiques pensaient que le cerveau arrêtait de se développer après l’adolescence.

La méditation améliore la plasticité du cerveau

Mais ils ont découvert, ou plutôt, ont enfin prouvé que la plasticité cérébrale existe – ce que les méditants expérimentés et les sages ont exprimé depuis des milliers d’années. Pour les personnes qui s’intéressent au développement de la conscience et ont une pratique de méditation, enfin, la science confirme que nous sur la bonne voie. Fini le temps où on passait pour des flyés! Qu’est-ce que la plasticité du cerveau? L’entrainement mental peut modifier le cerveau. Le cerveau est malléable et lorsque nous faisons des apprentissages, il développe de nouveaux circuits neuronaux – et cela est possible peut importe notre âge.

Point de vue de la philosophie bouddhiste Le Bouddha enseignait que si l’on veut obtenir des résultats différents de ce que l’on crée habituellement, il faut changer les conditions de base – la cause. S’améliorer et se transformer. Expérience mystique et méditation : les corrélats neurobiologiques. Capsule outil: Expérience mystique et méditation : les corrélats neurobiologiques Les états de grâce rapportés par les religieux ou les adeptes de la méditation sont pour le moins intrigants.

Expérience mystique et méditation : les corrélats neurobiologiques

Ceux qui les vivent semblent en effet avoir accès à une réalité qui échappe au commun des mortels. Or l'avènement de techniques d'enregistrement non invasives de l'activité cérébrale a ouvert la voie à une investigation scientifique à grande échelle de ces " expériences mystiques ". Cerveau : les bénéfices de la méditation chinoise. La méditation, technique millénaire, n'a pas un effet uniquement sur l'esprit mais affecte aussi son centre : le cerveau.

Cerveau : les bénéfices de la méditation chinoise

Se relaxer, c'est se déstresser. © iofoto, shutterstock.com Cerveau : les bénéfices de la méditation chinoise - 2 Photos Une étude américaine publiée cette semaine montre qu'une demi-heure de méditation chinoise active par jour peut améliorer la connectivité cérébrale. Yi-Yuan Tang et Michael Posner, des chercheurs américains spécialistes des maladies mentales, rapportent que 11 heures de pratique par mois (ou environ une demi-heure par jour) de cette technique de méditation active montrent des résultats positifs sur le cerveau, même pour les débutants. « Les changements physiques importants que nous avons notés mettent en évidence que la méditation peut, sur le court terme, améliorer le contrôle de soi, l'humeur et la réponse au stress », selon Michael Posner de l'University of Oregon. La méditation, le Crossfit du cerveau. Rapidité, puissance et résistance.

La méditation, le Crossfit du cerveau

On dirait un credo inspiré du Crossfit, l'entraînement à l'intensité quasi inhumaine. Détrompez-vous, ces qualités découlent plutôt de la méditation, exercice autrement moins brutal qui permet au cerveau d'analyser les informations plus rapidement. 1 : La méditation : ses effets sur le cerveau et le corps « Le Carrefour des Opinions.

La méditation : ses effets sur le cerveau et le corps 1re partie Par Romain Landry Introduction Le livre dont il est ici question, Surmonter les émotions destructrices ─ Un dialogue avec le Dalaï-Lama, découle d’une rencontre à Dharamsala (en Inde) entre le Dalaï-Lama et un groupe de scientifiques, occidentaux et bouddhistes.

1 : La méditation : ses effets sur le cerveau et le corps « Le Carrefour des Opinions

La version originale du livre, Destructive Emotions, est de Daniel Goleman, titulaire d’un doctorat en psychologie. La source du malheur Selon la philosophie bouddhiste, il faut chercher la source du malheur dans « trois poisons » : le désir, la colère et l’illusion. Quelles sont les racines profondes des comportements destructeurs? Le bouddhisme : une science de l’esprit Pour le Dalaï-Lama, le bouddhisme serait une science de l’esprit destinée à faire de nous de meilleurs êtres humains. La question de Daniel Goleman. 2 : La méditation : ses effets sur le cerveau et le corps(2) « Le Carrefour des Opinions. La méditation : ses effets sur le cerveau et le corps(2) 2e partie Par Romain Landry.

2 : La méditation : ses effets sur le cerveau et le corps(2) « Le Carrefour des Opinions

Images de l’activité du cerveau pendant le Yoga Nidra. Article paru dans Bindu n° 11 Par Robert Nilsson On n’avait pas imaginé qu’en méditation les adeptes pouvaient contrôler leur conscience à ce point.

Images de l’activité du cerveau pendant le Yoga Nidra

(Chercheur en neurosciences Troels Kjær, Institut Kennedy, Copenhague, Danemark) Préparation du scanner à l’hôpital universitaire d’Etat de Copenhague. Les 21 électrodes reliées à l’EEG sont en place sur la tête. Les chercheurs ont réussi pour la 1ère fois à enregistrer des images du cerveau pendant une profonde relaxation méditative avec un temps d’exposition très court d’une minute par image. Quand ils nous ont contacté, ils ont dit qu’ils voulaient mesurer le degré d'attention.

Les mesures Les sujets passaient un par un, au scanner PET. Ensuite les images furent recoupées au même format car il était important de pouvoir superposer les zones du cerveau précisément (espace de Talairach). Des images en état de veille normal, yeux fermés, ainsi que pendant 4 pratiques différentes de Yoga Nidra a été enregistrées. La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau.

Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété.

La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau

Crédits : Life Science Databases(LSDB) La méditation et le TDAH touchent des régions du cerveau qui se chevauchent. Lundi, 08 Avril 2013 10:00 Journal FORUM Les personnes qui pratiquent la méditation sont plus habiles à se concentrer sur une source d’information précise.

La méditation et le TDAH touchent des régions du cerveau qui se chevauchent

(Image: iStockphoto) Les adeptes de la méditation de pleine conscience possèderaient une plus grande épaisseur corticale dans des régions du cerveau responsables de la régulation de l'attention. Une partie de ces mêmes zones serait plus mince chez les individus souffrant d'un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'Université McGill ont établi ce rapprochement qui fait l'objet d'un article publié dans la revue Biological Psychology. «Cette recherche donne à penser qu'on aurait peut-être intérêt à procéder à des études cliniques bien contrôlées pour vérifier si des personnes aux prises avec un TDAH pourraient bénéficier des effets de la méditation. Pierre Rainville Marie Lambert-Chan À lire aussi. Meditation, que pensent les scientifiques au sujet de ses bienfaits ? La Recherche Scientifique sur la Méditation. Depuis des milliers d’années, les pratiquants connaissent les bienfaits de la méditation, et la recherche scientifique commence aujourd’hui à mettre en évidence ses effets positifs sur la physiologie humaine.

La Recherche Scientifique sur la Méditation

On a récemment découvert que le cerveau modifie de lui-même ses structures selon les sollicitations qu’il reçoit : les circuits fréquemment utilisés se consolident et se développent ; ceux qui servent peu s’étiolent et rapetissent. Cette souplesse du cerveau est appelée neuroplasticité ou plasticité cérébrale. Jusqu’à présent, la neuroplasticité avait été étudiée sur des concertistes ; on a ainsi mis en évidence que la répétition quotidienne de mouvements identiques qu’implique la pratique d’un instrument de musique entraîne une modification des structures cérébrales. Très récemment, plusieurs universités américaines ont conduit le même type de recherche sur de grands pratiquants qui avaient à leur actif quelque 40 000 heures de méditation. . — Antoine Lutz, Lawrence L.