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May 2o16

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Eurodad.org - The false EU promise of listing tax havens. Added 27/May/16 This week, European Union finance ministers agreed to establish a common EU blacklist of so-called “non-cooperative jurisdictions” – in other words, tax havens. With one tax scandal unfolding after the other, listing and sanctioning tax havens may seem like a good solution. However, as tempting as it may sound, this EU exercise is doomed to fail – and here’s why. The proposal for a common blacklist stems from the European Commission’s external strategy on tax, which was published this January.

However, tax havens are not an external matter to the EU, quite the contrary – some of the world’s most powerful tax havens are to be found in Europe. For example, a new report from Oxfam uses European Commission (EC) data to analyse the role of the Netherlands as a corporate tax haven. Only a year ago, in June 2015, the EC made an attempt to publish a list of countries considered to be uncooperative on tax matters.

Shifting the blame Secret negotiations. Interview FvG gourverneur 20160519. Interview FvG gourverneur 20160510. Déficit : Bruxelles épargne l'Espagne et le Portugal pour préserver la reprise. ICIJ Offshore Leaks Database. Deuxième attaque de hackers contre le réseau banquier international. Washington (AFP) - Des hackers ont réussi à accéder au système de messages interbancaires Swift, qui est censé être ultra-sécurisé et sert à transférer des milliards de dollars chaque jour, dans ce qui semble être une deuxième attaque de ce type, selon les médias américains. Selon une lettre que Swift -Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication- s'apprête à envoyer vendredi à ses utilisateurs, les méthodes de ces hackers présentent des similitudes avec l'attaque qui avait permis en février à des malfaiteurs de dérober 81 millions de dollars sur un compte de la Banque centrale du Bangladesh auprès de la Réserve fédérale à New York.

Cette fois-ci, les hackers ont visé une banque commerciale, dont Swift ne précise pas le nom, et ont réussi à s'en approprier les codes pour envoyer, via Swift, des messages au nom de la banque. Le FBI soupçonne que les malfaiteurs de février aient bénéficié de complicités internes, avait affirmé mardi le Wall Street Journal. The Real Target of the Panama Papers | Opinion | teleSUR English. Pepe Escobar connects the dots.

So this is the way the Panama Papers end. Not with a bang—as in “Putin hiding US$2 billion”; you all remember the original headlines. But with a whimper; everyone lining up to duly access a prosaic database and find out the names of nearly 320,000 entities/offshore companies/trusts/foundations engaged in beautifying the finances of the rich and powerful. EXCLUSIVE:Clinton Donors Caught up in New Panama Papers Scandal The Soros-financed International Consortium of Investigative Journalists (ICIJ) has not exactly fulfilled its mandate of heaping dirt on selected BRICS nations and the odd enemy of imperial interests/values—based on a NSA-style hack of Mossack Fonseca.

So what’s left is for everyone to freely peruse names and addresses of companies in 21 jurisdictions—including Hong Kong and Nevada in the U.S. John Doe justified his alleged leak by arguing that tax evasion was one of the great issues of our time, and governments must do more to prevent it. LuxLeaks : «Vous ne ferez pas fuir les multinationales en acquittant Antoine» Point d’orgue d’un procès luxembourgeois sous haute surveillance internationale (1). Mardi, David Lentz, le procureur du Grand-Duché a requis dix-huit mois de prison avec sursis contre le lanceur d’alerte Antoine Deltour, mais aussi contre Raphaël Halet, autre ancien auditeur du cabinet Pricewater-houseCoopers (PWC).

Et une simple amende pour le journaliste Edouard Perrin, qui avait obtenu d’eux des documents internes démontrant la course au moins-disant fiscal du Luxembourg, au bon soin des multinationales. Les LuxLeaks, donc. Peine très minimale, en regard du code pénal local réprimant le vol de documents et la violation du secret des affaires (de cinq à dix ans de prison ferme). Un peu plus tôt, William Bourdon, avocat d’Antoine Deltour, avait enjoint le tribunal d’être «au rendez-vous de l’histoire», loin d’une «lecture archaïque» des faits.

«Aucun secret n’a été violé» Car les faits sont têtus. On tourne décidément autour la notion de secret. «Nous ne sommes pas au théâtre» Au procès LuxLeaks, le procureur refuse de faire des exceptions pour les lanceurs d’alerte. Depuis le début du procès LuxLeaks, il incarne l’intransigeance de l’Etat luxembourgeois. Mardi 10 mai, tout en convenant de multiples circonstances atténuantes, le procureur d’Etat adjoint David Lentz n’a pas changé sa position sur le fond. Oui Antoine Deltour et Raphaël Halet, les deux « soi-disant lanceurs d’alertes », comme il les a qualifiés, sont bien des voleurs qui ont « dérobé » des documents à leur employeur, le cabinet PwC, avant de les remettre à un journaliste de Cash Investigation (France 2), Edouard Perrin. De son côté, celui-ci, a « fait fi des règles déontologiques et morales » du journalisme, en cherchant à se les procurer.

Concernant MM. . « Pas question d’ouvrir les portes aux délateurs de tout poil » Or, en « copiant » la veille de sa démission des rescrits fiscaux, ces accords secrets d’interprétation de la législation conclus entre le fisc et les filiales des multinationales, l’ancien auditeur Antoine Deltour aurait bien commis un vol. "L'inévitable sortie de l'euro" : pour un Grexit de gauche... -- Pertes PAPAKONSTANTINOU. Sortir ou non de l’Euro ? Ce n’est plus la question. Il faut se demander quand, comment, et avec qui. La gauche doit au plus vite surmonter ses hésitations et ses fausses querelles pour présenter un plan bien à elle, susceptible de convaincre. La participation aux négociations avec les créanciers sur l’hallucinant paquet des 5,4 + 3,6 milliards révèle quelque chose de plus grave que l’impasse programmée du gouvernement Tsipras : l’incapacité du capitalisme grec, organiquement affaibli, à se reproduire dans le contexte économique de compétition de l’Eurozone – même en imposant aux couches populaires les conditions les plus insupportables.

Cette vérité amère, des acteurs politiques et même des économistes radicalement systémiques qui se situaient jusqu’ici dans la logique de « l’euro à tout prix » en prennent conscience depuis peu et sont contraints maintenant sous la pression écrasante des faits, de rechercher fiévreusement des solutions alternatives. Petros Papakonstantinou. Assouplissement quantitatif : la BCE donne des dizaines de milliards d'euros aux banques privées. Confronté à l’aggravation inévitable de la crise systémique du capitalisme et alors que la fuite en avant dans une pression euro-austéritaire toujours plus dure contre les travailleurs ne peut qu’alimenter la déflation pour préserver à court terme les profits de la classe capitaliste, la Banque Centrale Européenne poursuit sa politique dite d’Assouplissement Monétaire L’assouplissement quantitatif ou « l’hélicoptère monétaire » pour les banques privées Les traités européens fixent un unique objectif à la Banque Centrale Européenne (BCE), c’est à dire à l’Euro : la stabilité des prix.

C’est à dire de protéger à tout prix le Capital de l’inflation. Ils fixent également un tabou : le financement direct du budget des États qui sont donc obligés de financer leurs déficits auprès des banques privées, c’est à dire des banques détenues par la classe capitaliste. Ces même banques privées que les Etats ont du sauver en s’endettant très lourdement.

JBC pour www.initiative-communiste.fr. Le lanceur d’alerte des « Panama papers » explique pour la première fois sa démarche. On ne savait jusqu’à présent quasiment rien du mystérieux lanceur d’alerte à l’origine des « Panama papers », à part le pseudonyme qu’il utilisait dans ses communications sécurisées avec les journalistes allemands de la Süddeutsche Zeitung : « John Doe », un nom fréquemment utilisé pour désigner une personne anonyme dans les administrations anglo-saxonnes. Un mois après le début des révélations conjointes du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et de ses 109 médias partenaires, dont Le Monde, sur la base de 11,5 millions de documents qu’il a fournis, le lanceur d’alerte a décidé d’en dire un peu plus sur lui-même et sa démarche, en transmettant un manifeste intitulé « La révolution sera numérique » à la Süddeutsche Zeitung.

Les journalistes du quotidien munichois ont confirmé que ce texte avait bien été transmis par John Doe, qui a employé les mêmes méthodes de vérification d’identité que lors de leurs précédentes rencontres en ligne. L’effondrement du système monétaire fiduciaire occidental a peut-être commencé… Chine, Russie : le retour à l’étalon-or Le 19 avril 2016, la Chine sortait les nouveaux yuans soutenus par l’or. Ces deux dernières années, le rouble russe était pleinement soutenu par l’or. Personne dans les médias occidentaux n’en parle. Pourquoi le feraient-ils ? – Un lecteur occidental pourrait commencer à se demander pourquoi il est constamment stressé par un système monétaire fiduciaire basé sur le dollar étasunien et manipulé à volonté par une petite élite d’oligarques financiers pour leur avantage, au détriment des gens ordinaires.

Dans un récent article de Russia Insider, Serguei Glaziev, un des plus éminents économistes russes et conseiller auprès du président Poutine, avait affirmé : «le rouble est la devise la mieux soutenue par l’or au monde». Jusqu’à récemment, presque toutes les transactions monétaires internationales devaient passer par SWIFT, un établissement privé, basé en Belgique. Notre système monétaire occidental est basé sur la dette.

Notes. Comment l'accord de libre-échange Tafta pourrait laminer l'agriculture européenne. Quelles seraient les conséquences sur le secteur agricole de la signature de l’accord de libre-échange Tafta, actuellement en cours de négociation entre l’Europe et les États-Unis ? Au-delà des impacts sanitaires – OGM, rinçage chimique des volailles ou utilisation des hormones de croissance dans l’élevage porcin –, le Tafta provoquerait une augmentation des importations et une chute de revenu conséquente pour les agriculteurs européens. Au point de bouleverser complétement le visage de l’agriculture européenne. Explications. On parle beaucoup des risques du Tafta, le traité de libre-échange entre l’Europe et les États-Unis, pour les normes sanitaires et environnementales du vieux continent.

Bœuf aux hormones, OGM, lavage des carcasses animales aux produits chimiques, résidus de pesticides dans les fruits et légumes, bien-être animal constituent autant de sujets de contentieux entre les deux parties. La fin de l’élevage bovin en Europe ? Bénéfices très limités Pour aller plus loin : Traité Transatlantique : menaces sur la santé et l’environnement et le climat - Monde. En bleu foncé, l’Union européenne et les Etats-Unis. En bleu clair, les Etats de l’ALENA et de l’AELE susceptibles de rejoindre le TTIP. Les documents qui doivent être dévoilé par Greenpeace représentent les 2/3 du texte du traité à l’ouverture en avril du 13e round de négociation entre les Etats-Unis et l’Union Européenne à New York.

Ils recouvrent treize chapitres sur des questions allant des télécommunications aux pesticides, de l’alimentation à l’agriculture en passant par les barrières commerciales. « Ces documents confirment ce que nous disons depuis longtemps, explique Jorgo Riss, le Directeur de l’Unité européenne de Greenpeace : ce traité mettrait les intérêts des grandes entreprises au centre du processus de décision politique et législatif au détriment des enjeux environnementaux ou de santé publique. Nous savions que la position européenne était mauvaise mais ces documents montrent que la position américaine est encore pire. Les principaux risques identifiées par Greenpeace.