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Comment le groupe Total a aidé le Congo à berner le FMI. « Le Monde » révèle comment le groupe a imaginé un opaque montage offshore pour permettre au Congo d’échapper à la vigilance du Fonds monétaire international.

Comment le groupe Total a aidé le Congo à berner le FMI

LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jérémie Baruch Caniculaire été 2003. Alors que le mercure dépasse allègrement les 30 degrés, les avocats d’un cabinet de Jersey échangent avec le gendarme financier de l’île anglo-normande. Il s’agit d’obtenir un accord de principe de la part de la commission des services financiers pour s’assurer de la légalité d’un montage opaque qui est en train d’être échafaudé dans la plus grande discrétion. « Ce dossier est extrêmement urgent », plaident-ils. C’est le point de départ d’une nébuleuse histoire liant le géant pétrolier Total à la République du Congo, qui peine à se relever financièrement après une guerre civile meurtrière. Total, de son côté, vante l’irréprochabilité de sa charte éthique, établie après l’absorption d’Elf, en mars 2000. « Panama papers » : le business offshore du Crédit agricole et de la BNP.

Les « Panama papers » mettent en évidence les pratiques opaques des deux grandes banques françaises dans les paradis fiscaux.

« Panama papers » : le business offshore du Crédit agricole et de la BNP

Après la Société générale, l’enquête du Monde sur les « Panama papers » met en évidence l’implication des groupes Crédit agricole et BNP Paribas dans le business offshore coordonné par le cabinet panaméen Mossack Fonseca. Par le biais de ses rachats et de ses propres filiales, le Crédit agricole a administré pas moins de 1 129 structures offshore – un stock similaire à celui de la Société générale (1 005), sur laquelle Le Monde avait enquêté début avril. La BNP semble moins gourmande (468 sociétés), mais a utilisé des concurrents de Mossack Fonseca pour domicilier d’autres structures, sur lesquelles les « Panama papers » restent muets.

A chaque fois, les banques n’ont pas hésité à proposer les services les plus opaques (actions au porteur, prête-noms, fondations) pour aider leurs clients à dissimuler leur identité. Une activité ralentie… puis externalisée. « Panama papers » : les non-dits de la Société générale sur son activité offshore.

Deux heures pour convaincre que la Société générale n’a rien, ou presque, à se reprocher.

« Panama papers » : les non-dits de la Société générale sur son activité offshore

Un mois après la parution des « Panama papers », qui désignent la banque comme l’un des plus gros clients du cabinet panaméen Mossack Fonseca pour l’immatriculation de sociétés offshore, avec 1 005 entités créées depuis 1977, l’audition de son directeur général, Frédéric Oudéa, devant la commission des finances du Sénat, mercredi 11 mai, est attendue. Elle doit éclairer les sénateurs sur la responsabilité de la banque dans l’évasion et la fraude fiscales internationales, et pointer d’éventuelles failles de la loi. M. Oudéa devrait faire valoir trois arguments forts : la banque n’exerce plus d’activité au Panama, conformément à l’engagement pris en avril 2012 devant une commission d’enquête sénatoriale ; les « Panama papers » sont de l’histoire ancienne ; son activité offshore est légale et transparente. Une ligne de défense qu’expertise Le Monde, sur la base de nouvelles informations. ICIJ Offshore Leaks Database.

Les révélations et conséquences mondiales des « Panama papers » en carte. « Panama papers » : le ministre de l’industrie espagnol démissionne. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sandrine Morel (Madrid, correspondance) Le ministre de l’industrie espagnol en fonction, José Manuel Soria, a annoncé sa démission, vendredi 15 avril, après avoir été cité dans les « Panama papers », qui révèlent depuis quelques jours, dans la presse internationale dont Le Monde, les noms de possesseurs de comptes offshore gérés par la firme panaméenne Mossack Fonseca.

« Panama papers » : le ministre de l’industrie espagnol démissionne

Après quatre jours de démentis, d’explications variées, et parfois contradictoires, le ministre, qui avait assuré, lundi 11 avril, qu’il « n’a pas ni n’a jamais eu aucune société au Panama ni dans aucun paradis fiscal », a finalement été contraint d’abandonner son poste dans l’équipe de Mariano Rajoy du fait de la publication de documents lui attribuant des sociétés situées au Bahamas et sur l’île de Jersey. « Une erreur » Or, les révélations concernant M. Soria, homme de confiance de Mariano Rajoy, sont explosives. « Panama papers » : Mossack Fonseca abuse du nom de la Croix-Rouge pour cacher de l’argent sale.

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), fondé en 1863 à Genève, se déploie dans le monde entier pour venir en aide aux victimes de conflits.

« Panama papers » : Mossack Fonseca abuse du nom de la Croix-Rouge pour cacher de l’argent sale

Avec plus de 10 000 employés, il est en ce moment très engagé en Syrie, en Irak, en Ukraine, en Afghanistan, au Soudan du Sud ou au Nigeria. Tous les jours, ses employés risquent leur vie pour en sauver d’autres. Le simple nom du CICR et son emblème de la croix rouge sur fond blanc suffisent souvent à les protéger. Tout autour du globe, il est le symbole de neutralité, indépendance et intégrité. Mais voilà : l’identité de l’organisation humanitaire basée en Suisse est utilisée pour cacher de l’argent sale.

Panama Papers : la Société Générale a été perquisitionnée. A paraitre dans leJDD Des manifestants d'Attac protestent devant une banque Société générale à Paris.

Panama Papers : la Société Générale a été perquisitionnée

(Sipa) La perquisition a eu lieu très discrètement mardi matin au siège de la Société Générale à Paris, après la révélation du scandale des Panama Papers par le consortium international de journalistes d’investigations. Les enquêteurs de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales), saisis par le parquet national financier d’une enquête préliminaire visant la banque et des soupçons de blanchiment, se sont présentés boulevard Haussmann à Paris. "Ils ont figé des éléments de preuves", confirme au JDD une source judiciaire. « Panama papers » : de riches Français muets sur leurs montages offshore. Parmi les 500 plus grandes fortunes françaises, Le Monde a retrouvé dans les « Panama papers » une quinzaine de noms liés à des sociétés offshore.

« Panama papers » : de riches Français muets sur leurs montages offshore

Parmi eux, certains y recourent pour dissimuler des avoirs, pour optimiser leur exil fiscal ou pour réaliser des investissements au nom de leur entreprise. Pour les autres, le mystère continue de planer. Malgré de multiples sollicitations, par téléphone, courriel et courrier recommandé, cinq riches Français n’ont pas souhaité expliquer au Monde la motivation de leur montage offshore dans les paradis fiscaux. Le fonds de gestion de la famille Hennessy. « Panama papers » : les banques sur la sellette. Après les révélations des « Panama papers », les banques sont sur la sellette en France et en Grande-Bretagne.

« Panama papers » : les banques sur la sellette

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), « gendarme des banques », a demandé aux établissements bancaires français « un reporting complémentaire » sur leurs activités dans les pays considérés comme des paradis fiscaux. L’enquête issue des « Panama papers », coordonnée par le Consortium international de journalistes d’investigation (ICIJ) montre que 365 groupes bancaires (500 en additionnant toutes les filiales) ont créé 15 579 sociétés offshore avec l’aide de la firme panaméenne Mossack Fonseca entre 1977 et 2015.

La Société générale compte parmi les cinq premières banques clientes de Mossack Fonseca. « Panama papers » : une partie du monde de l’art collectionne les comptes offshore. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Le Monde.fr La société panaméenne Mossack Fonseca regorge d’ayants droit de structures opaques.

« Panama papers » : une partie du monde de l’art collectionne les comptes offshore

On trouve dans ses fichiers bien des gens liés à l’art, dont une héritière du maître espagnol Picasso – sa petite-fille, Marina Ruiz-Picasso, actionnaire de trois compagnies − ainsi que les noms de quelques collectionneurs connus, comme la famille Thyssen-Bornemisza – du moins sa branche espagnole –, le milliardaire chinois Wang Zhongjun, ou Ella Fontanals-Cisneros, une des collectionneuses les plus en vue de Miami. Accessoirement sont aussi clients de Mossack Fonseca les deux frères ennemis Dmitri Rybolovlev et Yves Bouvier : trois sociétés pour le premier, six pour le second.

Les sociétés de ventes aux enchères s’intéressent tout autant à l’offshore. La maison Christie’s, aujourd’hui propriété de François Pinault, avait auparavant pour principal actionnaire un milliardaire britannique installé aux Bahamas, Joseph Lewis. Disparitions suspectes de tableaux. « Panama papers » : les documents révèlent le véritable propriétaire d’un Modigliani disparu. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Depuis cinq ans, un tableau d’Amedeo Modigliani Homme assis (appuyé sur une canne), peint en 1918 par le maître italien, est au cœur d’une tempête judiciaire.

« Panama papers » : les documents révèlent le véritable propriétaire d’un Modigliani disparu

Devant les tribunaux américains, Philippe Maestracci, 71 ans, exploitant agricole de Dordogne et petit-fils d’un antiquaire juif, accuse la famille Nahmad, l’une des plus célèbres du marché de l’art mondial, de détenir ce tableau, vendu illégalement selon lui en 1944 par l’administrateur provisoire de la galerie de son grand-père. A l’inverse, le clan Nahmad conteste la réalité de cette spoliation et affirme ne pas détenir la toile.

Lire l’intégralité de l’enquête en édition abonnés : « Panama papers » : le Modigliani était bien caché David Nahmad, le père, est marchand d’art et résidant monégasque ; son fils Helly, galeriste à New York. Des documents confidentiels, que Le Monde a pu consulter, lèvent le voile sur une partie de ce mystère. « Panama papers » : Cameron admet avoir détenu des parts dans un fonds offshore de son père. Sous pression depuis plusieurs jours à la suite des révélations des « Panama papers », le premier ministre britannique, David Cameron, a admis pour la première fois jeudi 7 avril au soir qu’il détenait jusqu’en 2010 des parts dans le fonds fiduciaire de son père, immatriculé aux Bahamas.

M. Cameron a souligné dans une interview à la chaîne ITV qu’il les avait vendues en 2010 pour environ 30 000 livres (37 000 euros), quelques mois avant d’être élu premier ministre. David Cameron a insisté sur le fait qu’il avait payé des impôts au Royaume-Uni sur les dividendes encaissés et qu’il n’y avait rien eu d’illégal dans sa démarche. Le premier ministre a répété ne détenir « aucune action » jeudi. « Je n’ai aucune action, aucun trust offshore, aucun fonds offshore, rien de tout cela », avait-il martelé mardi, en réponse à un journaliste, lors d’un déplacement à Birmingham. . « Fier de mon père » Panama papers : Jérôme Kerviel dénonce "l'impunité" de la Société générale. « Panama Papers » : Joseph Lau, le milliardaire corrupteur qui aime les diamants.

« Pourquoi j’ai caché mon argent dans un paradis fiscal » « Panama papers » : le patron de la Société générale peut-il être poursuivi pour faux témoignage ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gary Dagorn et Adrien Sénécat La Société générale est l’un des plus gros clients du cabinet panaméen Mossack Fonseca, dont les données internes ont donné naissance aux « Panama papers ». Or son patron, Frédéric Oudéa, affirmait en 2012, face aux sénateurs, que la banque française n’avait plus aucune activité dans le pays. S’expose-t-il à d’éventuelles poursuites pour faux témoignage, comme se le demande Jérôme Kerviel ? Ce qu’a dit Frédéric Oudéa devant les sénateurs en 2012 Le 17 avril 2012, Frédéric Oudéa, alors PDG de la Société générale (il a abandonné la présidence mais gardé le poste de directeur général en mai 2015), est entendu par la commission d’enquête du Sénat sur l’évasion des capitaux.

« Panama Papers » : en Algérie, l’argent du pétrole passe par l’offshore. L’accueil en grande pompe, le 17 mars, de Chakib Khelil, le ministre de l’énergie algérien de 1999 à 2010, en fuite depuis trois ans et soupçonné de corruption, a été pris en Algérie comme une provocation – la preuve de l’impunité dont jouissent les proches du chef de l’Etat. Et une façon d’enterrer l’affaire Sonatrach, la compagnie pétrolière nationale, qui défraie la chronique depuis 2010. Le mandat d’arrêt international contre M. Khelil a été annulé pour vice de forme, le juge qui a instruit l’affaire muté, le procureur général limogé. Mais l’ancien ministre n’a pas été blanchi par la justice algérienne. "Panama Papers" : comment le scandale s'invite dans le voyage de Manuel Valls à Alger.

Par Rémi Sulmont , Loïc Farge Samedi et dimanche (9 et 10 avril), Manuel Valls, accompagné d'une dizaine de ministres français, sera à Alger. Il rencontrera le président Bouteflika, mais pas seulement. Comme l'a révélé RTL mardi 5 avril, il va probablement devoir serrer la main d'un homme qui est impliqué dans le scandale "Panama Papers". Il s'agit d'Abdeslam Bouchouareb. Ce proche du président Bouteflika a fait fortune dans les pommes de terre (dans la purée et les chips, pour être précis). Il a été directeur de la communication du président Bouteflika. On va donc avoir un gouvernement français qui affiche sa détermination à lutter contre la fraude fiscale le lundi et qui, le dimanche, rencontre et négocie avec des hommes "soupçonnés" de fraude.

Rencontre discrète avec le Président Bouteflika La visite est marquée par un autre casse-tête : la rencontre avec le Président Bouteflika. Maroc : la méthode d’un média proche du palais pour « dégonfler » les scoops gênants. En vocabulaire militaire, on appelle cela une « frappe préventive », consistant à tirer le premier en cas d’attaque imminente. Pour le site marocain Le360, c’est devenu une méthode, presque une habitude, qui a démontré son efficacité. Le 7 mars 2016, près d’un mois avant la date du 3 avril retenue par des médias du monde entier pour publier les révélations des « Panama papers », le site réputé proche du palais surprend son monde en publiant un article intitulé « Les dessous d’une enquête bidon sur deux biens appartenant au roi ».

En réalité, un pamphlet visant nommément Will Fitzgibbon, un des reporters d’ICIJ, le consortium international de journalistes d’investigation qui coordonne l’enquête à laquelle participe Le Monde sur les 11,5 millions documents issus de la firme panaméenne Mossack Fonseca. « Panama papers » : ces grandes sociétés françaises qui profitent du système offshore. « Panama papers » : un site d’information tunisien piraté. Non, la banque Rothschild citée dans « Cash Investigation » n’est pas celle de Macron. « Panama papers » : le business offshore de LSK, l’ex-fonds d’investissement de Strauss-Kahn.

C’est un ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI), lucide quant aux abus de la finance internationale, qui témoigne en ce mercredi de juin 2013 sur les bancs feutrés du Sénat. Auditionné par la commission d’enquête sur le rôle des banques et des acteurs financiers dans l’évasion fiscale, Dominique Strauss-Kahn ne mâche pas ses mots contre les « conséquences injustes » des paradis fiscaux, qui « privent des Etats de recettes fiscales », et contre les « instruments financiers fondés sur l’opacité ». « C’est cette opacité-là, renforcée par les territoires offshore, qui est très déstabilisante », explique aux sénateurs l’ancien ministre de l’économie.

C’est pourtant le même Dominique Strauss-Kahn qui prendra six mois plus tard les rênes de Leyne, Strauss-Kahn & Partners (LSK), un fonds d’investissement luxembourgeois créé par son associé Thierry Leyne. The Power Players. This interactive produced by the International Consortium of Investigative Journalists (ICIJ) explores the stories behind the use of offshore companies of politicians and their relatives and associates — more than 100 in all. Among them are 12 current or former country leaders and 33 other politicians and public officials with direct connections to structures in tax havens.

Their names appeared inside a cache of 11.5 million leaked files from Panama's Mossack Fonseca, one of the biggest offshore service providers. Brésil : Petrobras au cœur de la corruption. L’enquête « Lava Jato » (« lavage express ») autour du scandale de corruption tentaculaire de Petrobras, impliquant l’entreprise pétrolière publique et des dirigeants politiques, a provoqué un tremblement de terre au Brésil. Dès janvier, le cabinet panaméen Mossack Fonseca a été soupçonné de blanchiment d’argent dans cette affaire, et des responsables de sa filiale brésilienne arrêtés. How secret offshore money helps fuel Miami’s luxury real-estate boom.

At the end of 2011, a company called Isaias 21 Property paid nearly $3 million — in cash — for an oceanfront Bal Harbour condo. But it wasn’t clear who really owned the three-bedroom unit at the newly built St. Regis, an ultra-luxury high-rise that pampers residents with 24-hour room service and a private butler.

« Panama papers » : sur la piste du trésor de Jean-Marie Le Pen. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel et Simon Piel Une société cachée aux îles Vierges britanniques, un compte secret à Guernesey et, à la clé, 2,2 millions d’euros en billets de banque, lingots et pièces d’or sonnantes et trébuchantes. Les Africains du Panama (3) : ces barons des affaires qui prospèrent offshore. C’est un immeuble banal sur la Calle 54, dans le quartier financier de Panama City.

Les chefs d'entreprise cités dans "Panama Papers" Le Monde et 106 autres médias ont révélé que des milliers de personnes, dont plusieurs hommes politiques et célébrités, ont monté des sociétés offshores au Panama. Parmi eux, on trouve quelques chefs d'entreprise dont les Français Patrick Drahi et l'industriel de l'emballage Gérard Autajon. 11 millions de documents, des centaines de noms célèbres: le clan Poutine, le président islandais, Messi, Platini, Almodovar… Les "Panama Papers", révélés par Le Monde associé au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung et au Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) de Washington, dévoilent que des milliers de personnes ont recouru à des montages offshore via la société panaméenne Mossack Fonseca.

« Panama papers » : les 979 sociétés offshore créées par la Société générale via Mossack Fonseca. Les commissions de Karachi exhumées par les « Panama papers » « Panama papers » : Les montages du clan Guérini. « Panama papers » :  le riad du couple Balkany. « Panama papers » : les mauvaises affaires offshore de « Dédé la Sardine » « Panama papers » : le premier ministre islandais poussé à la démission. Ce que les « Panama papers » nous apprennent sur Patrick Drahi et le groupe Altice.

« Panama papers » : la société aux Seychelles de Cahuzac. « Panama papers » : le contrat douteux signé par Gianni Infantino, le nouveau patron de la FIFA. « Panama papers » : le père de David Cameron avait créé une société offshore.