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Plastic

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700 000 fibres plastique libérées à chaque lavage en machine : voici la solution. Les crustacés, des moulins à broyer nos plastiques - Effets de terre. Une enzyme pour recycler le plastique. "Clearing the bottleneck" (dégager le goulot) titre astucieusement la couverture du dernier numéro de Nature où figure un trieur au milieu d'un océan de bouteilles de plastique vides.

Une enzyme pour recycler le plastique

La célèbre revue scientifique fait ainsi allusion à l'impasse technologique du recyclage des plastiques pour célébrer les résultats du travail commun réalisé depuis une décennie par le Toulouse biotechnology Institute (TBI) qui regroupe des chercheurs de l'INSA Toulouse, du CNRS et de l'INRAE, et une start-up de 30 salariés, Carbios. "Notre laboratoire est habitué à travailler avec des industriels et malheureusement, ce n'est pas toujours fructueux, soit parce que les chercheurs ne savent pas ce que deviennent leurs résultats, soit parce que les demandes sont mal posées, regrette Alain Marty, l'un des auteurs de l'article de Nature. Nous avons donc décidé de remplir les deux rôles".

Les enzymes permettent de reconstituer les molécules de base du PET. La production de plastique va augmenter de 40 % d’ici 2030. Depuis 2010, l’industrie pétrochimique a investi des sommes colossales dans des usines de production de plastique — environ 200 milliards de dollars — et prévoit d’en dépenser 100 milliards de plus.

La production de plastique va augmenter de 40 % d’ici 2030

Résultat : la production de plastique va augmenter de 40 % d’ici 2030. Alors qu’il y a vingt ans, les conséquences sur le climat de cette production de plastique étaient mineures, elles sont désormais gigantesques. La production et le traitement du plastique consomme aujourd’hui presque 14 % de tout le pétrole et le gaz mondial. The missing 99%: why can't we find the vast majority of ocean plastic? Every year, 8m tons of plastic enters the ocean.

The missing 99%: why can't we find the vast majority of ocean plastic?

Images of common household waste swirling in vast garbage patches in the open sea, or tangled up with whales and seabirds, have turned plastic pollution into one of the most popular environmental issues in the world. But for at least a decade, the biggest question among scientists who study marine plastic hasn’t been why plastic in the ocean is so abundant, but why it isn’t. Irish teenager wins global science award for removing microplastics from water.

Plastic particles falling out of sky with snow in Arctic. Media playback is unsupported on your device Even in the Arctic, microscopic particles of plastic are falling out of the sky with snow, a study has found.

Plastic particles falling out of sky with snow in Arctic

The scientists said they were shocked by the sheer number of particles they found: more than 10,000 of them per litre in the Arctic. It means that even there, people are likely to be breathing in microplastics from the air - though the health implications remain unclear. Les moules et pollution marine. Pendant les 6 mois de la Mission microplastiques 2019, Tara et son équipage vont remonter les fleuves européens et les observer à la loupe pour comprendre l’origine des plastiques qui se déversent en mer et analyser leur impact sur la biodiversité marine. En parallèle des traits de filets réalisés en surface, dans le sillage de la goélette ou des semi-rigides, l’équipe scientifique a recours à des organismes filtreurs, des mollusques, et plus précisément, des moules.

Plastique : qui colonise quoi ? Pour comprendre comment le plastique et la biodiversité interagissent, le protocole notamment coordonné par Leila Meistertzheim de Plastic@Sea, en collaboration avec le Laboratoire d’Océanographie Microbienne (LOMIC, Observatoire Océanologique de Banyuls), comporte plusieurs aspects. Les scientifiques à bord préparent les nasses qu’ils vont placer dans les fleuves un mois avant l’arrivée de Tara © Romy Hentinger / Fondation Tara Océan Les moules, championnes de la filtration.

[Plastique] Une nouvelle méthode d’analyse de la nature chimique des microplastiques mise au point grâce à l’intelligence artificielle. Jusqu’à ce jour, l’analyse des microplastiques demande toujours aux scientifiques de recourir au tri manuel pour pouvoir procéder à l’identification des matériaux et de leur composition.

[Plastique] Une nouvelle méthode d’analyse de la nature chimique des microplastiques mise au point grâce à l’intelligence artificielle

Une méthode très longue et très fastidieuse. Mais une nouvelle méthode d’identification basée sur l’intelligence artificielle permet d’accroitre et d’accélérer l’analyse chimique. Chaque année 600 000 tonnes de plastique sont rejetées dans la mer Méditerranée. Si les pays étudiés ont des caractéristiques et performances hétérogènes, aucun n’est exempt de responsabilité dans la pollution plastique en Méditerranée.

Chaque année 600 000 tonnes de plastique sont rejetées dans la mer Méditerranée

La France est, quant à elle, le plus important producteur de déchets plastiques de la région, avec 4,5 millions de tonnes de déchets plastiques produits en 2016, soit 66,6 kg par personne. 76% de ces déchets sont incinérés ou enfouis et seulement 22% sont recyclés, un taux plus faible que l’Italie, l’Espagne, Israël et la Slovénie alors que la France est la plus grande puissance économique de la région.

En raison de systèmes de collecte plus performants que ses voisins, la France parvient à collecter l’essentiel de ses déchets et à limiter les rejets dans la nature. On estime malgré tout que la France contribue au rejet de 80 000 tonnes de plastiques dans la nature chaque année, dont plus de 10 000 entrent en mer Méditerranée. Méditerranée: «Il y a du plastique dans le gras des baleines...» Le WWF dévoile les coulisses de ses études.

Les études menées par le WWF permettent d’établir que la pollution plastique en mer Méditerranée, « ce ne sont pas seulement des bouts de plastique qui traînent en mer, ce sont aussi des cocktails chimiques qui intègrent la chaîne alimentaire. » Le WWF pose aussi des balises sur le dos des rorquals, plus gros animaux du monde après la baleine bleue.

Méditerranée: «Il y a du plastique dans le gras des baleines...» Le WWF dévoile les coulisses de ses études

Les scientifiques espèrent comprendre leur comportement face aux ferries pour éviter les collisions. Denis Ody est un « vieux garçon. » On n’aurait pas osé : c’est lui qui le dit. Au départ, le responsable du programme cétacés du WWF n’était « pas convaincu » par l’usage d’une caméra à 360 degrés pour le tournage d’une vidéo sur l’étude des rorquals en mer Méditerranée. Sciencemag. "A dream vessel" is what Joana Xavier, a sponge expert at the Interdisciplinary Center of Marine and Environmental Research in Porto, Portugal, calls a new research ship due to launch in 2021.

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Funded by a Norwegian billionaire, the 183-meter-long Research Expedition Vessel (REV) will be the largest such ship ever built, more than twice the length of most rivals. Engineered to endure polar ice, punishing weather, and around-the-world voyages, the REV will not only be big and tough, but packed with top-of-the-line research gear—and luxurious accommodations. Its full capabilities were detailed for the first time last week at a meeting on deep-sea exploration at The Royal Society in London.

The $350 million ship, under construction in a Black Sea shipyard in Romania, is owned by Kjell Inge Røkke, 60, who made his fortune in fishing, offshore oil, and other marine industries. Many national research fleets are aging and shrinking. Environnement: Non, le plastique à usage unique ne représente pas 70 % des déchets marins. Une dizaine d’objets plastique à usage unique « représentent plus de 70 % des déchets marins », selon le Parlement européen.

Environnement: Non, le plastique à usage unique ne représente pas 70 % des déchets marins

L’estimation n’est pas bonne. La part de ces objets est plus faible, selon une étude commandée par la Commission européenne. Le Sénat repousse d’un an l’interdiction de certains ustensiles en plastique. Le deuxième jour d’examen au Sénat du projet de loi Pacte (plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises) a commencé par des débats très politiques.

Le Sénat repousse d’un an l’interdiction de certains ustensiles en plastique

À dire vrai, cette séance a donné l’impression de revivre les discussions estivales sur la loi agriculture et alimentation, notamment sur le volet environnemental. Les sénateurs ont adopté en séance un amendement, proposé par la commission spéciale, revenant sur l’une des dispositions de la loi dite « Égalim » entrée en vigueur le 30 octobre 2018 : la fin de la vente de certains éléments en plastique à compter du 1er janvier 2020 (couverts, pailles, touillettes, etc.). Le gouvernement s’est montré favorable à un amendement similaire, déposé par un sénateur LREM.

Human footprint in the abyss: 30 year records of deep-sea plastic debris. Face à la pollution sonore, les dauphins haussent le ton. Plastic Pollution. Nuatan, un bioplastique que même les poissons peuvent manger. Présenté lors du dernier London Design Festival, le Nuatan est un bioplastique développé à base d'amidon de maïs qui est à la fois durable, rapidement dégradable et sûr à ingérer.

Ses concepteurs assurent qu'il pourrait remplacer tous les emballages existants, y compris alimentaires. C'est une belle promesse : un bioplastique 100 % issu de ressources renouvelables, 100 % biocompatible et 100 % biodégradable. Il se nomme Nuatan et il a été conçu par la jeune pousse Crafting plastics studio en collaboration avec l'université technique de Bratislava (Slovaquie).

Ce matériau très prometteur est totalement inoffensif pour les êtres vivants. « Si les poissons en mangent, ça se dégrade dans leur corps », assure Vlasta Kubušová, cofondatrice de Crafting plastics studio. Le Nuatan est un mélange breveté entre deux biopolymères : de l'acide polylactique dérivé de l'amidon de maïs et le polyhydroxybutyrate fabriqué à partir d'amidon de maïs qui a été métabolisé par des micro-organismes.

First account of plastic pollution impacting freshwater fishes in the Amazon: Ingestion of plastic debris by piranhas and other serrasalmids with diverse feeding habits. Nationalgeographic. Les microplastiques contaminent fruits de mer, poissons et sels. La pollution par les microplastiques n’arrête pas de s’intensifier. Ils contaminent la chaîne alimentaire dans les océans. Institut écologie et environnement - Actualités de l'institut. 21 novembre 2018 Les plastiques, une réelle menace pour les coraux des grandes profondeurs Mots-clés : Coraux d’eau froide, Croissance Les macro et microplastiques sont reconnus comme une menace importante pour les océans actuels. Cependant, leur impact sur la biodiversité marine est encore mal connu.

Une étude publiée dans la revue Scientific Reports par une équipe de du LECOB et du LOMIC de l’Observatoire Océanologique de Banyuls-sur-mer, ainsi que de l’Institut Alfred Wegener (Brême, Allemagne), montre pour la première fois les conséquences de pollutions plastiques sur la croissance et le comportement d’espèces profondes. Nanoplastics accumulate in marine organisms and may pose harm to aquatic food chains.

Les plastiques biodégradables ne peuvent pas se décomposer dans l'océan. Macro- and microplastics affect cold-water corals growth, feeding and behaviour. Ridding waters of plastic waste with jellyfish filters. What do microplastic filters, fertilisers and fish feed have in common? They can all be produced using jellyfish. At least, that's what one research team has set out to prove as they look into reducing the plastic waste in our oceans. The quality of our seas and oceans is deteriorating at an alarming rate.