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Rwanda

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Vincent Duclert : "Au Rwanda, la France a renforcé la vision du peuple hutu, majoritaire" VIDEOS. Génocide au Rwanda : ce qu'il faut retenir du discours d'Emmanuel Macron à Kigali. "Je viens reconnaître nos responsabilités.

VIDEOS. Génocide au Rwanda : ce qu'il faut retenir du discours d'Emmanuel Macron à Kigali

" Emmanuel Macron a prononcé un discours très attendu, jeudi 27 mai, à l'issue d'une visite au Mémorial du génocide rwandais à Kigali. Le président de la République a affirmé qu'il était du "devoir de la France de regarder l'histoire en face et de reconnaître la part de souffrance qu'elle a imposée au peuple rwandais", vingt-sept ans après le massacre de 800 000 personnes, essentiellement des Tutsi, sous les ordres du gouvernement hutu.

Auparavant, le président français a visité le musée retraçant l'histoire du génocide et déposé une gerbe à la mémoire des victimes. >> Suivez en direct la visite d'Emmanuel Macron au Rwanda Franceinfo vous résume les grandes lignes de son allocution lors de cette visite officielle au Rwanda. Un hommage aux victimes du génocide Emmanuel Macron a débuté son allocution au mémorial en rendant hommage aux victimes du génocide. Une reconnaissance de "l'ampleur des responsabilités" de la France... ... mais pas d'excuses. Félicien Kabuga, l’un des principaux accusés du génocide rwandais, arrêté en France. Traqué depuis plus de vingt ans, Félicien Kabuga, considéré comme le « financier du génocide rwandais » et l’un des principaux accusés encore recherchés par la justice internationale, a été arrêté samedi 16 mai au matin près de Paris, ont annoncé le parquet général de Paris et la gendarmerie dans un communiqué commun.

Félicien Kabuga, l’un des principaux accusés du génocide rwandais, arrêté en France

Agé de 84 ans, M. Kabuga, qui résidait à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) sous une fausse identité, est notamment accusé d’avoir créé les Interahamwe (« ceux qui combattent ensemble », milices hutu de l’ancienne formation politique du Mouvement républicain national pour la démocratie et le développement), principal bras armé du génocide de 1994 qui fit 800 000 morts, selon l’Organisation des Nations unies. Il était visé par un mandat d’arrêt du Mécanisme international, la structure chargée d’achever les travaux du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) . « Le Adolf Eichmann du génocide de 1994 » « Sept chefs d’inculpation » M.

Pierre Lepidi (avec AFP) "Mes avertissements n’ont pas été pris en compte" : quand un général français alertait sur les risques d'un génocide au Rwanda. Vingt-cinq ans après le génocide des Tutsis en 1994, la cellule investigation de Radio France et "Mediapart" ont recueilli des témoignages inédits d'un ancien général et d'un bénévole de la Croix Rouge sur le rôle de la France au Rwanda.

À 84 ans, l’homme a décidé de livrer publiquement sa vérité sur le rôle joué par la France au Rwanda, dans les années 1990. Jusqu’à présent, le général Jean Varret avait uniquement accepté de témoigner devant la mission d’information parlementaire sur le rôle de la France au Rwanda, en 1998. Récemment, il a pris la plume pour raconter son parcours de militaire dans un livre, où il revient en quelques pages, très sobres, sur le rôle qu’il a joué au Rwanda. Aujourd’hui, 25 ans après le génocide des Tutsis, il a décidé de parler devant micros et caméras.

D’octobre 1990 à avril 1993, Jean Varret est chef de la Mission militaire de coopération au Rwanda. Jean Varret demande alors à voir le président rwandais Habyarimana. On craignait une guerre civile. Génocide au Rwanda : une note confidentielle contredit la version officielle française. Théoneste Bagosora, ancien directeur de cabinet du ministre rwandais de la Défense, est désigné par une note du renseignement français comme l'un des principaux commanditaires de l'attentat contre le président rwandais, en 1994.

Génocide au Rwanda : une note confidentielle contredit la version officielle française

Un attentat qui a servi de déclencheur au génocide. De l’attentat contre le président rwandais Habyarimana aux ventes d’armes illégales, la cellule investigation de Radio France et Mediapart révèlent mercredi 6 février de nouveaux éléments sur "le cerveau" du génocide contre les Tutsis, qui a fait près d’un million de morts, à l’été 1994. Il s’appelle Théoneste Bagosora.

Cet ancien directeur de cabinet du ministre rwandais de la Défense, passé par l’École de guerre en France, est considéré comme l’un des architectes du génocide. Condamné à la prison à vie puis à 35 ans de détention, en appel, par le Tribunal pénal international, il est aujourd’hui emprisonné au Mali. Ce n’est pas la première fois que la DGSE alerte ainsi le sommet de l'État.

Je donne mon avis. Rwanda : non-lieu dans l’enquête sur l’attentat qui a déclenché le génocide de 1994. Rwanda : à la recherche des génocidaires. FranceCoeurGenocideTutsi-IP.