background preloader

EDF - Energie Nucléaire

Facebook Twitter

Projets EPR dans le monde

EDF - Grand carénage. Démantèlement Centrales Nucléaires. Fermeture de Fessenheim. Déchets nucléaires. Origine de l'uranium naturel importé en France : Kazakhstan, Niger, Canada, Australie. La France a besoin de l'ordre de 8 000 à 9 000 tonnes d’uranium naturel par an pour fabriquer le combustible alimentant son parc de 58 réacteurs nucléaires(1).

Origine de l'uranium naturel importé en France : Kazakhstan, Niger, Canada, Australie

La totalité de cet uranium est importée : l’exploitant EDF achète le combustible final auprès d’Areva qui sécurise son approvisionnement en amont en exploitant de l’uranium naturel dans différentes zones géographiques. Parmi celles-ci figurent principalement le Niger, le Canada, l’Australie et le Kazakhstan. La répartition exacte des importations françaises n’est toutefois pas communiquée par EDF et Areva qui relaient des documents assez globaux sur l’origine de ces importations.

A l’échelle mondiale, la société kazakhe KazAtomProm est le principal producteur d’uranium naturel (21% de la production mondiale en 2016) devant le canadien Cameco (17%) et Areva (13%)(2). Centrale nucléaire du Tricastin : un cadre dénonce "une politique de dissimulation" des incidents et porte plainte contre EDF. Le cadre de la centrale nucléaire drômoise revendique le statut de lanceur d'alerte, a appris franceinfo vendredi auprès de ses avocats.

Centrale nucléaire du Tricastin : un cadre dénonce "une politique de dissimulation" des incidents et porte plainte contre EDF

Article rédigé par Publié le 12/11/2021 10:58 Mis à jour le 12/11/2021 12:42. Pourquoi les réacteurs nucléaires EPR 2 d'EDF coûteront plus cher et arriveront plus tard que prévu. Le rapport Futurs énergétiques 2050 de RTE, publié le 25 octobre, devait fournir des arguments scientifiques et économiques pour décider, ou non, de la construction de nouveaux réacteurs nucléaires (EPR).

Pourquoi les réacteurs nucléaires EPR 2 d'EDF coûteront plus cher et arriveront plus tard que prévu

Mais les experts du gestionnaire du réseau électrique ont-ils bien pris en compte, dans leur évaluation des six scénarios à 2050, toutes les incertitudes du projet d’EDF de construire trois paires d’EPR 2 ? Des incertitudes que révèle un document de travail récent, publié en octobre, du ministère de la Transition énergétique et de Bercy. Rédigé en grande partie par la Direction générale énergie climat, il est relayé par Contexte. La ministre Barbara Pompili a justement annoncé, le 26 octobre, la publication « très prochaine » d’une évaluation par le gouvernement des coûts du nouveau nucléaire. Mais il ne s’agira probablement pas de la version fuitée. 5 500 à 6 000 euros par kW hors conception Cet article est réservé aux abonnés Demain se fabrique aujourd’hui ! Source. EDF voit un «risque» de fermeture anticipée de deux centrales nucléaires au Royaume-Uni. VIDEO. Centrales nucléaires : des départs de feu dans les moteurs de secours installés après Fukushima.

Le tsunami de 15 mètres qui a submergé la centrale nucléaire de Fukushima a coupé totalement l'alimentation électrique des réacteurs.

VIDEO. Centrales nucléaires : des départs de feu dans les moteurs de secours installés après Fukushima

Résultat : les pompes censées acheminer l'eau dans les coeurs des 6 réacteurs n’ont plus fonctionné. Les coeurs n'ont plus été refroidis, ils sont alors entrés en fusion, provoquant des explosions et relachant des déchets radioactifs dans la nature. Pour éviter que cela n’arrive en France, EDF a dû notamment installer de nouveaux groupes électrogènes géants, des Diesels d'Ultime Secours.

Ce nouveau dispositif a été prescrit par l’Autorité de sûreté nucléaire en 2012. Ces moteurs sont l’ultime protection en cas de panne électrique. Chaque réacteur est doté d'un moteur de ce type. Aujourd’hui, les 56 réacteurs nucléaires en fonctionnement de France sont pourvus de ces nouveaux diesels de secours. Un moteur qui prend feu, c’est un moteur qui ne prend pas le relais en temps et heure pour refroidir les réacteurs en cas d’incident grave.

Qu'est-ce qu'un DUS ? Nucléaire: la décision sur de nouveaux EPR renvoyée au prochain quinquennat. L'EPR de Flamanville, le 16 août 2019 ( AFP / Lou BENOIST ) "Que ce soit l'ensemble des éléments sur le nucléaire ou les scénarios 100% renouvelables, c'est à mi-2021 que l'on souhaite avoir l'ensemble des éléments, techniques, économiques...

Nucléaire: la décision sur de nouveaux EPR renvoyée au prochain quinquennat

", a-t-elle déclaré lors d'une audition de la commission du Développement durable et de celle des Affaires économiques à l'Assemblée nationale. En quasi-faillite, EDF veut nationaliser le nucléaire… et privatiser les renouvelables. Nationaliser les risques et privatiser les profits ?

En quasi-faillite, EDF veut nationaliser le nucléaire… et privatiser les renouvelables

C’est le projet que s’apprête à examiner le comité de la stratégie du conseil d’administration d’EDF ce mardi 28 mai. Selon les révélations du Parisien en avril, le groupe, détenu à 83,7 % par l’État, pourrait être scindé en deux entités distinctes. La première regrouperait la production d’électricité nucléaire en France et sa commercialisation sur le marché de gros, ainsi que les productions thermique et hydraulique. Elle serait progressivement nationalisée.

Les couts de production du parc nucleaire francais - rapport SFEN. Nicolas Hulot annonce qu’il faudra fermer « peut-être jusqu’à 17 » réacteurs nucléaires. Pour ramener à 50 % la part de l’atome dans la production d’électricité à l’horizon 2025, « on va fermer un certain nombre de réacteurs », a déclaré, lundi, le ministre de la transition écologique.

Nicolas Hulot annonce qu’il faudra fermer « peut-être jusqu’à 17 » réacteurs nucléaires

Nicolas Hulot, le ministre de la transition écologique, s’est engagé, lundi 10 juillet, à fermer des réacteurs nucléaires, « peut-être jusqu’à 17 », pour respecter la loi sur la transition énergétique, qui vise à ramener à 50 % la part de l’atome dans la production d’électricité à l’horizon 2025. « Chacun peut comprendre que pour tenir cet objectif, on va fermer un certain nombre de réacteurs (…) Laissez-moi planifier les choses, ce sera peut-être jusqu’à 17 réacteurs, il faut qu’on regarde », a déclaré sur RTL le ministre. Nucléaire: le scénario d’EDF pour 2050.

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.

Nucléaire: le scénario d’EDF pour 2050

Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... bien ensoleillé Vent : 5km/h - UV : 1. Mise à l’arrêt provisoire de la centrale nucléaire du Tricastin. Centrale nucléaire du Tricastin Par décision du 27 septembre 2017, l’ASN a imposé à EDF la mise à l’arrêt provisoire des quatre réacteurs de la centrale nucléaire du Tricastin dans les délais les plus courts.

Mise à l’arrêt provisoire de la centrale nucléaire du Tricastin

Nucléaire : le programme de futurs EPR pourrait coûter au moins 46 milliards d’euros. Article réservé aux abonnés La France n’a pas encore tranché si elle allait ou non construire de nouveaux réacteurs EPR, mais EDF se prépare à ce que le gouvernement prenne une décision en ce sens.

Nucléaire : le programme de futurs EPR pourrait coûter au moins 46 milliards d’euros

Dans un document confidentiel présenté au conseil d’administration le 25 juillet, que Le Monde a pu consulter, le groupe détaille une première version de son projet « Nouveau nucléaire de France ». Dans cette présentation, EDF calcule que six réacteurs EPR construits par paires, financés sur une durée d’environ vingt ans, coûteraient au moins 46 milliards d’euros. Soit entre 7,5 et 7,8 milliards d’euros par réacteur, selon ses estimations. Un montant nettement moins élevé que l’EPR de Flamanville (Manche), chiffré aujourd’hui à 12,4 milliards d’euros, mais beaucoup plus important que le coût d’origine de l’EPR (3,3 milliards d’euros). Officiellement, le gouvernement en est encore au stade de la réflexion sur l’éventualité d’un tel programme. Nucléaire : comment le gouvernement travaille en catimini à la construction de six nouveaux EPR.

Article réservé aux abonnés Officiellement, rien n’est arrêté : la France n’a pas décidé de construire – ou non – de nouveaux réacteurs EPR, et le débat est toujours ouvert. Le président de la République, Emmanuel Macron, a simplement demandé à EDF de présenter, mi-2021, un dossier complet, pour pouvoir prendre une décision sur ce sujet épineux. Pourtant, en coulisses, les choses avancent, et le gouvernement défend une option très claire. Le-plan-d-edf-pour-construire-de-nouveaux-epr-en-france. Nucléaire : un rapport préconise la construction de six nouveaux EPR.

EDF compte augmenter la production nucléaire en 2017. PARIS (Reuters) - EDF a légèrement dépassé l'an passé ses prévisions de production d'électricité nucléaire et il compte augmenter encore cette production en 2017 et en 2018, croit savoir Les Echos. Le quotidien financier précise que les 58 réacteurs du parc français ont produit 416,8 térawattheures (TWh) en 2015, soit une hausse de 0,2% de la production, alors que les objectifs fixés variaient de 410 à 415 TWh.

"(...) si EDF ne table que sur 414 TWh de production nucléaire cette année, il vise 420 TWh en 2017 et 2018. Ce qu'il n'a réussi qu'une fois depuis le début de la décennie (en 2011)", écrit Les Echos. Royal "prête à donner le feu vert" au prolongement de 10 ans des centrales nucléaires. Grande Bretagne: EDF va prolonger la vie de 4 centrales nucléaires. EDF Energy, la filiale britannique du géant français EDF, a annoncé mardi la prolongation de la vie pendant plusieurs années de quatre centrales nucléaires au Royaume-Uni, alors que la décision d'investir dans une nouvelle centrale, celle d'Hinkley Point C, se fait toujours attendre. La date de fermeture prévue des sites de Heysham 1 (nord-ouest de l'Angleterre) et Hartlepool (nord-est) a été étendue de cinq ans, jusqu'en 2024. Celle de Heysham 2 et Torness (sud-est de l'Écosse) l'a été de sept ans, jusqu'en 2030. Ces quatre centrales fournissent l'électricité d'environ un quart des foyers britanniques et emploient 2.000 salariés permanents ainsi que 1.000 sous-traitants.