background preloader

Marzouk_grouped_psy

Facebook Twitter

BOUTKHIL

Les comportements addictifs liés à l'usage du numerique

Catalogue SUDOC. De Boeck Supérieur – Les revues. Objectifs Psychotropes, revue internationale des toxicomanies, traite des substances psychotropes, de leurs usages et des dépendances qui en découlent. Ouverte aux diverses approches concernant les dépendances – clinique, épidémiologique, historique, sociologique, anthropologique, économique - Psychotropes a pourtant pour axe central l’étude de l’usage et de l’abus des « drogues ». Elle rend compte des grands courants de pensée mais également de l’extrême diversité des pratiques suscitées à travers le monde par l’effort de recherche, de prévention et de soin. Il s’agit d’une revue à comité de lecture « peer reviewed ». Rédaction Directeur de publication : Marc ValleurRédacteur en chef : Michel HautefeuilleSecrétaire de rédaction : Aurélie Wellenstein Coordonnées Référencement Scopus, CSA Sociological abstracts.

Comment lutter contre ses dépendances. Arrêter de fumer, de boire, faire un régime ou se sortir d’une addiction comportementale, les techniques de changement reposent d’abord sur une analyse précise de ses motivations et conduites qui suivent des cycles désormais bien connus des spécialistes. Depuis toujours, les êtres humains ont utilisé des produits ou ont eu des comportements pour se faire plaisir ou pour soulager une souffrance. C’est une très bonne chose ! Il n’y a en effet pas de mal à se faire du bien. Les problèmes commencent avec l’abus puis l’installation d’une dépendance. Presque tous les produits concernés par l’addiction présentent cette double face : agréables, utiles, bienfaisants et thérapeutiques, d’une part ; nocifs, pathogènes et destructeurs, d’autre part.

La morphine calme la douleur, et son utilisation est un progrès important en médecine. La loi est établie sur un mode identique : elle autorise, voire encourage d’une part ; elle interdit et punit d’autre part. Qu’est-ce qu’une dépendance ? (1) S. Note 1. La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding. #Gloups. S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie.

C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence ! Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent.

Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ? WordPress: Smartphone Addiction. Note 2. Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts... Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent...

Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français.

Michael Stora : INTERNET: Etes-vous plutôt compulsif ou excessif ? – Southern Communication Journal – Votre comportement, en ligne, est-il prédictif d’un usage d’Internet bientôt compulsif ou votre usage est-il juste excessif ? Parmi les sujets les plus populaires abordés sur l’utilisation d’Internet, les effets indésirables psychosociaux tels que la dépendance, la dépression et la solitude. Mais alors que les données sont de plus en plus nombreuses sur les raisons et les effets d’une surutilisation de l’Internet, cette petite étude, publiée dans le Southern Communication Journal, explore un angle encore peu étudié : comment les comportements de communication en ligne, tels que la tendance à la révélation de soi, ou à nouer « du lien social » annoncent une utilisation d’Internet excessive ou compulsive. L’anxiété motive un usage compulsif, l’efficacité un usage excessif : Les auteurs constatent aussi que seul l’usage définit comme compulsif –et non excessif- entraine une dégradation du bien-être et de la qualité de vie.

Lire aussi sur Internet et santé P. Note 3. Misère de notre addiction numérique. Les Etats et les grandes entreprises devraient faire preuve d'une vertu surnaturelle pour ne pas être tentés de tirer profit du fait que nous vivons dans une société où tout est enregistré LE MONDE | 02.01.2014 à 17h21 • Mis à jour le 03.01.2014 à 18h35 | Groupe Marcuse Comment combattre la tyrannie de la surveillance? L'affaire Snowden, du nom de l'ex-consultant pour l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) à l'origine des fuites sur le programme de surveillance électronique, a révélé l'ampleur du contrôle des citoyens du monde entier. Que faire face à ce phénomène? La cascade de « révélations » sur les programmes de surveillance électronique, déclenchée par Edward Snowden au mois de juillet, continue. Après les classes politiques européennes et la presse, ce sont maintenant des écrivains du monde entier qui s'indignent et réclament l'édiction par l'ONU d'une déclaration des droits de l'homme numérique (« Refusons la société de surveillance !

Dépendance aux écrans : une addiction de l'ère numérique. Des pratiques en ligne très répandues et parfois addictives... Internet a fait naître de nouvelles modalités d’interaction ludique entre personnes. Les jeux en ligne et les réseaux sociaux connaissent un succès croissant auprès de toutes les tranches d’âge. 69% des 13-19 ans jouent régulièrement à des jeux vidéo (source : Etude Junior Connect, Ipsos Connect, 2015).Désormais, certains préfèrent même les interactions électroniques aux modes relationnels traditionnels. De véritables addictions liées aux écrans sont ainsi apparues. Elles relèvent des addictions dites "comportementales", comme :- la dépendance aux jeux d’argent et de hasard,- les achats compulsifs,- les addictions alimentaires ou à l’activité physique,- les dépendances sexuelles ou affectives... Comme tous ces comportements, l’usage excessif des écrans empêche la personne touchée de se consacrer à d’autres activités, et tend à provoquer des problèmes relationnels.

Heureusement, ce type de dépendance est encore rare. VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène... Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique. Qu’entend-on par addiction au numérique? Beaucoup de Français ont un usage excessif des nouvelles technologies et peuvent passer une trentaine d’heures sur les écrans. Quelle est l’ampleur du phénomène en France?

Il reste rare, puisqu’il concerne 2% de la population française, mais il risque fort de progresser dans les années à venir avec la multiplication des objets connectés. Qui en sont les principales victimes? Les «digital natives». Quelles sont les conséquences de cette addiction au numérique? Comment savoir si l’on est cyberdépendant? *Avis de l'Académie des Sciences de Jean-François Bach Mots-clés : Santé. L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes. Etes-vous facilement distrait par votre smartphone ? Vous est-il difficile de vous en séparer? Etes-vous constamment en train de le consulter sans raison particulière? Il y a des risques que vous soyez accro et même que vous ayez besoin de l'aide d'un psychologue.

De plus en plus de jeunes seraient dépendants à leur “téléphone intelligent“. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ?

Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen.87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Les ravages du text-neck. Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique.

En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Il raconte l'histoire d'un homme de 42 ans qui a décidé de vivre à l'écart d'Internet pendant trois mois. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Lire la suite.

Une étude sur l'addiction aux médias numériques. Peut-on parler d’addiction aux nouvelles technologies. L’initiative de la « journée sans Facebook » est un indice, parmi d’autres, d’une préoccupation grandissante autour des effets de l’usage abondant de certains services ou outils numériques. Le succès actuel de la notion de « binge watching » qui indexe la visualisation de séries télévisées sur la consommation excessive et répétée d’alcool en est un autre signe. La terminologie psychopathologique de l’addiction est aujourd'hui dans toutes les bouches : dans une enquête récente, nos interviewés se disent volontiers « addict » (à leur téléphone, à Facebook, à Twitter, aux séries TV…), de nombreux articles de presse fleurissent sur le sujet, des robinsonnades qui vantent les mérites de quelques mois « sans » ( internet, mobile, …) paraissent dans plusieurs pays (dont « J’ai débranché, Comment revivre sans Internet après une overdose », de Thierry Crouzet), et des études quantitatives mesurent désormais combien de français se déclarent « dépendants ».

Agir contre soi Méthodologie : Tout savoir sur l'addiction au numérique - Le Parisien. L'addiction au numérique entre à la faculté avec le lancement d'un cours... en ligne. Pouvons-nous nous passer des écrans ? Comment bien vivre avec Internet ? L'université de Nantes s'empare de ces questions de société en créant son premier MOOC, un e-enseignement collaboratif ouvert à tous et gratuit, sobrement intitulé @ddict. Une première en France. Ces cours démarrent aujourd'hui avec une semaine de découverte du sujet et d'apprentissage du fonctionnement de la plate-forme France université numérique (FUN) qui abrite cet enseignement. Les intervenants entreront dans le vif du sujet le 5 janvier avec les six thématiques qui seront développées.

Parmi elles : qu'est-ce que l'addiction ? Réflexion autour des nouveaux comportements Il s'agit avant tout -- pour les étudiants mais aussi pour toute personne intéressée -- d'un espace de partage et de réflexion autour des nouveaux comportements engendrés par la multiplication des écrans. Dépendant au numérique ? Vanessa Lalo | Psychologue spécialiste des usages numériques et des jeux vidéo (impacts, risques & bénéfices) Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives.

Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie : Dépendance au smartphone. Des utilisateurs de smartphone. La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît depuis la large diffusion des smartphones. Il relève, du moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1].

Il peut ajouter à la dépendance au téléphone et à l'information disponible sur l'Internet une autre dépendance, à certains des réseaux sociaux qui se sont développés grâce à l'internet. Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. Histoire[modifier | modifier le code] Pour la plupart des gens sondés le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie[8]. Les études scientifiques peu à peu produites sur le phénomène montrent aussi des tendances très différentes selon les générations et selon les pays et les cultures. Le cas de l'Asie[modifier | modifier le code] 1. 2.

Les remèdes pour les addicts du numérique se développent. Les thérapies contre l'addiction aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-Wifi aux vacances 100% offline, en passant par les cures de désintoxication. « Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente », constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la « e-dépendance ». Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. « Ce surgissement soudain des possibilités infinies de connexion, après une période initiale d'enthousiasme, conduit chaque utilisateur à réfléchir sur la façon de savourer l'existence tout en profitant de leur connexion.

La question se pose de savoir comment éviter la dépendance », ajoute M. Oudghiri. Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes wi-fi. FUN - @ddict ? Un MOOC collaboratif sur nos usages du numérique. Génération 2.0 : l'addiction au numérique. :. La Cyberdépendance, cyberaddiction, Net addiction: une addiction aux effets néfastes? .:

Comment devient-on accro au numérique ? Les addictions comportementales. Fédération Addiction, prévenir, réduire les risques, soigner.