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Effondrement - capitalisme

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Contre les pandémies, l’écologie, par Sonia Shah (Le Monde diplomatique, mars 2020) Malcom Ferdinand : “Il faut penser l'écologie en prenant en compte l'histoire coloniale et esclavagiste” A l'écart des messes politico-médiatiques autour de la COP25, des marches pour le climat ou de la consécration contestée de Greta Thunberg par le Times, des voix tentent de déplacer les contours d'une écologie trop souvent pensée par et pour les blancs.

Malcom Ferdinand : “Il faut penser l'écologie en prenant en compte l'histoire coloniale et esclavagiste”

Le livre Une écologie décoloniale (éditions du Seuil) du philosophe et chercheur au CNRS Malcom Ferdinand fait partie de celles-ci. Entretien. Fermer cet onglet. Culture de résistance. Les photos aériennes d'Edward Burtynsky révèlent à quel point l'homme peut défigurer la Terre — L'AUTRE QUOTIDIEN. Eric Rohmer - Les Métamorphoses du paysage: l’ère industrielle (1964) Archéologie des médias et Anthropocène.

Sites Colbert et Richelieu Séminaire 25sept2015 Séminaire de recherche du programme « Art contemporain et cinéma » organisé en partenariat avec l’université Paris 3 (LIRA) 25 septembre 2015 -10h-13h30Galerie Colbert Salle Walter Benjamin Institut national d’histoire de l’art entrée libre Accès.

Archéologie des médias et Anthropocène

Institut Momentum. L’Anthropocène désigne une nouvelle ère géologique, déterminée par l’action centrale de l’humanité et caractérisée par l’accélération des techniques.

Institut Momentum

Cette ère a commencé avec la révolution industrielle et s’est imposée au XXème siècle sous l’effet de la généralisation de l’usage des énergies fossiles- pétrole, gaz, charbon. Contribution à l’étude de l’état d’une planète vivante en crise, Sol3 par NamowNeergelttil, Dhp (traduit de l'Arcturien par Ghislain Nicaise), 18 novembre 2018 novembre 2018 Depuis le dernier état des lieux effectué par ma directrice de recherche la professeure Bmudoston, j’ai pu confirmer une évolution récente de la situation sur Sol3.

Plusieurs indices permettent de proposer que cette planète est en train de perdre le stade d’équilibre organique. Video. Jeudi 5 Novembre, Amphithéatre Marguerite de Navarre Ouverture du colloque Ouverture par Catherine Larrère, Philippe Descola et Alain Prochiantz Humain, trop humain ?

Video

Souad Mani on Instagram: “"Maintenant on pourrait presque enseigner aux enfants dans les écoles comment la planète va mourir, non pas comme une probabilité mais…” Bernard Stiegler : nous sommes « au stade final de l'anthropocène » Récemment invité au micro du Média, le philosophe Bernard Stiegler* estimait que l’humanité est désormais au pied du mur, contrainte de changer rapidement et de manière radicale de trajectoire si elle ne veut être condamnée à disparaître.

Bernard Stiegler : nous sommes « au stade final de l'anthropocène »

Son discours de haut vol, riche d’enseignements, est à écouter avec une grande attention. Plus que jamais, la saturation économique, environnementale et sociale du modèle productiviste apparaît au grand jour. Coggle. Institut Momentum - L'anthropocène et ses issues. L'écopsychologie. Sociologue et journaliste de formation, Michel Maxime Egger travaille comme responsable d'ONG pour le développement durable et des relations Nord-Sud plus équitables.

L'écopsychologie

Il a fondé le réseau « Trilogies » qui met en dialogue traditions spirituelles et grandes problématiques de notre temps.Dans Soigner l'esprit, guérir la Terre , il nous fait découvrir un mouvement clé et très peu connu en Europe continentale : l'écopsychologie. Il s'est cristallisé dans les années 1990 aux Etats-Unis et développé essentiellement dans le monde anglo-saxon. Migrer, une condition d’existence du vivant.

Par Gilles Clément Jardinier, Emanuele Coccia Philosophe, maître de conférences à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Antoine Kremer Généticien, directeur de recherches à l’unité mixte de recherches Biogeco à l’Inra de Bordeaux,Jacques Tassin Agronome et écologue, chercheur au Cirad, Sébastien Thiéry Politologue, coordinateur des actions du Pôle d’exploration des ressources urbaines (Perou).

Migrer, une condition d’existence du vivant

Biologistes, écologues, généticiens et paléontologues s’accordent sur un point: les animaux et les végétaux répondent aux changements environnementaux en s’adaptant ou en ajustant la distribution spatiale de leurs populations. Un tel ajustement, opéré par une fraction juvénile apte à la dispersion, procède d’une migration souvent imperceptible et continue, parfois soudaine, qui refaçonne les cartes du vivant, en transgresse les frontières et en brasse les populations.

Cette vérité première vaut-elle cependant pour les hommes ? Face à la crise écologique, remettons des « expériences de nature » dans notre quotidien. En juillet 2018, le journaliste Thibaut Shepman a interrogé pour L’Équipe des skieurs de l’équipe de France de ski de bosses.

Face à la crise écologique, remettons des « expériences de nature » dans notre quotidien

Quels étaient leurs souvenirs et leur perception de la montagne et du glacier de la Grande-Motte de Tignes sur lequel ils s’entraînent une partie de l’année ? Dans son article paru le 8 septembre, il rapporte ainsi : « Perrine Laffont côtoie le glacier l’été depuis à peine cinq ans et pourtant elle assure avoir vu d’énormes changements […]. Le skieur acrobatique [Ben Cavet] égrène : « J’ai vu le glacier rétrécir, des cailloux apparaître, et même certains cailloux devenir d’énormes rochers » […]. Ludovic Didier a 21 ans de stages d’été à Tignes derrière lui […]. Comme tous les glaciers, celui de la Grande-Motte diminue en effet progressivement avec le réchauffement climatique ; la tendance actuelle promet sa disparition d’ici quelques dizaines d’années.

Anna Tsing : « Je pars d'un constat : nous vivons dans les ruines du capitalisme. » Et si l’on étudiait le capitalisme, ses évolutions et ses impasses, à travers un champignon ?

Anna Tsing : « Je pars d'un constat : nous vivons dans les ruines du capitalisme. »

Tel est le pari d’Anna Lowenhaupt Tsing, anthropologue américaine et auteure d’un des ouvrages de sciences sociales les plus remarqués de ces dernières années, Le champignon de la fin du monde (La Découverte). La précarité étant la condition de notre temps, il s’agit alors pour elle de s’intéresser aux « arts de vivre sur une planète abîmée ». Anna Tsing : « Je pars d'un constat : nous vivons dans les ruines du capitalisme. »