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700 visières de protection fabriquées au Fablab de Liège. 26 mars 2020 16:27 Face au Covid-19, de nombreux secteurs tentent d’apporter leur contribution à la mobilisation générale.

700 visières de protection fabriquées au Fablab de Liège

En Wallonie, les Fablabs, ces laboratoires de fabrication numérique et de prototypage, se mettent au service du monde médical. Au Fablab de Liège, l’équipe de collaborateurs a lancé la production de 700 visières de protection ce jeudi. Derrière les vitres du Relab, le Fablab de Liège, l’activité n’a pas baissé avec la crise du Covid-19. La découpeuse laser tourne en continu pour dessiner des arceaux en plexy. La production d’au moins 700 visières, très utiles pour prolonger la durée de vie des masques, est destinée aux hôpitaux. Dans cette quête de protection efficace pour le personnel soignant, un second modèle de visière plus rigide a été mis au point pour les services directement exposé au coronavirus.

Déontologie / Réflexion. Paroles numériques_ULIS_adaptation. Le selfie et ses dérivés dans la culture numérique des adolescents - CLEMI. De l'autoportrait photographique au selfie Si l'autoportrait n'est pas une pratique nouvelle, il s'est démocra­tisé grâce à l'apparition de la photographie et banalisé plus récem­ment, encouragé par deux facteurs concomitants : la généralisation des smartphones - connectés à internet et dotés de caméras sur l'avant - et l'essor des réseaux sociaux, notamment ceux destinés à l'échange de photos (Instagram, Tumblr, Snapchat).Pour autant, le selfie n'est pas un simple portrait photographique ; la différence réside dans sa finalité : c'est une mise en scène de soi destinée à être diffusée, partagée dans sa communauté restreinte (amis, famille) ou dans la communauté anonyme (constituée des millions d'internautes).

Le selfie et ses dérivés dans la culture numérique des adolescents - CLEMI

Le selfie n'a d'intérêt que s'il est vu et remarqué par d'autres. Partager un selfie est un acte social et un signe d'appartenance à un groupe. Une pratique codifiée. Affaire du selfie de singe, suite et fin : les droits d’auteur seront partagés. Le macaque qui s’était pris en photo avec un appareil laissé au pied d’un arbre recevra 25 % des revenus générés par l’image, via des œuvres de charité protégeant son habitat.

Affaire du selfie de singe, suite et fin : les droits d’auteur seront partagés

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Big Browser En 2011, un macaque indonésien du nom de Naruto volait un des appareils du photographe britannique David J. Slater, en mission sur l’île de Sulawesi, et se prenait en photo sans le faire exprès. En 2014, le visage souriant et ultra-expressif du primate devenait viral, en grande partie par sa présence sur Wikimedia, la base de données de photos libres de droits de Wikipedia, qui considère alors que l’image est libre, car prise, techniquement, par un animal.

Une image peut-elle changer l'opinion ? Avec Marie-José Mondzain, philosophe spécialisée dans l'étude du rapport aux images, nous nous demandons aujourd'hui quel rôle peut jouer une image choquante dans la société.

Une image peut-elle changer l'opinion ?

Faut-il montrer la violence du monde à travers des photographies pour amorcer sa transformation? Ou bien l'image occulte-t-elle toute réflexion par le recours à l'émotion? File:2013-03-02 Gravestone without name fallen teddy bear symbolising child and children killed by war, stone with painted syrian flag.jpg. Henri Bureau Objectif.

Que peut une image. « Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement »,

Que peut une image

Fréquence écoles : pour une éducation aux médias numériques. Face à la place croissante que prend le numérique dans notre quotidien, nous sommes nombreux à ressentir le besoin de comprendre son fonctionnement et surtout à souhaiter parvenir à rendre nos enfants aptes à utiliser les formidables outils qu’il propose.

Fréquence écoles : pour une éducation aux médias numériques

Parmi les innombrables initiatives d’initiation aux médias numériques, Fréquence écoles s’investit dans un large panel de projets innovants. Présentation d’une école hors du commun. Mise en place depuis plus de vingt ans, Fréquence école se donne un objectif clair et fort : « développer une attitude critique des jeunes face aux médias ». Ainsi, chercheurs, spécialistes et enseignants collaborent pour offrir aux jeunes des formations qui les éveillent et les sensibilisent aux enjeux des médias numériques.

Quatre grands projets annuels structurent les activités de Fréquence écoles. Médiasphères, l’Éducation aux Médias et à l’Information (éMI), façon ludique. L’origine du projet Rachel Grennerat, professeure documentaliste, propose à ses collègues de toutes les disciplines des moments de dédoublements de classe, permettant parallèlement d’aborder les thématiques de l’EMI au CDI, et des activités disciplinaires en effectif réduit. La mise en commun ÉMI se fait ensuite en classe entière avec le professeur de la discipline, et lui donne l’occasion d’aller plus loin, d’approfondir certains aspects.

Le déroulement de l’activité Cette séance au CDI concerne une douzaine d’élèves d’une classe de 4e. L’autre partie de la classe est en cours de Technologie, pour une séance de travaux pratiques. Les aspects techniques Au cours de cette séance d’ÉMI, on aborde de nombreux sujets concernant les pratiques numériques des jeunes, sans utiliser de support numérique. Les compétences du Socle commun.