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Pablo Iglesias : « Le dogmatisme néolibéral qui a fait tant de mal à l’Europe du Sud a été corrigé » Aux sources de la crise de Podemos. Avec sa villa de luxe, Pablo Iglesias joue à se faire peur. Vu d’Espagne: Mélenchon réussit le «sorpasso» rêvé par Podemos. En Espagne, Pablo Iglesias renforce sa mainmise sur Podemos. Avant son congrès, Podemos étale ses désaccords - Page 2. De notre envoyé spécial à Madrid (Espagne) - Le nom de code du prochain congrès circule depuis l’automne : ce sera « Vistalegre II ».

Avant son congrès, Podemos étale ses désaccords - Page 2

Mais il n'est pas encore certain qu'il se déroulera dans cette salle omnisports de la banlieue de Madrid, qui avait accueilli, en octobre 2014, le premier congrès fondateur de Podemos (« Vistalegre I »). À l’approche de cette « assemblée citoyenne » (du 10 au 12 février 2017), les principaux responsables du mouvement anti-austérité jouent à se faire peur. PODEMOS Un échec instructif. Issu du mouvement des "indignés", Pablo Igesias avec "podemos", a symbolisé un projet politique, qui allait au-delà des clivages traditionnels gauche contre droite.

PODEMOS Un échec instructif

Dés le départ il prenait ses distances par rapport aux partis traditionnels de la gauche. Bien qu'issu de la gauche dite radicale, il a rejeté le folklore communiste et ses drapeaux rouges. Avant Ada Colau, Iñigo Erejon ou Carolina Bescansa, c'est bien Pablo Iglesias qui a été l'artisan de ce projet, et sa figure la plus visible. En Espagne, la droite en tête, Podemos en retrait - Page 2. Madrid (Espagne), envoyé spécial. - La formule grinçante de ce professeur de sciences politiques a bien résumé la soirée électorale : « Le sondage qui avait le mieux anticipé les résultats du 26 juin, c’était les élections du 20 décembre », a ironisé Pablo Simón (que Mediapart avait déjà interviewé ici).

En Espagne, la droite en tête, Podemos en retrait - Page 2

Espagne : Mariano Rajoy net vainqueur des élections, amère déception pour Podemos. Les sondages sortis des urnes - et ceux publiés jusqu'à ce jour de vote en Espagne - s'étaient lourdement trompés.

Espagne : Mariano Rajoy net vainqueur des élections, amère déception pour Podemos

Finalement, Unidos Podemos (UP), l'alliance de Podemos, d'Izquierda Unida, formée des Communistes et des Ecologistes, n'a pas réussi à dépasser le parti socialiste, le PSOE, qui reste la deuxième force politique du pays derrière le Parti Populaire (PP) conservateur de Mariano Rajoy. Les vrais perdant de ce scrutin seront donc les instituts de sondage qui ne se sont révélés guère plus efficaces que leurs confrères britanniques qui n'avaient pas vu la victoire du Brexit le 23 juin.

Espagne : Podemos recherche activement une coalition avec le PSOE. Les nouvelles élections générales espagnoles, rendues nécessaires par l'incapacité de former un gouvernement avec le Congrès des députés élu le 20 décembre, aura lieu dimanche 26 juin.

Espagne : Podemos recherche activement une coalition avec le PSOE

Mais, déjà, les grandes manœuvres pour former un gouvernement ont commencé. L'alliance Unidos Podemos qui regroupe le parti issu du mouvement des indignés, les Communistes et les Ecologistes, ainsi que plusieurs mouvements autonomistes régionaux, cherche désormais clairement à former un gouvernement de gauche avec les Socialistes du PSOE. Nouvelle donne. Espagne : Podemos recherche activement une coalition avec le PSOE. Espagne : Podemos est-il un parti "social-démocrate" ? Depuis qu'il s'est allié avec la Gauche Unie (Izquierda Unida, gauche communiste et écologiste) pour les élections générales espagnoles du 26 juin, Podemos, le parti issu du mouvement des « indignés », occupe nettement la deuxième place dans les sondages et pourrait devenir la première force à gauche de l'échiquier politique.

Espagne : Podemos est-il un parti "social-démocrate" ?

Si ce « dépassement » (« sorpaso ») du vieux parti socialiste espagnol (PSOE) par Podemos se concrétise en termes de sièges au Congrès des députés, ce pourrait être le fait majeur de ce nouveau scrutin qui interviendra six mois après le précédent. La conversion à la social-démocratie ? Cette nouvelle situation modifie la stratégie du parti. Renforcé sur sa gauche par une alliance électoral, Podemos semble désormais tenter de séduire les électeurs plus centristes, ceux qui sont traditionnellement attachés au PSOE. Espagne: la nouvelle stratégie de Podemos.

En Espagne, la campagne tourne au duel entre Iglesias et Rajoy. Il s’agissait de l’unique débat entre les candidats à la présidence du gouvernement espagnol programmé durant la campagne des législatives du 26 juin.

En Espagne, la campagne tourne au duel entre Iglesias et Rajoy

Espagne : Podemos devant les socialistes, mais encore loin du gouvernement. Unidos Podemos, l'alliance entre Podemos, certains partis régionalistes et la coalition Izquierda Unida, qui regroupe les Verts et le Parti communiste, pourrait être le principal vainqueur de la nouvelle élection générale espagnole prévue le 26 juin.

Espagne : Podemos devant les socialistes, mais encore loin du gouvernement

C'est du moins ce qui ressort de l'enquête menée par le Centre d'enquête sociologique (CIS) entre le 4 et le 22 mai dernier. Ce sondage est considéré comme un des plus significatifs, étant fondé sur plus de 17.000 entretiens individuels réalisés dans plus de 1.000 communes espagnoles. Surtout, il permet des projections en sièges, ce qui est essentiel pour évaluer la capacité future de formation d'un gouvernement. Il est donc observé de très près pour juger de l'état de l'opinion près d'un mois avant le scrutin. Programa electoral podemos. Podemos : le tournant tactique. Dans la perspective des élections législatives prévues le 26 juin prochain, Podemos et Izquierda Unida (IU), héritière du Parti communiste espagnol (PCE), ont conclu une alliance électorale dont on connaît désormais le nom : Unidos Podemos.

Podemos : le tournant tactique

D’ici à la fin juin, les logos des deux formations devraient apparaître côte à côte sur les affiches et les documents électoraux promouvant les cinquante points de convergence identifiés par les deux formations. L’enjeu est de taille : il s’agit, au soir du scrutin, d’arriver en tête des partis de gauche, devant le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). Les larmes versées par Pablo Iglesias, au moment où le nom de l’alliance était révélé, en disent long sur la réelle possibilité d’une conquête du pouvoir [1]. Unidos Podemos: la véritable «belle alliance» de la gauche? Vu de loin, l’annonce de cette coalition dans les urnes pourrait sembler une péripétie négligeable, surtout si l’on rappelle qu’IU, capable de tutoyer la barre des 10% des suffrages au milieu des années 1990, a réalisé le pire score de son existence en décembre 2015(3,7% et deux sièges à la chambre des députés).

Unidos Podemos: la véritable «belle alliance» de la gauche?

En fait, l’existence de cette nouvelle alliance, «Unidos Podemos» (ce qui se traduit par «Unis, nous pouvons!») , se révèle importante à trois égards: l’enjeu électoral, la question de l’identité et de la stratégie des forces politiques qui composent l’alliance, et l’espoir que caresse Podemos: dépasser le Parti socialiste (Psoe). L’enjeu électoral Le score d’IU au dernier scrutin législatif s’élevait à un niveau certes faible, mais plus élevé tout de même que l’écart qui séparait Podemos du Psoe (1,3 point).

Il ne s’agit pas d’un scénario impossible. Constituer des listes unies permet de limiter en partie les biais défavorables à la gauche alternative. En Espagne, cette lettre à Bruxelles qui dérange Mariano Rajoy. C'est un coup de tonnerre dans la nouvelle campagne électorale espagnole. Ce mardi 24 mai, le quotidien madrilène El País a rendu public une lettre de l'actuel président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, au président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker. Dans cette lettre, datée du 5 mai dernier, le locataire de la Moncloa se dit « disposé, une fois qu'il y aura un nouveau gouvernement, à prendre de nouvelles mesures budgétaires dans la seconde moitié de l'année. » Levée de bouclier Cette lettre a déclenché une levée de bouclier de la plupart des partis qui s'opposent dans la campagne au Parti populaire (PP), du chef du gouvernement sortant.

Le secrétaire général du parti socialiste (PSOE), Pedro Sánchez, a accusé Mariano Rajoy de « mentir sans pudeur ». Mise en danger du programme du PP Il est vrai que la publication de cette lettre met en danger l'essentiel du programme économique du PP et de Mariano Rajoy. Bienveillance ciblée ? Un problème de méthode. Espagne: Podemos se démarque du régime de Maduro au Venezuela. BALLAST Nous ne sommes pas encore assez populistes — en réponse à Iñigo Errejón. Tribune publiée sur le site de la revue CTXT et traduite pour le site de Ballast Faute de majorité au Parlement, l'Espagne se dirige vers de nouvelles élections le 26 juin prochain.

La base d'Izquierda Unida (coalition de gauche radicale) a voté pour une liste commune avec Podemos. Si un nouveau cycle électoral est perçu comme une opportunité par la direction de Podemos pour passer devant le Parti socialiste ouvrier espagnol, des voix, en interne, s'inquiètent que la machine électorale n'étouffe définitivement la colère sociale du pays.

BALLAST Podemos à mi-chemin. Tribune publiée sur le site de la revue CTXT et traduite pour le site de Ballast Les élections générales du 20 décembre dernier en Espagne n’ont accouché d’aucune majorité absolue. Podemos, troisième force politique — derrière le Parti populaire et le Parti socialiste ouvrier espagnol —, s’est conformé au jeu des alliances avec pour ligne de mire un accord de gouvernement avec ledit Parti socialiste et Izquierda Unida (coalition de gauche radicale). Quatre mois de négociations plus tard, les pourparlers n’ont rien donné, sinon une clarification supplémentaire : les « socialistes » espagnols ont préféré s’entendre avec le parti libéral Cuidadanos (avec, dans leur mallette, l’éternel projet de « grande coalition » des réformateurs). Espagne : Podemos s'allie avec l'extrême gauche pour les législatives. BALLAST Podemos à mi-chemin. Les militants de Podemos refusent une alliance avec le PSOE et les centristes.

Non, c'est non. Christophe Barret : Au coeur de l'énigme Podemos (partie 1) Christophe Barret : Au coeur de l'énigme Podemos (partie 2) Espagne. Le point sur la crise de Podemos. Iñigo Errejón : poupin, paix, liberté. On se frotte les yeux. En face de nous, surgit un adolescent un tantinet dégingandé, jean casual, parka qui penche d’un côté, l’allure d’un étudiant perdu dans ses pensées, la tête en vrac. D’ailleurs, il frappe son large front dégagé d’un poing juvénile. Il vient de se rendre compte qu’il a perdu ses clés. Espagne : combats de chefs à Podemos. Podemos, courant sous tensions. Démission de neuf membres de l’antenne madrilène, mutinerie dans la plupart des groupes régionaux affiliés - du Pays basque à la Galice - fortes dissensions au sein même de la direction nationale, remise en question du leadership de Pablo Iglesias… Podemos, cette formation qui a bouleversé l’échiquier politique espagnol au cours des deux dernières années et qui a fait une entrée fracassante au Parlement avec 69 députés à l’issue des législatives du 20 décembre, connaît une crise qui met en danger son irrésistible ascension.

Espagne : le leader socialiste appelé à former un gouvernement. En Espagne, Podemos rompt avec les socialistes. Adios au front de gauche. Sauf énorme retournement de situation, l’Espagne ne suivra pas la voie du Portugal où, à l’automne 2015, une «alliance progressiste» a permis de constituer un exécutif autour des socialistes, reléguant dans l’opposition les conservateurs, pourtant vainqueurs dans les urnes. Le scénario semblait identique en Espagne après les législatives du 20 décembre, et la victoire étriquée d’une droite isolée. Pablo Iglesias (PODEMOS) : leçon de stratégie politique (vostfr) ! Espagne: Podemos à l'offensive en Catalogne, au nom de "l'urgence sociale" Juan Carlos Monedero : « Podemos fera un meilleur score que le PSOE. Juan Carlos Monedero est une des personnes les plus appréciées dans les rangs de Podemos, alors même qu’il a quitté la direction du parti au début de l’année. Le parti espagnol Podemos salue la "leçon de démocratie" d'Alexis Tsipras mais regrette "la division" de Syriza en Grèce.

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